14 06 2010
Belgique : la France doit tendre la main à nos amis wallons !
Par Nicolas Dupont-Aignan le lundi, juin 14 2010, 18:56 - Lien permanent
Le résultat, attendu, des élections législatives belges a résonné comme un coup de tonnerre dans une Europe moins sûre que jamais d’elle-même, de son identité comme de son avenir.
Après l’URSS et la Yougoslavie, le « cas » belge démontre s’il en était encore besoin, combien les constructions politiques artificielles sont fatalement, tôt ou tard, emportées par le mouvement de l’Histoire.
Peu s’en souviennent : la Belgique est un Etat-tampon créé de toutes pièces par la Grande-Bretagne dans les années 1830, pour à la fois répondre aux aspirations d’indépendance des catholiques de Hollande vis-à-vis de La Haye, et empêcher la France de réintégrer des territoires francophones jugés trop proches géographiquement d’Anvers – port vital pour Londres, prêt à entrer en guerre contre n’importe quelle puissance européenne voulant s’en emparer.
C’est bien pourquoi, plusieurs dirigeants français – aussi divers que Napoléon III et Charles de Gaulle – ont toujours gardé un œil attentif sur la Wallonie et ses velléités de rattachement à la France, persuadés que le cours des choses finirait par faire son œuvre.
Qu’on ne se méprenne pas : il ne s’agit pas plus aujourd’hui qu’hier de déstabiliser ce pays souverain pour accélérer une extension territoriale de la France. Non, il s’agit tout simplement, dès lors que le jusqu’au-boutisme du nationalisme flamand ne leur laisserait plus d’autre choix, d’oser dire clairement à nos amis wallons que la France les accueillerait à bras ouverts.
Car comment accepter de laisser les francophones si proches de notre pays mis à l’écart et rejetés. Ce serait une chance autant pour les Wallons qui retrouveraient une communauté de destin que pour notre pays qui prendrait un peu plus de poids au sein de l’Union européenne.
Bien entendu cette démarche d’unification doit être profondément désirée et seul un référendum des deux côtés de la frontière en déciderait.
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Commentaires
La partie francophone de la Belgique rattachée à la République française? Quel impact cela aurait !
Alors même qu'en ce lundi 14 juin, nous avons fêté à Nice le 150ème anniversaire du rattachement du comté de Nice à la France, l'idée d'une extension du territoire français ne peut que nous enthousiasmer. Non pas pour des raisons d'intérêt égoïste lié à la croissance du territoire, de la population et des richesses, mais plutôt pour la symbolique d'un peuple désirant s'unir au nôtre pour vivre un avenir commun. Il faudrait évidemment que le peuple wallon se prononce librement par référendum pour que ce rattachement soit légal et que les Français expriment, également par référendum, leur accord. Mais la force d'un tel acte serait sans doute porteur de bien belles choses pour l'avenir. Et nous les Républicains authentiques, que nous soyons, comme vous, de DLR, ou comme moi du PG, ne pourrions que nous sentir renforcés suite à une telle perspective. Car si ce peuple francophone désirait nous rejoindre, ce serait la République française, ses caractéristiques propres, sociales et laïques, et nos valeurs phares - liberté, égalité, fraternité - mais aussi la volonté de pleine souveraineté, d'indépendance, de dialogue avec tous les peuples, de promotion de la paix, d'une autre répartition des richesses, aussi bien dans notre pays que dans le monde...) qui se verraient ainsi acclamées.
Connaissant bien la Belgique, et singulièrement la Wallonie, (je salue tous mes amis de la Gaume), je sais combien nos voisins et amis ont de sympathie pour nous, et c'est réciproque. Gens paisibles, travailleurs, hospitaliers, bons vivants et drôles, ne demandant que travailler et vivre en paix, ils ont vu leurs conditions de vie se dégrader lentement. Bruxelles a implicitement encouragé le renforcement de la Flandre, qui aujourd'hui détient la meilleure part de richesses, donc d'emploi. Cette situation , une culture différente, font que la Belgique ne survit qu'artificiellement. S'il advenait que les Wallons expriment à une large majorité le souhait d'un rattachement à la France, nous serions mal venus de ne pas les aider , et, en respectant leurs spécificités, de les accueillir, surtout si entre-temps, nous avons refait de la France un pays indépendant.
Et, quel que soit le futur de la Belgique, il faudra veiller à ce que s'applique le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, et qu'ils ne soient pas contraints à des solutions imposées par la Commission de Bruxelles.
Pour l'anecdote, il est arrivé dans le passé que des villes wallones aient des vélléités de rattachement à notre République.
Je vous écris du pays en question ― mais il faudrait plutôt dire du non-pays en question ― et je lis avec émotion le billet de M. Dupont-Aignan, et aussi la réaction du premier intervenant. Malheureusement, force m’est en même temps de constater que tout le monde en France ne pense pas comme cela, et d’aucuns voient dans le démembrement de la Belgique un germe de décomposition de la France elle-même. Comme c’est absurde! L’Allemagne a-t-elle refusé sa réunification?
Lire p.ex. cet article: http://www.comite-valmy.org/spip.ph... et ma réplique.
Tout cela, c'est aller un peu vite en besogne.
Tout d'abord, il ne faut pas oublié que nos amis wallons se sentent belges avant tout mais que ce sentiment n'est plus guère partagé par les flamands. Or être belge, ce n'est pas n'importe quoi et même en cas d'indépendance de la Flandres, les wallons resteraient belges et leur pays restera la Belgique, fusse-t-elle amputée de 50%.
Partager une langue, c'est bien mais ce n'est ni partager le même sentiment national ni avoir la nostalgie de la France et parfois bien au contraire (habitant le Québec, je le vis chaque jour).
La wallonie dispose d'institutions démocratiques, d'une justice, d'une police et en cas d'éclatement de la Belgique, de forces militaires.
Elle n'a donc pas besoin d'un pays d'accueil, elle a tout ce qu'il faut en terme de sentiment national pour suivre son propre chemin de pays francophone libre et indépendant.
Arrêtons de nous croire d'une attraction irrésistible et de prétendre nous ériger comme tuteur ou de protecteur de la francophonie. Ne vous en faites pas, les Wallons comme d'autres sont assez grands pour s'en sortir tout seul.
Bravo NDA, nous sommes dans "mélancolie française" le livre de votre ami Eric Zemmour. Le rattachement de la Wallonie à la France arrivera tôt ou tard mais ne peut qu'être un juste retour à ce qu'à toujours été la France : un contre pouvoir à l'impérialisme anglo-saxon.
66 % des français sont pour le rattachement de cette province orpheline de son identité depuis 170 ans ; bienvenue quant vous voudrez !
Merci Monsieur Dupont-Aignan ! C'est la première fois que je vous lis vous exprimer clairement sur ce sujet et ça fait chaud au coeur ! Dommage que tous les Wallons ne comprendront pas votre message et cracheront sur votre main tendue quand la Flandre s'apprête à leur cracher à la figure. Nous avons hélas un mass media "belche" qui a fait un travail désastreux !
Ce nicolas m'épate de plus en plus !
@NDA
@ Tous
L'Europe fédéraste est la négation des Etats-Nations et des peuples souverains. L'UE, la commission de Bruxelles, à défaut de réaliser quelque chose de démocratique, de social, s'oriente de plus en plus vers l'Europe des Régions (d'ailleurs les différents traités l'encouragent et le permettent) et des communautés.
L'objectif qui est pour, cette Europe a-démocratique et antisociale , la concurence libre et non faussée, a aussi un objectif innavoué mais bien réel et insidieusement programmé : la fin des Etats-Nations et des peuples souverains dans l'unique but de servir le futur Grand Marché Transatlantique qui rentrera en appplication le 1er janvier 2015.
D'ailleurs personne n'en parle du GMT et nombreux sont les députés européens de droite, de gauche, d'écolos qui l'ont voté dans le dos des citoyens.
L'Europe des toutes puissantes régions (quelles soient bretonne, flammande ou catalane etc...) sont la conséquence d'une politique antirépublicaine, contre révolutionnaire et surtout fauteure des troubles, d'appartheid. L'Europe du coup d'état (mise sous tutelle des budgets des Etats-nations) n'est qu'une nouvelle prison des peuples et le fossoyeur de la souveraineté des Etats-nations.
Les régionalistes nationalistes flammands veulent la séaration de la Belgique et un développement séparé avec les Wallons francophones. C'est l'ultime conséquence de l'Europe négation des nations et des peuples, du laisser faire national au niveau de l'unité et l'indivisibilité d'un pays qu'il soit une république ou une monarchie avec un royaume. Le dépiéçage de la Belgique ou la séparation linguistique intégriste serait une catastrophe pour l'idée d'unité d'une communauté nationale, d'un intérêt général, d'un Etat cohérent et viable.
La France n'est pas à l'abri de telles tendances avec les fanatiques ou les intégristes de la décentralisation, du régionalisme, du particuliarime linguistique ou religieux. L'exemple des peuples machins (breton, corse, poitevin etc...) que certains promeuvent, serait une catastrophe pour la république démocratique, une et indivisible et laïque. La France, notre patrie républicaine, doit affirmer haut et fort son unité, son indivisibilité, sa laïcité, son intérêt général, sa souveraineté, son indépendance, son universalité.
Plus que jamais, notre pays doit se retirer de l'UE, de la BCE, du GMT, retrouver sa pleine et entière souveraineté populaire et nationale. Plus que jamais, notre pays doit retrouver son unité et l'indivisibilité de la république en abrogeant les lois de décentralisation et autres réformes des collectivités locales. Les républicains et les jacobins devraient avoir comme objectifs et comme projet la reconquête de la souveraineté de notre pays et la reconquête de l'unité et l'indivisibilité de notre république.
Salut et Fraternité.
Cette idée de retour au bercail me gène beaucoup. La Wallonie n'est-elle pas capable de s'autogérer si elle est lâchée par les Flamands?
Cher Nicolas,
Bien sûr, je vous soutiens sur cette question, mais je pense qu'elle est loin des préocupations des français.
L'apéro à la goutte d'or, la place de l'Islam, bref le quotidien des français (dito la campagne sur l'Euro) me parait plus opportun (la grandeur philosophique sur un empire surrendeté et largement laxiste me parait une posture fort peu gaulliste).
Revenez au quotidien, c'est là où l'on gagne... ou perd.
Amicalement
@bonjour
Connaissez-vous la situation de la Belgique ? Pour asséner de tels propos y'êtes vous allé ? Savez-vous que dans certaines communes flamandes il est interdit de parler, d'écrire (par ex dans les magasins) en français ? Pensez-vous sérieusement qu'une telle situation peut durer ? D'autre part une Wallonie sans Bruxelles (cas complexe) serait difficilement viable....
Mais il est évident que le billet de NDA est clair .."Le rapprochement avec la France que le jusqu’au-boutisme du nationalisme flamand ne leur laisserait plus d’autre choix, d’oser dire clairement à nos amis wallons que la France les accueillerait à bras ouverts" ..
.. donc en tout dernier recours....
Votre propos "Arrêtons de nous croire d'une attraction irrésistible .." est donc dans ce contexte totalement hors propos !
Enfin la comparaison entre le Québec et la Wallonie me parait pour le moins osée ...l'histoire et la position géogaphie de ces 2 pays n'ont rien de commun.
Personne ne dit que la wallonie ne serait pas capable de se gérer toute seule (quoique...). Il s'agit de savoir si elle se considère comme une nation à part ou comme une région française susceptible de fusionner à terme avec la France. C'est cette dernière idée qui gagne du terrain en Wallonie. Quant à l'affirmation de M. Darthé-Payan, selon laquelle « le dépeçage de la Belgique ou la séparation linguistique intégriste serait une catastrophe pour l'idée d'unité d'une communauté nationale, d'un intérêt général, d'un Etat cohérent et viable» est inepte, attendu que la Belgique n'est pas une communauté nationale, mais le contraire, une sorte d'Union européenne en miniature. La fin de la Belgique est donc une catastrophe pour l'idée d'un Etat multinational comme l'est l'Europe-Brussels, sans préjudice toutefois de la capacité de récupération de la propagande européiste, capacité qui est grande, comme on le voit avec la crise de l'euro.
La politique ne peut se départir de l'acte symbolique.
La politique ne peut, non plus, se départir de la parole vive.
Être invisible donne le temps de la juste pensée.
Dans cet ombre, il n'y a plus que le parlé.
Oublier, en politique, l'histoire et la géographie, c'est être sot ou insensé, ils en sont qui firent sombrer bien des empires.
Le temps des peuples est bien plus long que celui d'un humain.
Une Wallonie française, que la Hollande ferait-elle de la Flandre?
Une Wallonie française, bienvenue.
@ 10 regis puren
Cher régis puren ,
pour présider un jour les destinées de la France, il faut aussi avoir des connaissances et des vues sur le monde.
C'était le cas du général de GAULLE
la France doit tendre la main à nos amis wallons, et pour ça elle doit s'en donner les moyens ; que signifierait le rattachement de la wallonie à la France ? eh bien tout simplement, le triomphe de l'idée de nation sur le dictat supra national et fédéraliste européen ; il y a un enjeu derrière tout cela très important ; l'éclatement de la Belgique peut être soit une victoire du fédéralisme européen, soit le premier signe de la fin de l'europe fédérale ..
les fédéralistes européens veulent se servir de l'éclatement belge afin de récupérer un quartier de Bruxelles et donner un territoire au premier état
européen afin de parachever la subordination juridique des états..
lire l'article suivant :
http://www.observatoiredeleurope.co...
le véritable enjeu est la souveraineté nationale : le désir de fraternité avec les wallons et la nécessité de l'efficacité pour la fin de l'euro sont justes mais insuffisant ; il faut revendiquer l'indispensable communauté de destin qu'est la nation, et le mettre en avant
@ 8 Darthé-Payan
Qu'ils soient de l'intérieur comme de l'extérieur, depuis près de 40 ans, les ennemis de l'oeuvre du général de GAULLE, et de la Fran ce, n'ont eu de cesse de s'attaquer aux principes du Conseil National de la Résuistance mis en place à la Libération, de ceux qui y ont participé et de ceux qui y restent attachés.
L'Oeuvre à entreprendre aujourd'huin est de le reconstituer avec toutes les forces saine de la nation.
Le but doit être de conserver, péremniser, améliorer, reconstituern rénover, veiller à la bonne application sans abus de ces principes dont la France a été le seul pays au monde à les porter haut.
Vous allez dire que je suis hors sujet par rapport au titre, Mais je saisi cette image d'une main tendue pour dire qu'ailleurs, hors du pansement bleu de l'UMP et du pansement rose du PS, il existe des formations politiques telle qu'Europe Ecologie qui à mon avis, pourraient s'allier avec DLR, sans pour cela mettre en place entre eux la monnaie unique de la réflexion.
Cette addition des réflexions, serait, de mon petit avis, d'une grande richesse car je ressens entre EE et DLR une certaine même sensibilité et une certaine humilité. Le monde manque beaucoup de cela. Je soutiens Europe Ecologie, cela ne m'empèche pas d'écouter tous les autres et de me dire que DLR tient bien la route et pourquoi pas un tandem Eva Joly & NDA. J'ai apprécié la logique du discours sur l'euro de NDA et la lumière qu'il apporte, mais il se peut qu'il y ait des contradicteurs logiques et lucides qui pourraient développer des arguments contraires convaincants, à voir ! J'aimerai connaître la position d'Europe Ecologie sur ce point, ainsi que celle du PS et de l'UMP d'ailleurs.
Les peuples ont besoin de personnes de conviction et d'initiative telles que NDA.
Revenons à la question de la Belgique, l'individualisme grandissant entraîne au nationalisme et à la discrimination. La Belgique n'est pas seule à être touchée. Ajoutons à cela une pincée de religion, l'opium des fatigués du bulbe, l'exutoire ultime et on obtient un(e) nationaliste fanatique (c'est un pléonasme). Et qu'est ce qui emmène à l'individualisme grandissant : la misère et la pauvreté mon cher Watson, mais aussi la cupidité.
Pour être concret, j'aimerai voir un jour, deux politiques tels que NDA et Eva Joly, se rencontrer sur un plateau et échanger leur point de vue sur la justice, l'économie, la formation & recherche, etc. etc. Leurs convergences seraient d'une grande richesse, leurs divergences seraient exposées et feraient l'objet des commentaires de sociologues, politologues etc.
Bon, il se fait tard.
Je préfère un petit pays qui gère bien son Etat qu'un grand qui ne voit plus ce qu'il fait : centralisation et tout et tout, technocratisation...
Les quelques presque vingt millions de Belges sont assez grands pour savoir ce qu'ils ont à faire et s'ils se partagent en deux pays, ils seront encore assez grands pour se gérer. La seule question que l'on peut se poser c'est :
Seront-ce des états démocratiques où chacun pourra librement s'exprimer ?
Bien entendu le billet de NDA est un signal fort pour nos cousins wallons et il est de notre culture de préparer le gite et le couvert autour de la table pour celui qui vient frappé à la porte de la chaumière.
Ce qui se passe coté flamand est d'autant plus inquiétant qu'elle scelle le délitement accéléré de cette UE, en cela je ne peux que me réjouir.
Toutefois, je suis plus méfiant de cette "unité" de façade qu'est la notre, car de la Corse à la cote basque, de la Savoie à la Bretagne, jusqu'aux DOM, l'exemple belge sera pour quelques agités matière à vouloir prétendre "disposer d'eux mêmes" selon la formule du président américain qui l'a sorti du chapeau au sortir de la 1ere guerre (avec toute l'innocence du cœur dont il était animé) !
Ne laissons pas sur le bord de la route les wallons si ils souhaitent rejoindre la république, mais regardons aussi avec lucidité le visage de notre pays, délitement politique et économique, unité de façade miné par l'individualisme, l'état de notre Nation ne permets pas de se réjouir sur le bien fondé de notre "modèle".
A l'heure ou les cimetières militaires ou civils sont saccagés, nos bannières bafouées et remplacées par celles plus à la mode de quelques républiques bananiéres orientales, il se pourrait même que quelques minorités à l'instar du Kosovo, exige une portion du territoire afin de le rendre compatible aux exigences de la pierre noire.
Nous ne sommes pas au pouvoir, ceux qui le détienne, souhaite ardemment voir se dissolver nos contrées pour établir leur gouvernance sans âme, nous assistons après tout à l'avènement du rêve internationaliste et fédéraliste, ne tombons pas das le piège ainsi tendu.
Donc hospitalité prévaut mais pas de sentiment trop victorieux sur cette grande France qui pour l'instant ne fait battre que nos cœurs.
Montjoie Saint Denis !
DLR78
@ 9 Bidji23
Ce que vous évoquez s'appliquerait à n'importe quelle région française et c'est ce que veut la commission européenne de Bruxelles en effaçant les nations, tout particulièrement la nation française. si dérangeante par son humanisme
Il ne trouve que les Wallons prèfèrenraient revenir à leur première patrie, la France.
C'est un grand honneur qu'ils nous font et une marque de fraternité francophone eminemmment respactable par les temps qui courent.
Sans nous immiscer dans les affaires de la Belgique, si la Wallonnie veut redevenir française, recevons la avec tous les égard qu'elle mérite
@ 19 Lilian CAULE
Effectivement, comme vous l'écrivez, "délitement politique et économique, unité de façade miné par l'individualisme, l'état de notre Nation ne permets pas de se réjouir sur le bien fondé de notre "modèle"". Ajoutons qu'il s'agit de notre modèle actuel, celui qui prévaut depuis 1973.
Mais reconnaissons que c'est à cause de ce délitement politique et économique que nous avons créé DLR afin de le combattre pour reconstruire la France.
Travaillons à reconstituer toutes les forces qui, de la droite à la gauche, s'étaient unies sous la présidence du général de GAULLE dans le projet de Conseil National de la Résistance ( CNR) en un temps où il était dangereux pour chacun de participer à une telle entreprise de reconstruction de la nation.
Soyons dignes de nos aïnés qui on payé de leur vie ou de leurs soiuffrances, l'amour de la France.
RC
medias du jour
Mardi 15 juin
France-Culture, dans le Journal de 12h30
France 3 – Ile de France – à 12h10
Ne manquez pas cette excellente prestation de NDA hier sur France 5 "c'est à vous" ...
http://www.dailymotion.com/video/xd...
@21 R-L Cayol: c'est bien cela qui doit nous animer. Et Charles De Gaulle et les compagnons n'ont jamais hésité, jamais douté. Et ils ont surmonté l'insurmontable. Ce qui a ensuite, et pour des décennies, été bénéfique à la France, mais aussi aux pays européens qui ont coopéré.
Aujourd'hui, que ce soit la Belgique, la Grèce, l'Espagne, le Portugal, l'Irlande, en attendant ...pire...car les pays de l'Est commencent déjà à être en mauvaise posture, toute l'organisation libérale "dure" de l'Europe est néfaste. Il faut se libérer de ce joug, car quand la France redeviendra elle-même, indépendante et hors de l'Otan, elle impulsera un élan salutaire aux autres états. Alors, une Europe des Nations , en prise avec le 21° siècle, permettra une relance réelle, durable. Oeuvrons à cela. Le terme plusieurs fois évoqué de "Résistance" me parait tout à fait conforme à la nécessaire action de DLR et des républicains sincères, non corrompus par le pouvoir.
Bien sur qu'en France il y a et il y aurait une large majorité pour soutenir un tel rattachement . Sans doute également en Wallonie .
Mais...la encore on peut douter que l'europe laisse les peuples choisir . Ce serait d'une part un camouflet pour tous les " barons " de cette europe , ce serait aussi un revirement majeur puisqu'on essaie d'imposer en europe une partition des pays ( ex yougoslavie , ex tchécoslovaquie ) .
L'europe , toujours l'europe...
Et puis il y a la situation de Bruxelles , inextricable enclave wallone dans un territoire flamand .
Tenons nous pret , si le souhait des wallons évoluait , a leur tendre la main , uniquement , et ...laissons les choisir .
Patrick Mennessier
DLR94
Un patriote m'a envoyé des citations de général de Gaulle.
Le vous livre les trois premières :
« Pour organiser l’ Europe, qu’on la prenne donc comme elle est, c’est à dire comme un ensemble formé de peuples très distincts dont chacun a, bien à lui, son corps, son âme, son génie et, par suite, doit avoir ses forces. Renvoyons aux géomètres les plans étranges qui prétendent mêler, à l’intérieur des mêmes unités, les contingents de pays divers pour fabriquer l’armée apatride. Où donc les soldats de cette Babel militaire iraient-ils puiser leur vertu ? Si, pour une coalition, il est nécessaire d’instituer entre Etats, par délégation de tous système unique aux échelons supérieurs du commandement, le principe qui domine tout c’est qu’une armée se bat avant tout pour son pays, sous l’autorité de son gouvernement et sous les ordres de ses chefs. Aucune, je dis aucune, de celle que doit fournir l’Europe ne saurait être ni bâtie, ni employée, autrement ».
Charles de Gaulle, discours prononcé à Nîmes, 7 janvier 1951.
« Y a-t-il une France, une Allemagne, une Italie, une Hollande, une Belgique, un Luxembourg, qui soient prêts à faire, sur une question importante pour eux au point de vue national et au point de vue international, ce qui leur paraîtrait mauvais parce que cela leur serait recommandé par d’autres ? Est-ce que le peuple français, le peuple allemand, le peuple italien, le peuple hollandais, le peuple belge, le peuple luxembourgeois, songeraient à se soumettre à des lois que voteraient des députés étrangers, dès lors que ces lois iraient à l’encontre de leur volonté profonde ? Ce n’est pas vrai ! Il n’y a pas moyen, à l’heure qu’il est, de faire en sorte qu’une majorité étrangère puisse contraindre des nations récalcitrantes. Il est vrai que, dans cette Europe «intégrée» comme on dit, il n’y aurait peut-être pas de politique du tout. Cela simplifierait beaucoup les choses. En effet, dès lors qu’il n’y aurait pas de France, pas d’Europe, qu’il n’y aurait pas de politique faute qu’on puisse en imposer une à chacun des six états, on s’abstiendrait d’en faire… »
Charles de Gaulle, conférence de presse tenue au palais de l’Elysée, le 15 mai 1962.
« Pas d’ union européenne, disaient-ils, sinon par une intégration à direction supranationale ! Pas d’union européenne, si l’Angleterre n’en fait pas partie ! Pas d’union européenne, sauf à incorporer dans une communauté atlantique ! » Pourtant, il est clair qu’aucun des peuples n’admettrait de confier son destin à un aréopage principalement composé d’étrangers. De toute façon, c’est vrai pour la France. Il est clair également, que l’Angleterre, grande nation et grand état, l’accepterait moins que quiconque. Il est clair enfin, que, fondre dans une politique multilatérale atlantique la position de l’Europe, ce serait en sorte qu’elle-même n’en ait aucune et, dès lors, on ne voit pas pourquoi elle en viendrait à se confédérer. »
Charles de Gaulle, conférence de presse tenue au palais de l’Elysée, 31 janvier 1964.
http://www.debout-la-republique.fr/...
Je reprends le début du Post 04 de Bonjour.
Tout cela, c'est aller un peu vite en besogne…
N’oublions pas que la Belgique est à 102% de dette de son PIB.
La scission imposée par les Flamands risquerait de nous refiler « la patate chaude »…
Sortons de l’Afghanistan, donc de l’Otan, renforçons nos services secrets.
En cette période instable ; prudence…
HS :
Moody's a abaissé lundi la note de la Grèce de quatre crans, de «A3» à «Ba1». Cette nouvelle note relègue le pays dans la catégorie spéculative pour un risque de non-remboursement de sa dette publique.
Une situation qui reflète «les risques liés au plan de sauvetage mis en place par les pays de la zone euro et le Fonds monétaire international» (FMI), a expliqué l’agence dans un communiqué.
@27 communiqué: en effet, la véritable capitulation française face à l'Allemagne, qui va aggraver la situation, n'est pas sans évoquer l'attitude du gouvernement français en 1940. Curieuse ironie du sort! On ne peut s'empêcher de constater que l'Allemagne fait le forcing pour s'imposer en leader des 27. Ce pays est décidément incorrigible. Une fois encore, il est prêt au chaos pour asseoir sa suprématie. Désormais, la plongée dans la ruine et le désordre est programmée.
Pouvons-nous attendre 2012? Où en sera la France à ce moment-là? Les événements nous donnent -hélas raison. Nous courons à la liquidation des états, à l'asservissement aux grands prêtres du totalitarisme financier , à la réduction de l'Europe à un continent en voie de sous-développement.
De Gaulle, Mémoires d'Espoir, parlant du rôle de la France au niveau mondial: " Car ce rôle, tel que je le conçois, exclut la docilité atlantique..." Plus loin:
"mon dessein consiste à dégager la France, non pas de l'alliance atlantique, mais de l'intégration réalisée par l'OTAN sous commandement américain...".
Ou encore: " dans la soumission de Vichy à la loi de l'envahisseur, visant à faire participer notre pays à un ordre dit européen et qui n'était que germanique..."
En quoi le pire aujourd'hui serait l'expectative!
Pour tous les Français proches de DLR soucieux de s'intéresser aux conséquences de la fin de la Belgique et à celles d'un rattachement à la France (avantages et inconvénients pour les deux parties), je conseille le site du GEWIF où de nombreux cahiers vous éclaireront... Il faut également aller sur le site du RWF ou de Debout la Wallonie ! Enfin quelques blogs de qualité vous donneront le point-de-vue de Wallons réunionistes : André Schreurs (ancien résistant liégeois), Claude Thayse, Sébastien Jamart et Didier Melin.
Fraternellement !
@Mangouste (28)
J'avoue que je ne vois pas sur quelles bases on peut scinder la dette publique en cas de scission entre Flamands et Wallons
Il risquerait d'y avoir des tiraillements...
Après la Grèce et sa débâcle financière, voici la Belgique et son éventuelle scission. Passée à peu près inaperçue, l’information qu’il y a 3 semaines, le Parlement de Budapest a décidé d’accorder la nationalité hongroise aux populations d’ethnie hongroise de l’étranger, c’est à dire à près de 2,5 millions de personnes dispersées en Roumanie, Slovaquie, Serbie et Ukraine est de la même veine. N’oublions pas la désintégration de la Yougoslavie et les guerres et génocides qui ont suivi.
Dans quelle Europe sommes-nous embarqués ?
Je voudrais saisir l’opportunité du résultat de ces élections belges, pour m’interroger sur ce qu’est un état, une nation sur ce continent européen multilingue, multi-éthnique que l’on voudrait agglomérer en une Union Européenne, dotée d’une monnaie unique...
Au fil des guerres, des territoires conquis ou échangés entre tous ces pays composant l’Europe, du tracé des frontières, arbitraire et mouvant au gré des petits arrangements politiques ou des mariages royaux des siècles passés, se sont constituées des nations qui n’ont pas de réels dénominateurs communs pour les caractériser.
Ce n’est pas la géographie qui trace les frontières : les Pyrénées séparent bien la France de l’Espagne, mais les Basques et les Catalans sont présents de chaque côté. Le comté de Nice (c’est d’actualité) et la Savoie ont balancé entre France et Italie, entre les deux versants des Alpes. Malgré la frontière naturelle du Rhin, Alsace et Lorraine ont appartenu alternativement à la France et l’Allemagne.
Ce n’est pas non plus la langue qui unifie un pays. L’allemand n’est pas parlé qu’en Allemagne, mais aussi en Autriche et Suisse (hors UE, je sais), le français en Belgique donc et encore en Suisse romande, le néerlandais en Belgique en sus des Pays-Bas, etc.
Ce n’est pas plus l’origine ethnique qui peut caractériser une nation : les brassages entre peuples d’origines distinctes ont pour conséquence l’impossibilité de s’y référer pour définir une nation (en Europe).
Les différences de religion à l’origine de scissions (Cf. l’Irlande) ont tendance à perdre de leur influence et ne sont pas un paramètre caractéristique d’une nation.
Le débat lancé en France sur l’identité nationale a fait long feu, torpillé par les lobbies anti-racistes ; aurait-il permis de clarifier ce qui distingue un petit wallon, d’un petit français né quelques kilomètres plus loin mais de l’autre côté de la frontière (virtuelle depuis que les douaniers ont disparu) ?
La problématique se complique quand on constate que chaque pays, chaque nation de cette Europe a légiféré différemment sur bien des sujets (de société, économiques, de droit social, de fiscalité, de protection sociale, etc.). Si on prend l’exemple ô combien actuel des retraites, pourquoi le wallon travaillerait-il plus ou moins longtemps que le français, toutes choses égales par ailleurs, à part le côté de la frontière où leur mère a accouché ? Et l’harmonisation économique, fiscale et financière (qui aurait dû être préalable à l’adoption d’une monnaie unique) n’est pas encore en ligne de mire.
L’intégration de tous les habitants du continent européen en une seule communauté unie n’est pas pour demain !!!
Alors, pourquoi pas accueillir la Wallonie comme n-ième région française ? Mais la solution ne serait-elle pas plutôt une confédération de régions plus ou moins autonomes dans une structure européenne démocratique, non technocratique (suivez mon regard vers …. Bruxelles) encadrant les grands principes juridiques, fiscaux, économiques applicables à tous. Solution idéale que ni moi, ni aucun des lecteurs de ce blog, ne connaîtrons.
Quant à un referendum pour co-opter les Wallons, NDA a-t-il subitement oublié ce qu’on a fait du dernier en date (2005) et espère-t-il maintenant que les résultats d’un referendum seraient appliqués ?
Certains Belges viseraient plutôt le Luxembourg. Donc, pas d'enthousiasme excessif à l'union entre les Wallons et nous les Français... Mais je suis comme beaucoup d'entre vous, j'éprouve une affection particulière pour nos amis Belges et pour les Wallons en particulier. Ils sont si chaleureux et ils aiment tant la fête. Ils ont quelquechose que nous sommes en train de perdre et donc je serais heureux qu'ils se joignent à nous. Mais à mon avis, ne faisons pas de "forcing", faisons simplement en sorte qu'is sachent que s'ils le veulent, ils peuvent se joindre à nous. Mais notre gouvernement actuel, si injuste, si nul, si ridicule, ne constitue pas un atout pour la réussite de cette union , bien obligé de le constater.
@Torsade de Pointes
Tu as sans doute mal interpréter mon propos.
Quand je dis que le dépiéçage de la Belgique serait une catastrophe. Oui, se serait une catastrophe pour ce qu'est l'Etat-Nation et son devenir. Si la Belgique (Etat-Nation) est dépiécée comme le fut la Yougoslavie, mais également la Tchécoslovaquie, devraient ne pas nous réjouir car se serait les intérêts particuliers, régionaux, linguistiques, communautaristes qu'ils l'auraient emportés sur l'intérêt général. Je sais bien que la Belgique est depuis maintenant une cinquantaine d'années une juxtaposition de communautés linguistiques. Cette évolution est mortifère et si l'on ne prend pas garde la République française avec les tenants des régions puissantes assemblées à d'autres régions européennes niant les frontières de notre pays, les tenants de l'intégrisme décentralisateur, les tenants des commuanutarismes et des intérêts mercantiles ou particuliers qui chaque jour donnent des coup de boutoirs dans les fondements, les principes, les institutions, l'intérêt général qui pourraient être un jour fatal à notre république démocratique, sociale, une et indivisible et laîque.
Donc, le développement séparé des belges famands et des belges wallons seraient une très mauvaises choses. Mais si cette évolution devait avoir lieu, l'Europe y encourage, ( car l'UE veut la mort des Etats nations et des peuples souverains pour mieux réaliser la concurence libre et non faussée et surtout le grand marché transatlantique prévu au 1er janvier 2015 dont plus personne n'en parle et c'est fort dommage !) et si le peuple de Belgique démocratiquement par la voie du suffrage universel le décidait et bien nous Français nous devrons l'appréhender et mettre cette perspective au centre d'un processu de ratachement de la Wallonie avec la République française. Ce serait la moins pire issue pour les belges francophones mais de manière global je préfèrerai que l'Etat nation qu'est la Belgique n'implose pas et ne soit pas dépiécé.
ça alors, on parle de bien des choses sauf du principal : que je sache, aucun sentiment national français n'anime nos amis Wallons. Pourquoi deviendraient-ils des compatriotes sans jamais se sentir français ou être fier de l'être ?
Même Hercule Poirot s'irritait d'être pris pour un français...et cela n'a pas changé depuis.
Que les Wallons connaissent des difficultés à faire vivre le concept de Belgique, certes, mais ils se reconnaissent dans cet Etat.
Peut être qu'un jour, il y aura deux états indépendants : la Flandres et la Belgique Wallone. Mais même ce jour là, il n'y aura pas d'objet à un quelconque rattachement.
Les wallons sont un peuple majeur et jusqu'à nouvel ordre, ils entendent le rester.
Vouloir les respecter, c'est le comprendre.
Très personnellement, si j'étais Wallon , j'aurais plutôt honte à être rattaché à un pays qui a voté Le Pen en 2002 et Sarkozy en 2007...
VOTE
Nous pouvez voter chaque jour pour NDA:
http://www.sondage2012.fr/dvd.php?v...
PETITION
Contre l’euro unique
http://www.debout-la-republique.fr/...
@Darthé-Payan
Je rappelle tout de même qu’on avait coutume de dire que la Belgique était le « laboratoire de l’Europe », que la Belgique était la preuve vivante de ce que des peuples différents pouvaient, moyennant certes toute une tuyauterie institutionnelle, vivre harmonieusement ensemble. Évidemment, cette idée-là a pris du plomb dans l’aile. Mais l’ogre européen a la capacité de rebondir, comme il en a fait la démonstration récemment, en instrumentalisant la crise financière pour accroître ses pouvoirs et imposer ses diktats sur les budgets des États. Voici en tous cas un article qui va dans votre sens, et qui fait froid dans le dos :
http://www.solidariteetprogres.org/...
@bonjour
Evidemment que DLR respecte tous les belges !
La seule chose qu'a dit NDA, c'est que si "les choses tournaient mal dans ce pays " les wallons s'ils le désiraient, pourraient se tourner vers la France.
Vous faites exprès de ne pas comprendre ?
On aime son pays (avec son histoire, sa langue, ses défauts...) ou pas !, C'est un sentiment personnel qui ne se discute pas.. Mais je vous conseille de rester au Québec (v/4) la France n'est pas assez bien pour vous semble-t-il !
Merci beaucoup Mr Dupont-Aignan pour votre empathie envers la Belgique francophone. Si un jour, ce rattachement devait se réaliser, en ce qui me concerne, je m'en montrerais digne et reconnaissant. Un petit regret, je suis Bruxellois francophone et, votre intervention ne fait pas allusion à la région de Bruxelles-Capitale. Il faut un début à tout me rétorquerez-vous peut-être ?
Oui, je comprends, je suis à l'étranger mais cela ne vous permet en rien d'écrire quoique ce soit sur mon amour du pays natal. J'en profite d'ailleur pour mentionner que c'est bien sur ce blog que l'on dénigre le plus le peuple français (des veaux abrutis par la coupe du monde et les médias, incapable de clairvoyance etc etc).
Ce qui me désole c'est la facilité dans laquelle sombre DLR en ce moment. Après l'équipe de France et l'amour du maillot, voici la grandiloquence à propose de l'accueil des Wallons qui a à peu près autant de chance de survenir que l'intégration de la Finlande dans la République.
J'en suis désolé mais cela traduit à la fois une certaine impuissance et une incapacité à penser l'avenir autrement qu'à travers le prisme des années 50.
Dommage, car NDA est un gars bien mais là ça plafonne.
j'approuve complètement le post 27 ; la France capitule une nouvelle fois ; notre tout petit président n'a pas supporté d'être mis à l'écart l'autre jour et donc est prêt à tout pour cette fois ci être sur la photo .. il a encore une fois démontré toute sa médiocrité et sa vanité
sarko=zéro
il faut en tirer toutes les conséquences : dire que la France n'a pas le même avenir que l'Allemagne parce que pas la même économie, pas la même démographie, ni les mêmes intérêts et dire qu'il faut en finir avec cette union de façade.. non seulement on doit refuser la rigueur à l'allemande, mais on doit pour ça en finir avec cette europe monétariste bâtie sur des bases allemandes ; disons oui au franc et sortons de l'ue !!!
la fameuse amitié franco allemande a du plomb dans l'aile ; les accolades à la sarko merkel devant les journalistes ne servant qu'à masquer l'essentiel
Même si on n'apprécie pas J-L. Mélenchon, je conseille la lecture de son blog daté du 15/6, où il analyse la façon dont l'Europe (et les partisans de la globalisation) favorisent les séparatismes régionaux contre les États-nations.
la question est de savoir si l'on laisse faire l'europe fédéraliste dont le but est de supprimer la nation (et l'idéal de solidarité et de fraternité qu'elle représente) pour laisser libre court au replis régional identitaire culturel, social (voir xénophobe) ; les belges sont attachés à la Belgique en tant que nation, mais si demain celle ci éclate, alors certains voudront certainement se tourner vers la nation française..
il ne s'agit pas de défendre une vision cocardière, mais bien l'idée de nation, et envoyer paître l'europe fédérale génératrice de divisions et de haines..
si on respecte la constitution française, on se retire illico de l'ue :
"article 1 : La France est une République indivisible
article 3 : Article 3
"La souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum.
Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice."
la souveraineté nationale n'appartient plus au peuple, ni à ses représentants mais à la bce, la commission de bruxelles et maintenant au dictat de l'allemagne
quand eu referendum, on voit ce qu'il est advenu en 2005 ; par conséquent, il n'y a pas à tergiverser
sortons de l'ue !!
@38
Votre document fait effectivement froid dans le dos.
Pour la France, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à la réforme des collectivités territoriales avec la création des métropoles...
Chers amis français,
Je suis de nationalité belge et wallonne.
Sachez que beaucoup de francophones dans notre pays seraient fiers et heureux d'intégrer la grande nation française, dont nous sommes si proches à tous niveaux. Le fait que beaucoup d'entre vous se disent prêts à nous accueillir nous fait chaud au coeur. Voter pour les présidentielles françaises ... le rêve !
Liberté ! Egalité ! Fraternité !
Cette réaction, comme celle d'autres députés français fait chaud au coeur des francophones de Belgique. Nous qui sommes souvent considérés comme des citoyens de seconde zone par "nos concitoyens" du Nord, nous accueillons avec émotion ces témoignages fraternels. Je n'ai jamais douté du support que la France apporterait à la Wallonie en cas de besoin. Mais c'est important qu'il s'exprime maintenant, quand nous en avons le plus besoin. Merci.
Les Francophones de Belgiques sont devenus des citoyens de seconde classe. De plus, la presse et, particulièrement la RTBF, est aux ordres des grands partis traditionnels. Elle manipule l'opinion et fait croire que tous les Belges veulent rester unis. D'un autre côté, la presse flamande, tire quotidiennement à boulets rouges sur les Wallons et Bruxellois. Nous nous sentons seuls et nous espérons un soutien clair de la France.
La France ne doit en aucun cas se précipiter à demander le rattachement de la Wallonie à la France. Ce n'est pas pas parce que les élections dans ce pays ami qu'est la Belgique a donné les résultats que l'on sait! C'est d'abord et avant tout l'affaire des belges francophones même si l'on ne peut être indifférent à leur sort. Nous ne devons pas encourager le nationalisme ethnolinguistique parce que cela crée un précédent dangereux en Europe: la Catalogne et l'Espagne, la Padanie et l'Italie, la France avec la Corse, l'Alsace et la Bretagne!
Rappelez-vous que la crise et dislocation de la République Fédérale de Yougoslavie n' a pas de causes très différentes, donc cela peut dégénerer en guerre civile, parce que dans le cas belge il y a l'imbroglio de Bruxelles et de sa région.
Donc seuls les francophones de Belgique doivent défendre leur sort et décider de leur propre avenir. C'est seulement en pleine connaissance de cause d'un éventuel rattachement à notre pays!
@ 50. cording
Que l'on sache, la France ne demande pas le rattachement de la Wallonie à la France.
NDA a bien écrit : "Qu’on ne se méprenne pas : il ne s’agit pas plus aujourd’hui qu’hier de déstabiliser ce pays souverain pour accélérer une extension territoriale de la France. Non, il s’agit tout simplement, dès lors que le jusqu’au-boutisme du nationalisme flamand ne leur laisserait plus d’autre choix, d’oser dire clairement à nos amis wallons que la France les accueillerait à bras ouverts".
@Post 31 - A-J Holbecq
Il risquerait d'y avoir des tiraillements...
Forcément négociations si cela tournerait mal pour le peuple de Wallonie qui demanderait rattachement à notre pays, or aujourd’hui ce n’est le cas.
Au train où vont les choses ; l’Italie du Nord va telle demander une séparation avec le Sud ?
Concentrons nous d’abord sur nous-mêmes ; notamment sur de probables attaques spéculatives à venir ; les mesures prises par le Gouvernement sont là pour rassurer le marché, quitte à vendre notre patrimoine.
Nous ne sommes que des spectateurs attentifs au démantèlement de notre pays… ; impuissants.
Seul un Gouvernement de Salut Public pourrait empêcher cela.
Bjr,
pour ma part, je cette scission m'effraye ... par projection.
On constate combien 2 communautés différentes ont du mal à vivre ensemble (ancrées dans leurs passés et traditions respectifs). Mais que dire de ce qu'il est en train de se passer sur notre propre territoire ? Mis en exergue par une montée des fronts extrémistes (de tous bords) et par des actions comme l'apéro géant de la goutte d'or. Tôt ou tard la situation dégénèrera ... et se règlera par la force et dans la violence.
Je ne suis Flamand ni Wallon ... ni Chrétien, ni Juif, ni Musulman ... et extrêmement tolérant ... j'ai donc beaucoup de peine à comprendre la situation en Belgique et celle que je vois se profiler en France.
VIVE BRUXELLES,VIVE LA WALLONIE ,VIVE LA FRANCE DE 70.000.000 DE FRANCOPHONES
Une réforme des retraites injuste, un suicide politique pour la majorité
La réforme des retraites présentée ce matin par le ministre du Travail est tellement injuste qu’elle ne peut qu’aller dans le mur : pourtant prêts à l’effort, les Français ne peuvent qu’être révoltés tant elle pénalise les salariés, notamment les plus modestes, et épargne autant les plus aisés que les revenus du CAC 40. L’adopter en l’état serait un véritable suicide pour la majorité.
Cette réforme est très injuste car elle pénalise gravement les salariés aux carrières longues et éprouvantes, qui vont essuyer de plein fouet le relèvement de l’âge du taux plein de 65 à 67 ans, sans que la pénibilité des métiers soit réellement prise en compte. Ainsi, ce sera bel et bien aux classes moyennes et populaires que le fardeau sera infligé. Les prélèvements supplémentaires créés pour les très hauts revenus sont symboliques et indécents : il n’y a ni suppression du bouclier fiscal, ni création d’une tranche supplémentaire de l’Impôt sur le Revenu !
Injuste, cette réforme est aussi inefficace car elle ne couvrira pas l’ensemble des besoins à venir. Elle les couvrira d’autant moins qu’elle est bâtie sur des prévisions de croissance et d’emploi totalement fantaisistes au regard des handicaps structurels (euro, libre échange, déflation) qui pénalisent fortement notre économie. A cet égard, l’idée que le taux d’activité des seniors augmentera mécaniquement avec le recul de l’âge légal de départ à la retraite relève de la pure incantation, d’une irresponsable politique du « yakafaucon ». La création d’une aide symbolique pour leur maintien en activité n’y changera strictement rien.
Ainsi que ne cesse de le répéter Debout la République depuis plusieurs années, il n’est pas possible de refonder durablement le système de retraites sans retrouver la croissance et l’emploi. Cela implique donc de bousculer les tabous économiques et fiscaux qui minent notre pays, et de révolutionner l’assiette des prélèvements avec le basculement dans la TVA sociale pour financer la dépendance et surmonter le défi de la mondialisation.
Nicolas DUPONT-AIGNAN - Député de l’Essonne - Président du rassemblement gaulliste Debout la République
Intéressant a lire !
http://www.les4verites.com/Lettre-o...
offrir une faculté n'est pas annexer.
Les bruxellois devront pouvoir voter.
Ce ne sont pas les Francophones qui crient depuis des années "Belgique créve" mais les militants indépentantistes flamands.
Ils sont a pied du mur, la France doit etre derriere la Wallonie et derriere Bruxelles.
Une "Reforme" scandaleuse , mais que devait on attendre de Sarko et sa clique d'escrocs ?? Pas grand chose , cela a commencé avec le diner au Fouquet's et le yatch Bolloré , ca continue avec les retraites ... En plus c'est une mesure totalement inutile puisque les directives de Bruxelles pronent un allongement jusqu'a 65ans , dans un premier temps , pour arriver ensuite à 67ans ... En plus il va falloir payer des pénalités pour non application des directives européennes . Travaillez plus pour gagner plus , la bonne blague !! en fait il fallait comprendre vous allez travailler plus pendant que nous on va se goinffrer plus ... Syndicats et classe politique corrompu ,le combat des urnes est vain et malheureusement c'est par les armes que nous nous libererons du joug de ces parasites ... Le 24 Juin ce n'est pas un manifestation Nationale qu'il faut , mais dresser un gibet place de la Bastille et mettre hors d'etat de nuire tous ces enfoires !!!!
très bon billet, je suis tout à fait d'accord avec vous.
Nous ne pouvons que tendre la main par la voie référendaire à nos amis francophones de wallonie.
Merci, amis français, vos messages d'accueil sont fantastiques et ne m'étonnent pas, en fait.
Moi qui suis Wallon, sans haine du Flamand, je m'exprime même modestement dans leur langue et j'y compte également quelques amis, je me sens très proche de la France et de ses habitants, je me trouve régulièrement en Normandie ou j'ai fais la connaissance de personnes fantastiques et ou j'espère un jour pouvoir m'installer.
Je ne sais pas si la réunion logique se fera. Je constate que les gens tiennent à la Belgique, même si elle est en lambeaux, mais je pense aussi que lorsqu'elle n'existera plus, l'option française deviendra évidente (voir le célèbre sondage du Soir et de la Voix du Nord).
Et au delà de considérations économiques, c'est le coeur qui parlera des deux cotés du Quiévrain et ça, c'est le plus beau et le plus solide argument.
Il est important que des personnalités comme Messieurs Dupont-Aignan, Myard, Mélenchon ou Chevènement commentent l'actualité et affirment, sans s'immiscer, que la France est là, aux côtés des Wallons, quelle que soit leur décision future, qu'elle la soutiendra et sera prête à l'accueillir si tel est le souhait des Wallons.
C'est réconfortant de vous savoir à nos côtés.
Merci et vive la France !
A Ruisbroek dans la banlieue de Bruxelles un jeune belge francophone s'est fait tabassé (dents cassées, nez fracturé, ...) par un groupe de flamands .
Par ailleurs Chris Bryant secrétaire d'État britannique aux Affaires européennes sous le gouvernement de Gordon Brown a déclaré que le français était une langue étrangère moderne inutile .
Le français est donc attaqué de toutes part au profit de l'anglais .
Il me semble que le gouvernement pourrait dire quelques mots sur ces deux affaires dans une déclaration officielle . Il en va de la défense de notre langue et donc de notre culture (cf. identité nationale) . Il est vrai que au plus haut niveau de l'État , pour beaucoup, le style carpette anglaise est de règle .
Pour en revenir aux wallons (dont les bruxellois) s'ils souhaitent par référendum revenir dans le giron français dont ils ont été séparés en 1815, nous les accueillerons avec un grand plaisir .
Exactement N.D.A., "Toutes les constructions politiques artificielles sont fatalement tôt ou tard emportées par le mouvement de l'Histoire".
La Yougoslavie en est une vibrante illustration, fes territoires rattachés, arrachés, morcelés en républiques sous l'ex URSS pour faire cohabiter de force des peuples ne partageant pas de destin commun, de confessions différentes.
Couper les racines des peuples et contribuer à les faire sciemment supplantés par d'autres peuples en les spoliant de leurs territoires, revient à construire sur des sables mouvants une histoire qui ne s'inscrit pas naturellement dans leur évolution. Les frontières ne sont pas seulement géographiques ou il faudrait effacer d'un trait plusieurs générations.
Dans ces conditions, l'Histoire ne peut s'inscrire dans le marbre parce qu'il y a rupture de la continuité. L'Histoire ne s'incrémente pas et se "stroboscopise".
Les peuples se sentent orphelins de leur destin et le déni de leur histoire alimente des rancoeurs, des rancunes, une non-acceptation qui alimente une violence contenue dans les non-dits, larvée qui ressurgira au moindre tressaillement de l'Histoire dont les peuples feront encore les frais (guerres civiles). Appelons la PRONUE
Le séparatisme de la Flandre et de la Wallonie dont nous assistons à la contraction est hautement symbolique parce que le siège de l'europe fédérale en la Commission Euroéenne s'y situe à Bruxelles.
De quoi méditer sur la trahison des peuples par leurs gouvernements respectifs.
Le fédéralisme qui recentralise dans l'optique de créer de vastes régions (mégapoles, métropoles, machins pôles), nie les principes fondateurs des nations, à savoir, leur INDIVISIBILITE, gomme de fait les particularismes
Force ou farce est de constater que le fédéralisme sensé prôner le rapprochement des peuples est responsable (s) dans la réalité par contribution de leur affaiblissement, leur négation, leur aliénation, à encourager les séparatismes pourvoyeurs de nationalisme.
Plus populistes que le fédéralisme, tumeur !
Pour conclure, le fédéralisme qui procède aux divisions est une très populiste division. .. blindée. ..
La France est déjà bien présente en Wallonie.
Elle est le permier investisseur industriel de notre belle
Région. Chaque année des milliers d'étudiants Français viennent en Wallonie et à Bruxelles pour y poursuivre leurs études supérieures. ..Chaque Wallon peut citer 10 personnalités françaises (télévision, radio, littérature, sport) mais sont pour la pluspart bien en peine d'énoncer le nom de trois écrivains Flamands (hormis Hugo Claus) ou deux chanteurs de cette région. Ce n'est pas du dédain, mais notre centre d'intéret est en France, pas en Flandre. La retour de la wallonie vers la mère patrie n'est peut-être pas pour tout de suite mais cet élan de sympathie nous fait chaud au coeur à nous Français de Wallonie.
Vive la République
l'histoire belge n'est pas récente. Déjà, les Romains avaient des problèmes ...
La Wallonie française ? Pourquoi pas ? Mais il faudrait aussi demander aux intéressés, et vu comment les Français les traitent, ça 'étonnerait qu'un plébiscite ait de bonnes chances d'aboutir.
Mais admettons. Et Bruxelles ? On en fait quoi ? Pourquoi pas en faire la vraie capitale de l'Europe, cet OPNI (Objet Politique Non Identifié) ?
Et les Flandres ? Les Hollandais n'en veulent pas. En ferait-on une sorte de Rhode Island ?
amis patriotes,
lisez le dernier numéro de L'expansion sur les Richissimes Familles patronales et Dynasties bourgeoises qui dirigent la France ! pour vous rappeler la triste vérité de ce qu'est devenu ce vieux pays ! Avec Sarko Bling Bling 1er, ça n'a jamais été aussi clair et impudent ... Pauvre république soumise au Capital ! pauvre peuple souverain bafoué !
Si la Wallonie venait à être séparée de la Flandre par la proclamation de l'indépendance de cette dernière, il se présenterait deux cas de figure: 1.La Wallonie garde Bruxelles comme Capitale, alors avec le Brabant Wallon, province la plus prospère de Belgique, elle peut s'en sortir seule et même dépasser la Flandre à moyen terme ! 2. La Flandre proclame son indépendance et annexe Bruxelles, alors la Wallonie a besoin de la France pour s'en sortir, elle ne pourrait y arriver seule sans la richesse de Bruxelles.
Des deux cas, le premier est le plus probable, le second demanderait un coup d'état de la part des flamands et provoquerait une révolution à Bruxelles à 90% francophone. Il est donc peu probable que la Wallonie revienne à la France mais on ne peut présager de l'histoire future...
À l'heure où ce qui se passe dans la région bruxelloise ressemble étrangement à une forme de « purification ethnique », la moindre des choses, c'est de préparer (à tout hasard) le gîte et le couvert pour les amis francophones de Wallonie.
Malgré une déportation massive que l'on cherche à passer sous silence dans le Canada anglais, les Acadiens parmi lesquelles je vis ont su résister à l'impérialisme anglo-saxon pendant des siècles, et à garder leur culture, preuve que la résistance est possible, même pour un petit territoire.
Acadien de coeur, mais « d'importation » comme on dit, je tiens à saluer ici les habitants de la région d’Houffalize dont mon grand-père était originaire et à préciser que toute personne venue de Wallonie qui viendrait à passer par Grande Digue (Nouveau Brunswick) serait accueillie chaleureusement et avec grand plaisir ici. Il suffira de demander à l'épicerie du coin où habite LE français du village ou d'envoyer un mail ......(ici, on dit un courriel).
courage, amis francophones, vous n'êtes pas seuls!
supposons que le processus enclenché d'une séparation de la wallonie et de la flandre aboutisse au divorce, pourquoi penser forcemment que dans ce cas la seule solution pour les wallons serait le rattachement à la france?
il existe bien des pays souverains, de bien plus petite taille, à commencer par notre voisin commun le luxembourg.
une fusion, rattachement ou autre avec la france, supposerait d'abord, une volonté des deux peuples d'engager ce processus. Connaissant un peu les belges (wallons) l'immense majorité a une sympathie marquée pour la france mais ne souhaite pas un rattachement à notre pays (sur cette question, les sondages, dont il faut se méfier) ont beaucoup varié.
il faut avoir conscience que pour nous français, ce rattachement poserait quand même beaucoup de problèmes, et nous en avons déjà tant à régler, que le gouvernement actuel a bien du mal à gérer.
@ 68 ami lointain
La réunification de la France, si les Wallons le désirent, ne devrait pas poser de problèmes de moyens.
Cordialement
Raoul louis CAYOL
Pour conforter l'opinion de tous ceux souhaitant que les Wallons nous rejoignent s'ils le désirent :
Trouvé sur Wikipédia (article Mons) :
A Mons le 10 juin 1890 les ouvriers borains (du Borinage) parcourent la ville en chantant la Marseillaise et en criant "Vive la République" .
En cas de rattachement il faudra demander au SHAPE, le quartier général de l'OTAN installé là depuis son départ de Rocquencourt en 1967 (merci de Gaulle) de bien vouloir se faire voir ailleurs .