17 10 2012
Ce qui devait arriver, arrive !
Par Nicolas Dupont-Aignan le mercredi, octobre 17 2012, 13:25 - Lien permanent
Les avertissements des économistes se succèdent et se ressemblent. Tous, je dis bien tous, mettent en garde contre les effets désastreux des politiques économiques menées par les dirigeants européens. Ce qui devait arriver, arrive !
A force d’appuyer sur le frein des dépenses publiques sans parallèlement doper la compétitivité de nos entreprises et protéger nos marchés de la concurrence déloyale, nos économies s’enfoncent dans la récession cumulative.
Le dernier rapport sur les perspectives de l’économie mondiale par le fonds monétaire international est accablant. Il révèle que les conséquences des plans d’austérité ont été manifestement sous estimées par les experts de l’Union européenne.
Le « fameux multiplicateur » ne serait pas de 0,5 mais de 0,9 à 1,7. Cela veut dire que lorsque l’on réduit une dépense publique de 100 euros, le résultat en baisse de la richesse nationale n’est pas de 50 comme prévu (100 x 0,5) mais de 90 à 170 !
Exactement ce qui c’était passé après la crise de 1929 lorsque les gouvernements occidentaux avaient tous en catastrophe réduit leur budget et en vérité aggravé la crise.
C’est exactement ce que j’ai dit à l’Assemblée nationale tout au long du débat sur le traité budgétaire européen.
Je me souviens encore des paroles lénifiantes du gouvernement m’assurant qu’il fallait faire le pari de la croissance. Le pari est bien évidemment aujourd’hui perdu car on n’a jamais vu une voiture démarrer en côte avec le frein à main serré.
Le taux de chômage atteint 25% en Grèce. La moitié des jeunes espagnols sont à la recherche d’un emploi. Les faillites se multiplient en France. Tous les prix Nobel d’économie s’inquiètent. Et pourtant, rien n’est fait.
Mr Cazeneuve, Ministre des Affaires européennes, a reçu en grande pompe à l’Assemblée nationale avant-hier Mme Viviane Reding, Commissaire Européen, qui est venue donner des ordres aux parlementaires français réunis dans une salle annexe de l’hémicycle.
Elle a récité le catéchisme qui mène l’Europe à la ruine et à la division et les socialistes français se sont couchés comme d’habitude.
Le summum de l’aveuglement est aujourd’hui atteint avec l’entretien de François Hollande dans le journal Le Monde. Pour lui l’Europe ne serait qu’un Malade imaginaire. Le pire serait passé. La zone euro serait sauvée et la croissance au coin de la rue. Quel décalage criant avec la réalité économique du pays !
Mais toutes ces déclarations de Docteur Mabuse sont là pour occulter les vrais défis et notamment celui de la concurrence déloyale. Dans le domaine automobile par exemple, un journal du soir révélait hier comment les marques coréennes sont entrain de damner le pion à nos constructeurs.
La raison est très simple. En juillet 2011 l’Union européenne a signé un traité de libre échange déséquilibré avec la Corée du Sud. Des importations de voitures chez nous ne subiront plus de droits de douane mais bien sûr les voitures européennes en Corée en paieront toujours.
Pourquoi les constructeurs coréens réussissent ? Tout simplement parce qu’ils profitent à fond de la faiblesse de leur monnaie, le won, parce qu’ils s’appuient sur un marché intérieur ultra protégé (80% des parts de marché) et parce qu’ils viennent de signer un accord avec l’Union européenne totalement déséquilibré en leur faveur.
Comment, dans ces conditions, pourrons-nous éviter les délocalisations qui s’accélèrent et la misère qui progresse ?
Encore une fois, il y a urgence à mettre en œuvre un protectionnisme intelligent, non pas pour nous couper du monde, mais pour rétablir tout simplement la loyauté de l’échange.
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Commentaires
Sur le fond, je suis tout à fait d’accord avec votre analyse mais nous vivons une époque où un chat n’est plus appelé un chat et le terme « protectionnisme » effraie un peu nos concitoyens. En tout cas il ne donne pas de la France une image très conquérante. Ne pourrait-on pas parler de « filtres » aux frontières ?
les discutions avec des syndicalistes de base et chevronnés,commencent a porter leurs fruits.les oeilleres s'entrouvent.
Jusqu'où et jusqu'à quand les Français vont-ils accepter la passivité, voire la complicité de leurs gouvernants face au naufrage économique auquel nous assistons? Là réside sans aucun doute la clé du problème.
Pierre Lelouch secrétaire d'Etat aux affaires européennes du gouvernement Fillon 1 ou 2 ou les deux a expliqué comment notre protecteur, en l'occurrence le commissaire européen concerné, avait négocié au nom de l'UE l'accord commercial relatif aux importations des automobiles entre la Corée du Sud et l'UE. Ce brave Lelouch ne savait plus où il habitait devant l'énormité de ses déclarations.
Dans le même ordre d'idées, Bruno Lemaire a tenté sa candidature à la présidence de l'UMP en dénonçant notamment les hautes fantaisies de l'UE et comme par hasard, il a dû déclarer forfait car ses signatures étaient parvenues hors délai.
Bizarre, vous avez dit bizarre?
A ma gauche, la Corée du Sud qui pèse 60 millions d'âmes contre l'UE qui pèse plus de 400 millions d'âmes.
Le poids plume a gagné par ABANDON avant le début du 1er round !
Dans la mesure où cela est encore techniquement possible, je propose aux personnes fréquentant ce blog, le podcast de l'émission... Il est seulement conseillé de vous munir d'une grande quantité de mouchoirs pour sécher vos pleurs de rire ou de tristesse ou les 2.
Cher, NDA,
Votre blog explicite les causes réelles de la crise européenne et française qui va s’aggraver en raison de la politique libre échangiste entre zones à monnaies faibles et zones à monnaie chère, à cause de la politique de taux de change anarchistes, à cause aussi de l’absence de lois sociales comparables aux nôtres dans ces pays.
.
Il est stupéfiant que la Presse l’ignore et encore plus stupéfiant que nos gouvernements successifs depuis 30 ans, et l’actuel, ne veuillent pas le voir
Ils sont inféodés à une idéologie monétariste et internationaliste, destructrice des pays socialement avancés comme le nôtre.
L’euro cher pour nous, encore plus cher pour la Grèce, l’Espagne, le Portugal, pas assez cher pour l’Allemagne, le Danemark, l’Autriche dans une certaine mesure, est défendu par ceux qui profitent de l’UE sans payer les impôts, la finance et, bêtement par le commerce qui ne voit pas que bientôt les affaires vont péricliter à cause de la perte du pouvoir d’achat du peuple de plus en plus soumis au chômage, à une vie de plus en plus difficile.
Un système de monnaies nationales à positionner par rapport à une monnaie commune de référence est indispensable si nous voulons continuer le libre échange entre pays européens sans risque de détruire ceux qui ont des économies structurellement moins compétitives. Mais il faut être doué d’une intelligence normale pour le concevoir et cette dernière n’est pas la mieux partagée.
Peu de gens le comprennent à droite comme à gauche et cela conduira à l’explosion de ce qui fut «le marché commun» du temps des monnaies nationales régulées par le serpent monétaire qu’il fallait garder au lieu de le saboter pour en arriver par force à l’utopie de la monnaie unique afin de nous obliger à nous fédérer alors que nul pays ne pourra en payer aujourd’hui le prix exorbitant, pour rien.
Les promoteurs de cette politique déjà plus que trentenaire nous obligent, par leur attitude intégriste vouée au grand commerce international et à l’argent à droite, à l’idéologie internationaliste utopique à gauche, à revoir notre foi en l’Europe car nous voyons qu’ils n’accepteront jamais de modifier les traités d’une façon telle cela serait économiquement, humainement, raisonnablement, possible.
A notre modération, ils répondent par toujours plus de dérive anarchique, les délocalisations, le chômage, la drogue, l’insécurité et le désastre.
Ils nous obligent de les écarter du pouvoir, de sortir de l’Union Européenne sans peur, grâce à l’article 50 du traité de Lisbonne. Mais pour cela, il faut réussir le rassemblement majoritaire des patriote pour libérer notre pays en montrant le chemin aux autres, sans états d’âme, sans avoir peur des mots, sans querelles entre nous, comme l’avait fait le général de GAULLE avec l’aide de tous les patriotes capables de se dépasser car il faut sauver la France et l’avenir de nos petits enfants. Il faut que se rassemblent tous ceux qui ont dit « non » au TCE le 29 mai 2005.
Je sais, cher NDA que nous pouvons compter sur votre patriotisme, sur votre conscience, sur votre courage, et je vous fais confiance.
Bien évidemment, ce que mr Dupont-Aignan rappelle ici est rigoureusement exact. On peut s'étonner d'ailleurs, au vu de la multiplication des cris d'alarme, qu'il n'y ait toujours pas de contacts inter-partis en vue d'établir un consensus sur une déclaration commune forte, et s'adressant non seulement aux français, mais à tous les européens, dénonçant sans ambigüité ce qui se met en place: la mise à mort des états, l'asservissement des peuples dans un espace flou, qu'on fera vivre dans les conditions d'exploitation du 19° siècle. Ce n'est pas éxagéré, tout indique (on peut toujours nous ressortir le vieux poncif de la théorie du complot, les faits sont là) que la machine infernale s'accélère, pour broyer ce qui reste de Démocratie et de défense sociale.
D'ailleurs, et NDA l'a bien vu, Hollande met le paquet:
plus de doute: les 4 "présidents" de l'UE, plus Merkel et Hollande, veulent brûler les étapes pour conduire de force les états vers leur fin. Hollande, à part l'anecdotique "on est très près de la fin de la crise", prend clairement position. Regardons de très près, car ça va loin ! Sa prise de position super-européiste: "...je veux que ces questions soient réglées d'ici la fin de l'année. Nous (la clique précitée) pourrons alors ENGAGER LE CHANGEMENT DE NOS MODES DE DECISION..." et aussi: "l'Union politique doit intervenir après l'union budgétaire et SOCIALE..." Donc, nivellement par le bas des protections sociales. Sur l'union politique encore: "... les décisions urgentes qui la rendront INCONTOURNABLE...". "l'union politique c'est l'étape qui va suivre l'union budgétaire, l'union bancaire, l'union sociale.".
Tout ceci, d'après lui, applicable sitôt après les élections européennes de 2014 !
Il y a urgence à contrer ces destructeurs, empêcher qu'ils mettent en oeuvre ce pack -coup de force . Il en va, sous un délai très court, de notre souveraineté du peuple, de l'indépendance de la France, à terme de nos libertés. Plus que jamais, la notion de Résistance est vitale. Multiplions les mises en garde, tout en continuant de démontrer qu'une autre voie, pleine d'espoir et d'avenir, est possible, réalisable. France Libre !
Ce n'est pas seulement une situation qui touche l'europe , mais le monde entier est en crise. L'économie va mal partout, il y a un probleme vis a vis des ressources alimentaires , s'y greffe une démographie galopante a laquelle aucun gouvernement ne veut s'atteler. Les perspectives sont sombres, très sombres. Avec des risques de guerre qui pourraient germer dans certains esprits ...
Concernant l'europe , cela fait 20 années que l'on nous ment, en dehors de la paix sur le continent européen , elle n'a apportée que désindustrialisation et misère. L'euro a été une arnaque pour gonfler les prix de tout. Quelques uns se sont enrichis considérablement pendant que la pauvreté explosait.
UMP et PS en sont responsables concernant la France.
Ceci dit, c'est l'attitude générale de la plupart des politiciens qui est déplorable et scandaleuse, pour eux le peuple n'existe pas puisqu'ils se considèrent supérieurs a la " masse " . Cela est meme valable dans leurs propres partis ou les militants sont traités comme des benets a qui ont fait avaler tout et n'importe quoi.
Ce matin , francois Hollande avec un aplomb sidérant nous voyait proche de la fin de crise (!) et, évidemment, nous vendait une nouvelle fois l'euro-fédéralisme...
A Angers l'usine Thomson vient d'etre mis en liquidation, plusieurs centaines de salariés n'ont plus rien. L'agonie s'est prolongé depuis des mois sous les yeux des élus socialistes et ump. Que propose le PS ? Le rachat des terrains et un "appel" aux PMI pour venir s'installer. on pourra toujours y installer quelques kebabs et livreurs de pizzas...
Regardez l"exemple de la société playmobil, société allemande, société qui marche. La plupart de leur production est fait en europe, ils ont aussi tentés de produire en chine. Avant de se rendre compte que ce n'était pas rentable et qu'en plus ils étaient copiés. Déja ils ont pris beaucoup de précaution la bas avec leurs moules, et actuellement les moules qui avaient été envoyés en chine ( un faible nombre ) ont repris la direction de l'Allemagne.
La France, elle, veut construire ses airbus la bas...
sans commentaires car on pourrait multiplier les exemples.
Patrick Mennessier.
LES DOGMES ILLUSOIRES DE LA NEUTRALITÉ ET DE LA STABILITÉ :
Le drame c’est cette rigidité (bientôt cadavérique?) imposée par la monnaie unique !
Même sous un système de change « fixe », les taux entre pays ne restent jamais fixes trés longtemps: dès que la pression due aux déséquilibres des soldes commerciaux se fait sentir, on révise les taux !
En fait, c’est seulement la fréquence qui change par rapport aux taux flottants qui se révisent en continu, au jour le jour. En mathématiques financières, on traite le premier comme un processus brownien, le second comme un processus « de P. Lévy” (i.e. à sauts ponctuels), mais autour de la même évolution moyenne à terme !
L’important, c’est en fait cette évolution moyenne, qui n’est pas la même suivant les pays.
Comment des chefs d’Etat, des gouverneurs de Banques centrales, des économistes, ont-ils pu songer un sel instant qu’en mettant le couvercle « euro-mark » sur la marmite, on empécherait l’eau de bouillir ?
Seule la tuyauterie des transferts, comme entre régions d’un pays, peut y pourvoir. Mais l’Allemagne le refuse à la zone euro. La zone est pour elle un marché captif dans "sa monnaie", auquel les autres ne peuvent échapper par l’ajustement monétaire comme autrefois (outre les nombreuses dévaluations, il y eut deux réévaluations unilatérales du mark en 61 et 69). L’Allemagne veut en profiter le plus longtemps possible, mais sans contrepartie. Comment donc penser, comme on le fait parfois miroiter, que l’Allemagne accepterait une fédéralisation…, qui serait encore plus contraignante pour elle ? D’où cette invraisemblable valse d’allées et venues, de plans en plans, dans l’espoir de corseter les choses en l’état… jusqu’à lexplosion !
Autant en sortir pour elle et/ou pour les autres, avant la catastrophe !
On cite d’ailleurs souvent la longue durée de l’après-guerre en Europe où, jusqu’à l’euro, la monétisation en France a permis la même croissance qu’en Allemagne dont l’orthodoxie tant vantée aujourd’hui ne lui avait pas donné le moindre avantage, alors que les tensions apparaîssent avec la monnaie unique !
Cela amène à se poser quelques questions sur le dogme autrichien originel, cher à habsb, sur la neutralité de la monnaie, ainsi que sur celui de la stabilité des prix:
Tout d’abord, la neutralité: si ce dogme était exact, on pourrait parfaitement imaginer de bloquer la masse monétaire en numéraire, et peu importe la croissance des biens et services: les prix s’adapteraient en conséquence… La monnaie s’évaluerait en s’adaptant à cette croissance au fil du temps, et l’on renouvellerait simplement les billets usagés par des billets en unités, puis en centimes, puis en millésimes, etc. ce qui n’est pas moins normal qu’en centaines ou milliers.
- Quand même fou qu’aucun pays ne s’amuse à le faire sur la planète, non ?
La réponse est assez évidente:
La monnaie de ce pays-là deviendrait rapidement plus recherchée que l’or, et ses propres citoyens des thésaurisateurs acharnés! Mais les placements-investissements disparaîtraient (pourquoi courir ce risque?) ainsi que tout progrès de la productivité et des innovations, l’économie stagnerait (ce qui fut le cas pendant des siècles, sinon des millénaires) et régresserait par rapport aux autres…
On voit bien que ce raisonnement met en exergue, a contrario, les avantages de la monnaie fondante où la seule question qui vaille est: à qui profite-t-elle et quels sont ses résultats?
On voit bien aussi que les politiques monétaires courantes sont, dans tous les pays, un compromis entre les deux…
Ou est donc l’optimum, et cela ne dépend-il pas du pays (antécédents historiques, géographie et climat, ressources naturelles, culturelles et humaines, etc), et surtout de ce qu’on veut optimiser (PIB indifférencié ou individualisé?, Compétitivité ou collaborativité? Conservation ou redistribution? Liberté, égalité, ou fraternité? et/ou dans quel ordre?)
Là encore, la réponse est non moins évidente: « cigales » et « fourmis » peuvent tout aussi bien réussir, si on ne les oblige pas à des comportements contre-nature…
On peut aller plus loin et interroger de la même manière la stabilité, avatar austro-allemand ressuscité du dogme précédent: l’orthodoxie monétaire de l’euro affiche d’autorité une politique monétaire austère de “stabilité” des prix, c’est à dire une croissance monétaire proportionnelle à la croissance économique. Pourquoi ? Pourquoi, en vertu de ce qui vient d’être dit, ce “réglage” tout aussi arbitraire qu’un autre serait-il plus désirable ? Il convient apparemment à l’Allemagne, obsédée depuis longtemps par la nostagie du mark-or, remède à son hyperinflation passée, et qui l’a imposé en entrant dans la zone euro, mais ne convient pas à tout le monde.
Or, aucun des politiques au pouvoir ne pose actuellement le problème en ces termes.
Ils préfèrent tous brailler à l’unisson qu’il faut suivre l’Allemagne… sans se demander si les allemands et leurs satellites n’ont pas récolté tout simplement le fruit de leurs efforts diplomatiques pour imposer la politique leur convenant le mieux !
Un autre type de consensus arbitraire est celui, encore plus injustifié, d’un ancrage stable de la monnaie par le prix de l’or. Cela revient à indexer la monnaie à l’aide d’une matière première, si particulière que son évolution dépend moins du flux de production que de celui des mises en vente, fonctions elle-mêmes d’une conjoncture et d’une spéculation bien souvent non économiques.
En tout état de cause, ce qui compte est le cours relatif des monnaies entre elles qui traduit l’évolution des économies respectives. L’adoption d’une valeur de référence extérieure ne change rien au destin individuel des monnaies.
Oui, il faut AU PLUS TÔT sortir de l OMC, de l Euro, voire de l UE et redevenir responsables de nous-mêmes en France, en étant le plus auto-suffisants possible, eg en subvenant le plus possible à nos besoins par nous-mêmes !
Mais comment faire pour changer de cap démocratiquement dans cette V eme république ?
Le rassemblement des patriotes mettra combien de temps à se faire effectivement ? Se fera t il avant qu il ne soit trop tard ? J espère ....
Jérôme
Paradoxalement, pourvu que les circonstances s'aggravent encore et au plus vite afin que les responsables du désastre soient "sortis" manu militari et laissent place aux vrais pompiers! Car c'est l'instinct de survie qui fait déplacer des montagnes, c'est au pied du mur que l'on voit le maçon. Mais le maçon ce sera vous, au pied du mur bâti par tous ces incompétents. Que Mr Hollande ose dire que l'Europe est un malade imaginaire est tout simplement d'une gravité extrème; qu'il retourne à ses hochets roses et qu'il laisse les vrais compétences au pouvoir. Le malade c'est lui, mais c'est le peuple Français qui subit les saignées.
Vous êtes un visionnaire, Mr DUPONT AIGNAN. Et tout avance à grand pas pour vous donner raison; n'oubliez surtout pas, et nous avec vous, de remémorer qu'il y a maintenant plusieurs années vous tirez déjà largement la sonnette d'alarme.
Pourquoi s'inquiéter ? Le Président vient de déclarer que nous étions au bout de la crise...
J'étouffe de colére ! Je ne sais pas si comme le dis FH la crise est derrière nous, toujours est-il que la pression sur les petits continue de s'exercer puisqu'aux informations de 13h00 j'ai appris que la ponction prévue de 0,15% sur nos pension passerai à 0,30 dés le 01/01/2013.
Quand le matin même je recevais une info de SAUVEGARDE RETRAITE :
"Jean-Marc Ayrault, roi du cumul... de régimes spéciaux !
Cette fois, c'est trop !
Récemment, le Premier ministre a osé dire : "Tous les retraités ne sont pas des nantis".
Comprenez bien : la plupart d'entre eux nageraient dans l'opulence, sauf certains...
Jean-Marc Ayrault prend sans doute son cas pour une généralité ! Car, pour ce qui est de se préparer une retraite de "nanti", il n'a vraiment pas de leçon à donner au "retraité normal"...
En 2009, Jean-Marc Ayrault a été classé deuxième au palmarès des as du cumul de mandats publié par le journal Le Monde. Et pour cause, voici un bon échantillon de son CV :
conseiller général de Loire Atlantique (de 1976 à 1982) ;
maire de Saint-Herblain (deux mandats, de 1977 à 1989) et de Nantes (presque quatre mandats, entre 1989 et 2012) ;
président du district de l'agglomération nantaise (de 1992 à 2001), puis de la Communauté urbaine Nantes-Métropole (de 2001 à 2012) ;
député de Loire-Atlantique (du 2 avril 1986 au 20 juillet 2012, soit pendant 26 ans) et président du Groupe socialiste à l'Assemblée nationale (de 1997 à 2012) ;
Or qui dit cumul des mandats, dit cumul des retraites. Et pas n'importe lesquelles... Que des retraites servies pas des régimes très spéciaux !
S'il partait à la retraite maintenant, Jean-Marc Ayrault percevrait au bas mot 15 000 euros par mois ! Et sans doute beaucoup plus...
L'opacité soigneusement entretenue autour des pensions des élus locaux empêche de préciser ce que ses différents mandats lui rapporteront à la retraite. Mais selon nos calculs, il percevra au minimum 2 000 euros par mois au titre d'ancien maire de Saint-Herblain et de Nantes, et à peu près autant comme ancien président du district de l'agglomération nantaise puis de la communauté urbaine...
Mais il y a encore meilleur ! Le plus gros morceau, c'est bien sûr sa retraite d'ancien député : une pension "plein pot" de 6 630 euros par mois (en 2012), plus un gros bonus comme ancien président de groupe qui devrait lui rapporter au moins 2 500 euros supplémentaires.
En comptant serré (nous n'avons pas réussi à estimer sa retraite de conseiller général...), on peut estimer que Jean-Marc Ayrault a déjà cumulé plus de 13 000 euros d'avantage retraite. Et ce n'est pas tout ! Car même s'il n'a enseigné que quelques années, on lit sur sa biographie officielle (publiée par les services du Premier ministre) qu'il est "professeur d'allemand, depuis 1973" !
Grâce à cette "carrière" fictive , il peut donc prétendre à une retraite d'enseignant : et voilà encore près de 2 300 euros par mois d'empochés...
Faites le calcul : on dépasse la barre de 15 000 euros par mois. De quoi se convaincre que si "tous les retraités ne sont pas des nantis", il en est de beaucoup plus nantis que d'autres... D'autant plus que, comme on l'a dit, toutes ces pensions relèvent en plus de régimes spéciaux !
On finirait par croire que si nos gouvernants préfèrent saigner les retraites du privé plutôt que de toucher à ces régimes spéciaux, c'est parce qu'ils y ont personnellement intérêt... A quand un Premier ministre moins démago ?
A quand un "Premier ministre normal" avec une "retraite normale" ?"
Et avant hier, autre info :
"Vérifié sur le site du Conseil Constitutionnel. Cette décision existe bel et bien.
La baisse des revenus (Président, Ministres...) a été déclarée inconstitutionnelle et donc annulée... dans le plus grand silence!!
Vous avez dit complicité?
Par décision n°2012-654DC du 9 août 2012 le conseil constitutionnel a déclaré non conforme à la constitution l'article 40 de la loi de finance
rectificative qui prévoyait la baisse de salaire de 30% du président, du premier ministre et du gouvernement.
Donc, maintenant, ils sont beaucoup plus nombreux qu'avant... et payés autant.
Comme c'est curieux, personne n'en parle...?
(les loups ne se mangent pas entre eux lorsqu’il s’agit de leur propres intérêts !!)
Bizarre !! vous avez dit bizarre !!
parce que finalement cela faisait bien de faire des déclarations d’économies pour montrer l’ exemple.
Ne s’étaient-ils pas renseignés avant depuis le temps qu’ ils étaient dans l’ opposition !!! "
La baisse de nos pension elle n'est pas inconstitutionnelle §
Le "surdoué" de sa génération, j'ai nommé monsieur Hollande, prétend que la crise européenne touche à sa fin. De plus, et ça paraît quelque peu contradictoire, sinon incohérent, il projette de renégocier avec mme Merkel pour réorienter l'Europe vers la croissance et l'action sociale. Il a déjà discuté avec elle, inutilement d'ailleurs, mais peu importe, il recommence. (Il va nous balader combien de temps avec ses propos de matamore et sa tendance à se coucher devant un partenaire déterminé?). De plus, si la fin de la crise européenne est proche, le sens de cette nouvelle négo avec mme Merkel m'échappe puisque, la crise étant "vaincue", plus la peine a priori de bavarder de nouveau avec Angella M... Hollande ne serait il capable que de nous servir un discours mensonger et incohérent? En fait, je soupçonne qu'il commence à paniquer, il se rend compte que nos idées progressent, il constate que vous, N.D.A., vous êtes de plus en plus présent dans les médias.
Comme vous l'écrivez et le dites inlassablement, N.D.A., le protectionnisme intelligent, étant la solution de bon sens, devrait être mis en oeuvre d'urgence, entre autres mesures tout aussi urgentes. Faute de quoi, oui, nous nous engageons clairement dans une récession grave et durable. un chef d'Etat devrait avoir l'intelligence d'écouter les conseils d'un adversaire tel que vous, N.D.A.: déterminé mais loyal. Il n'y a pas de honte à se tromper mais ce qui est très grave, c'est de persister dans l'erreur.
J'oubliais : FH annonce également, dans l'interview de ce jour, que la prochaine étape européenne sera une construction politique ; la voie du fédéralisme est ouverte, avec la disparition des nations : est-ce ce que voulaient les fondateurs ?
Chevènement, en résumé, sur son blog :
(Intervention du 11 juillet au sénat)
Peut-on sauver l’euro en tant que monnaie unique ?
Il y a des limites objectives à la solidarité au sein de la zone euro. La solidarité, en effet, reste nationale à 97,5 % car si le niveau moyen des prélèvements obligatoires en Europe atteint 40 % du PIB, le montant du budget européen ne dépasse guère 1 %. Compte tenu des disparités de niveau de vie et de l’hétérogénéité des systèmes de protection sociale en Europe, l’idée d’une harmonisation est évidemment inopérante. Le « grand saut fédéral » auquel nous appellent les idéologues de l’européisme serait un saut dans le vide ou plutôt dans le noir, selon l’expression d’un économiste, M. Bruno Amable.
L’Allemagne, en effet, est prise dans une contradiction : exportant la moitié de sa production, elle mène une politique de compétitivité, y compris au plan salarial, destinée à lui faire gagner des parts de marché dans les grands pays émergents à forte croissance. Mais ce faisant, elle déséquilibre la zone euro où elle réalise 60 % de ses excédents et plus généralement l’Europe où se trouvent les deux tiers de ses débouchés. La vielle exhortation de Thomas Mann : « faire une Allemagne européenne plutôt qu’une Europe allemande » semble à nouveau d’actualité.
Tout semble montrer que l’Allemagne, aujourd’hui, ne voit pas d’autre issue à la crise de l’euro qu’un ajustement structurel réalisé au forceps sur les autres pays.
La question de la démocratie en Europe se trouve ainsi posée.
L’Europe doit être refondée. Elle ne peut l’être que dans le prolongement des nations, dans une perspective d’indépendance et sur la base d’un projet social avancé. Cette Europe se fera inévitablement à géométrie variable, parce qu’elle requiert l’assentiment des peuples concernés.
La monnaie viendra à son heure, commune demain, et peut-être un jour à nouveau unique, en tout cas subordonnée au projet politique.
Mais il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs. Ce jour n’est pas venu. Il faudra d’abord trancher le nœud gordien d’une monnaie unique qui loin d’être au service de l’économie, tend aujourd’hui à l’asphyxier. Le TSCG est un nœud coulant pour le progrès social et pour la démocratie.
Autre article (imparable!):
http://www.lalettrevolee.net/articl...
Le meilleur protectionnisme intelligent c'est aussi et surtout l'anticipation. La R&D doit faire émerger, dans des secteurs préalablement identifiés, des hautes technologies innovantes dont la spécialisation serait un gage de non concurrence dans une phase de commercialisation assez longue (retombée éventuelle dans le domaine public)
Il serait intéressant de s'inspirer de l'Euskadi (pays basque espagnol) pour voir les retombées de leur expérience de clusters (concentration géographique d'entreprises interdépendantes) et comment ce concept pourrait s'étendre à l'échelon de la nation (non encouragement du séparatisme, voir les subventions européennes). Clusters santé (optique laser), bâtiment,(recyclage déchets), énergie, industrie, sidérurgie, papier, etc. ..
Qu'est devenu le recensement de clusters en France de 2004 ? A t'il été mis en oeuvre ou l'étude est t'elle restée dans les placards ? Recensement des savoirs-faire traditionnels (A.O.P. ?).
Nous pourrions peut être y trouver des solutions en
analysant le cluster appliqué au sauvetage de la sidérurgie et des machines-outil inspiré de Michaël Porter, Pr à Harvard. Plusieurs PDF sont proposés par google que je ne peux malheureusement télécharger.
Ce même concept prend racine dans l'agglomération de Bangalore en Inde, constitiué par des entreprises internationales.
Monsieur le Président de DLR,
Le surréalisme de la trahison du fédéraliste Hollande!
Sa déclaration de guerre contre le peuple légitime:
La sortie de crise de l'euro proche, l'union politique pour après 2014.
A l'heure de votre vérité! Pire des journalistes fédéralistes complices médiatisent la méthode Couet européenne!
La révolte gronde parmi les souverainistes!
François Hollande brade la France au Fédéralisme pour rester en fonction présidentielle!
UNE HONTE!
En lisant ce matin l'interview donné par le président Hollande à plusieurs grands quotidiens européens dont Le Monde, je me suis pincé pour voir si j'étais bien éveillé.
C'est ce que j'appellerai tout simplement une politique à très courte vue... rassurer les marchés, endormir nos concitoyens et croiser les doigts pour que la situation s'améliore comme par enchantement.
Nous allons plus que jamais dans le mur et certaines analogies avec de bien tristes périodes de notre histoire que beaucoup reprochent à Nicolas Dupont-Aignan me semblent malheureusement plus pertinentes que jamais !
Le discours de Hollande n'est pas lénifiant et oserai je un jeu de mot "stalinophile", la lecture sur le journal "l'immonde" vraie pravda de Bruxelles rappelle au ton prét les discours des soviétiques à l'époque ou l'URSS par ces politiques dans les années 20 ont crées des famines avec des millions de victimes !
Une telle propagande dans un pays comme le notre qui pourtant protége la liberté d'information comme de parole est hallucinant !
On vient nous chanter l'arrivée du "temps des cerises" mais c'est le panzerlied que l'on entendra bientôt sur les champs Élysées.
On pensait Sarko fou dangereux, on a gagné le gros lot avec Flamby 1er !
Tout ça va finir dans un bain de sang.
Cdt
Mercredi 17 octobre 2012 :
Les banques genevoises ont reçu de l'argent venant d'Espagne.
"Les banques et gérants de fortune genevois ont reçu depuis le début de l'année de l'argent venant d'Espagne, transféré par des clients inquiets de l'état du système bancaire espagnol", a indiqué mercredi le président de la Fondation Genève Place financière, Bernard Droux, au cours d'une conférence de presse.
"C'est de l'argent fiscalisé, ces clients ont choisi délibérément de placer leur argent en Suisse car ils n'ont plus confiance dans les banques espagnoles", a indiqué M. Droux, en ajoutant que les banques anglo-saxonnes observent le même phénomène d'arrivée de capitaux espagnols.
(©AFP / 17 octobre 2012 13h49)
Mardi 9 octobre 2012 :
La crise de la zone euro, commencée il y a près de trois ans avec la Grèce, s'analyse comme une vaste fuite de capitaux privés auxquels les institutions européennes, BCE en tête, ont dû se substituer, souligne le FMI. Les banques privées ont ainsi diminué de moitié leurs engagements sur les cinq pays de la périphérie, les ramenant à environ 750 milliards.
Les mouvements sont devenus gigantesques. Entre juin 2011 et juin 2012, l'Italie et l'Espagne ont enregistré des sorties atteignant 235 milliards et 296 milliards d'euros respectivement (soit 15% et 27% de leur PIB). Ces chiffres recouvrent à la fois les désengagements des investisseurs non résidents, qui ont vendu leurs titres d'État, mais également des sorties de capitaux de la part des épargnants.
En revanche, les établissements du «cœur de la zone euro», autrement dit l'Autriche, la Finlande, l'Allemagne et les Pays-Bas, selon le classement du FMI, ont vu leurs dépôts s'envoler, de l'ordre de 350 milliards d'euros depuis l'été 2011. Ces mouvements de capitaux qui divisent la zone euro expriment les craintes d'une «redénomination de la monnaie» (sic), en clair un retour aux devises nationales. «La fuite des capitaux et la fragmentation du marché (interbancaire) qui en ont résulté ont fragilisé les fondements mêmes de l'Union, à savoir des marchés intégrés et une politique monétaire commune effective», avertissent les experts de Washington.
http://plus.lefigaro.fr/article/le-...
Comme c'est bien dit, Mr Dupont-Aignan! J'ai bien peur, cependant, que la situation ne soit désespérée. J'ai écouté le débat parlementaire sur LCP. A chaque question des députés de l'opposition, le gouvernement répond 'c'est l'héritage que vous nous avez laissé, vous n'avez pas de leçon à nous donner'. Comme si les socialistes avaient découvert la situation en arrivant au pouvoir! A ce compte-là, on ne peut pas avancer. Si j'ai bien compris, l'opposition ne peut s'opposer à cause de l'héritage. Nous basculons donc d'un semblant de démocratie à une dictature. Continuez tout-de-même Mr Dupont-Aignan! En espérant que vous serez entendu un jour.
Je pense que le but de tout cela in fine est de détruire les états, et donc les restants de démocratie, pour les remplacer par un controle total des multi-nationales qui sont des mini-dictatures. Les multi-nationales font tout pour contourner les lois des pays, elles veulent se placer au dessus (par exemple Apple avec la garantie de 2 ans). Les gens au pouvoir travaillent pour les multi-nationales qui leur promet un poste honorifique grassement payé une fois le "job" fait. Le mal s'appelle corruption.
J'aurais presque envie de dire "pardonnez leur, ils ne savent pas ce qu'ils font". Or, ce Gouvernement fonce vers le mur des réalités....Vos coups de klaxon, pour l'heure, ne le dévient pas de cette course folle.
Nous portons tous nos espoirs en vous, patience et persévérance, le bon sens prévaudra...
en effet :
entente, concorde et coopération EQUITABLE et LOYALE de peuples souverains et de Nations indépendantes.
Castelin michel
Le 9 novembre 2012, lorsque Nicolas Dupont-Aignan ira se recueillir devant la sépulture du général de Gaulle, profanée récemment par la visite gesticulante de personnalités diverses et seulement occupées de leurs petites soupes électorales ou affairistes, il est probable que le glorieux défunt sera satisfait de voir que la France, pourtant dans une situation dramatique et dirigée par des incompétents dangereux, idolâtres, aventureux, et menteurs sinon criminels, depuis des années, dispose à nouveau de l'espoir du renouveau, parce que le flambeau de la résistance française est repris par un homme capable, sincère et lucide, entourés de fidèles et loyaux compagnons, Français prêts à défendre le pays attaqué aujourd'hui comme jadis, même si les armes diffèrent (la nécessité de l''adaptation aux circonstances tant soulignée par le général de son vivant).
La renaissance de la France libre confrontée à un nouveau danger, différent en degré mais pas en nature, pour le général reposant, ayant bien mérité de la Patrie, ne sera ainsi plus un espoir mais un programme et, pour le dire autrement, un horizon à terme, planifié intelligemment, à part pour le détail du calendrier qui dépend encore de la décision du peuple français, comme l'appréciait le général si féru de plans quinquennaux bien pensés et bien organisés dans leur application.
En la personne de Nicolas Dupont-Aignan, ardent et loyal, auteur d'analyses justes et fines et de solutions fermes, républicaines et appropriées, le gaullisme – le seul véritable gaullisme, esprit de résistance rebelle aux dogmes et aux marchandages médiocres, insensible aux menaces comme aux pressions, attaché au seul intérêt supérieur du pays, et conformé aux exigences et aux contraintes du lieu, du moment et des circonstances – sera ainsi de nouveau présent, en chair et en os, le 9 novembre prochain, avec respect, devant la tombe de l'homme du 18 juin, dispersant et annulant les miasmes et les sanies des usurpateurs qui l'ont précédé en se réclamant de l'héritage immense et du grand nom tout en s'attachant à faire le contraire du bon sens, de l'intérêt du pays et de l'enseignement de celui qui lui rendit, par deux fois en un siècle, la paix, la prospérité, l'honneur et la grandeur.
MM. Sarkozy, Guaino, Fillon, Copé, Hollande, et frères ennemis de l'UMPS avec leurs alliés et compères, se trouveront alors dénudés et mis en face de leurs actes, de leur responsabilité et de leur position ou posture au regard et au jugement de l'histoire dont reposait à leurs pieds, n'en pouvant mais, obligé de garder le silence en soupirant sans doute, cherchant à se retourner dans sa tombe, l'un des plus fameux, des plus glorieux et des plus marquants morceaux. L'un de ceux qu'on peut prendre, le considérer et se dire : il est un peu à lui tout seul l'Histoire de France.
Nous assistons à un concept politique encore plus lamentable que le précédent. Quels sont ces élus qui abandonnent leurs responsabilités (face aux citoyens) et l'ensemble de la démocratie parlementaire ?
Lorqu'elle est faible, l'économie sociale ne doit pas recourir à l'impôt mais accentuer d'urgence, le développement industriel valorisant la production. La vie économique d'un pays se mesure par son innovation et son honneur, par la qualité de ses produits à l'exportation. Ce sont généralement les grandes nations qui, grâce à leurs richesses, doivent soutenir les pays en voie de développement. "L'argent est un moyen et non une fin en soi" (disait bien souvent notre tant regretté Monsieur Philippe SEGUIN).
L'ordre économique mondial se limite trop souvent autour de réunions stériles du G20.
Le FMI a encouragé partout les dérégulations et a fait preuve d'absence de contrôle financier.
Les résultats s'imposent : rigeur, chômage, baisse des revenus et conséquences politiques inévitables. Ceux qui ont la responsabilité du sort de la France sont dans ce schéma identique absurde : ils le savent, persistent et signent leur incapacité.
La rose se fane vite, les héros sont déja fatigués.
Tout ce que vous dîtes est l'évidence même, c'est incompréhensible que nos dirigeants ne fassent pas ce que vous préconisez. Pas besoin d'être un génie pour comprendre que leur politique est suicidaire et que la votre est la solution ! Dès lors comment les qualifier ? D'incompétents ? De lâches ? de traîtres ? Je dirais les 3 ! L'Histoire ne sera pas tendre avec eux, reconnaissant envers vous....et malheureusement, les citoyens vont payer le prix fort jusqu'à la libération et la remise en ordre des choses.
Sommet européen à venir et discours de François Hollande : le surréaliste commentaire "politique" du Figaro et du Nouvel Observateur
Ce matin, sur Radio Paris Ment (France Info), "débat" organisé avec la complicité active et fayotante des journalistes de Radio Paris Ment entre Sylvie Pierre-Brossolette, du service politique du Figaro et Laurent Joffrin, rédacteur en chef du Nouvel Observateur...
Les deux se gaussent des "souverainistes" (ne mentionnant à ce sujet que Marine Le Pen) et des "quelques" (anonymes pour eux, donc incompétents, intouchables) économistes qui "prédisaient" naguère encore la chute de l'euro (ah ah ah !!! rient en cœur le chœur des fayots réjouis et convaincus présents sur le plateau)...
Sylvie Pierre-Brossolette et Laurent Joffrin, portes-parole respectifs de l'UMP et du PS, sont finalement et entièrement d'accord sur l'essentiel pour eux : la crise de l'euro est passée... Ouf ! Mais, comme l'indique le soucieux Joffrin, respectueux des faits et journaliste impartial, si la crise de l'euro est passée, celle de la récession ne l'est pas. Autrement dit, l'euro ne disparaîtra pas (et tant mieux disent les frères ennemis de concert), mais la situation reste grave (comprendre catastrophique pour les Français, les smicards et les gens normaux).
Les deux siamois sont également d'accord pour souligner le courage et le réalisme du discours du président Hollande, sans concession, évidemment, et ferme sur sa ligne, apparemment dans les rails de la situation, avec une politique appropriée au drame qui se joue. On se doutait qu'on n'allait pas entendre le son de cloche de la rébellion, mais de là à subir cette sérénade courtisane...
Aujourd'hui au moins, on sait que Hollande est le nouveau Louis XVI, entouré d'une cour de privilégiés heureux d'être à Versailles, fiers d'être dans le premier cercle du pouvoir, conscient de leur "devoir d'information" et certain de leur sang pur, bleu et supérieur. A moins qu'il ne s'agisse en fait de l'état de leur compte en banque, allez savoir. Lorsqu'on est persuadé d'être dans l'élite, il faut bien des indicateurs insoupçonnables de cette position sociale : couverts de louanges, noyés de congratulations, décorés des dentelles et des ors de la République monarchiste du pouvoir en place, certains de la nécessité d'une dictature douce et éclairée, celle de ceux qui savent et qui réfléchissent, eux-mêmes, ces deux représentants de l'oligarchie pensent qu'ils sont les piliers du temple qu'ils défendent en prétendant le surveiller.
Rappelons, pour mémoire, quelques jours avant l'anniversaire de la mort du général de Gaulle, que
Sylvie Pierre-Brossolette est la fille d'un inspecteur des finances, ancien secrétaire général de la présidence de la République sous Valéry Giscard d'Estaing et ancien président du Crédit Lyonnais, et la petite-fille de Pierre Brossolette, héros de la Résistance, compagnon de la Libération et de Gilberte Brossolette, résistante et sénatrice après guerre.
Pierre Brossolette a donné sa vie à la Résistance et donc au pays. Pris par la Gestapo, torturé, menacé de toutes parts, il prit le parti courageux de se suicider en sautant par la fenêtre de l'immeuble du siège de la Gestapo afin d'éviter de parler sous la torture et de risquer de trahir ses camarades. Un grand homme qui manqua par la suite au pays lors de sa reconstruction.
Quant à Laurent Joffrin, c'est un bel homme, à la langue bien pendue, sans concessions et tout d'un bloc, de gauche, tendu vers le bien-être du pays et attaché avant tout à l'indépendance et la liberté (de la presse essentiellement, pas de celles du pays), le respect de la liberté d'expression tout d'abord, impartial et sourcilleux, prêt à bomber le torse devant un président en conférence de presse. Un homme bon donc. Un homme digne. De confiance surtout.
Chacun sera libre d'épiloguer...
Tout ceci n'est malheureusement que trop vrai (merci et bravo à vous, Nicolas, de l'avoir depuis si longtemps prévu !) et je dirais qu'il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir, et pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre.
La méthode COUE de FH ne fonctionnera pas, bien évidemment.
PEUPLES, réveillez-vous et réagissez !!
http://tempsreel.nouvelobs.com/la-c...
Merkel souhaite ouvertement que l'UE puisse rejeter un budget national.
Non mais je rêve. Je cauchemarde.
Heureusement, réaction (en général) saine des commentateurs (de tous bords) sur la page.
Et oui! Monsieur Dupont-Aignan.ça s'appelle "le SYNDROME du PIEGE ABSCONS"
Les Français ont vôté comme des moutons à la présidentielle au lieu de vôter "blanc",alors que peut-on attendre de personne vautrées dans le larbinisme,en écoutant aveuglément leur classe médiatico-européiste.
Pour arracher des betteraves plantées dans un champs ,ça demande beaucoup d'effort,mais ces efforts ne sont rien, comparé à ceux qu'il faut fournir pour extirper un peuple à sa stérilité de réflexion.Si un peuple a la mentalité de se montrer citoyen,c'est à dire responsable à long terme pour l'avenir de leurs descendants et de l'environnement, alors nos dirigeants n'auraient pas les mains aussi libres pour collaborer avec ces élites technocratiques qui instaure de manière soft, le chaos pour installer leur asservissement sur un ou des "peuples sans devenir".les français,malheureusement dans ce cas de figure, regretterons de n'avoir pas pris au sérieux vos mise en garde contre cette escalade de stratégie coûteuses décidées par Frankfort,Bruxelles,Pékin, Washington,ect....
Natacha Polony ? : Zemmour n'est plus seul.
Ce matin ,18oct, (revue de presse 'europe 1' / 08h35) elle parlait presque (le savait-elle seulement?) comme NDA.
Bientôt , sans doute, ces deux-là seront dénoncés comme de dangereux extrémistes par la cohorte des bobos-gaucho-internationalistes.
Intéressant ; à suivre ... et à écouter
Castelin michel
Mais comment peut on laisser faire ça ?
Nos élus sont ils des traitres à ce point ?
C'est incroyable.
Monsieur Dupont-Aignan,
décidément vous aimez beaucoup le capitalisme. Vous ne le mettez pas en cause.
Que vous veuillez défendre la France c'est tout à votre honneur, mais il n'est pas besoin d'inonder les autres pays de marchandises françaises.
Exporter des voitures en Corée ? Et puis quoi encore ?
Vous n'avez plus publié un billet traitant d'économie depuis 2009. Les militants ne veulent pas du capitalisme. Vous voilà en desaccord avec DLR. L'organisation démocratique de DLR primera-t'elle ?
Monsieur le Député
La crise de 2008 a démarré lors de la baisse du secteur immobilier aux USA ( subprimes ) et cela n' a rien à voir avec l'EURO
Il y a peut être un parallèle entre la crise de 2008 et celle de 1929 lorsqu'on regarde les causes, mais certainement pas concernant les solutions tentées.
Pour ce qui est le rapport sur les perspectives de l’économie mondiale par le fonds monétaire international, il fait un constat et il dit aussi pour ce qui est la zone euro '' Il est bon de constater que ces questions sont sérieusement examinées et que certains de ces mécanismes sont lentement établis '' Il ne propose pas comme solution une SORTIE DE L'EURO
Pour le chiffrage d'une sortie de l'euro des pays du sud je vous propose l'étude de la Ste Prognos AG Berlin
http://www.prognos.com/Singleview.3...
cout pour la France 2,9 Billions d' Euros avec les sorties de l'Espagne, Italie et Portugal
Les commissaires européens sont nommé par le Conseil européen qui inclus la France , statuant à la majorité qualifiée avec l'accord du Président et Madame Viviane Reding est un commissaire qui
compétant dans les domaines Justice, droits fondamentaux et citoyenneté, Alors monsieur le
député dite moi quelles sont ces ordres ?
Je constate aussi que vos informations pour ce qui est l'accord de libre échange UE-Corée du Sud
sont erronées :
Accord commercial UE-Corée: un an après
http://europa.eu/rapid/press-releas...
Il en résulte qu’au cours des neuf premiers mois de mise en oeuvre, les exportations de l’UE vers la Corée du Sud ont augmenté de 6,7 milliards d’euros, c’est-à-dire de35 % par rapport à la même période depuis 2007. Les exportations de l’UE vers les
autres pays ont également augmenté durant cette période (de 25 %) mais le niveau d’augmentation des exportations vers la Corée (35 %) indique que les premières mesures d’élimination de tarifs ont déjà un certain effet.
Les exportations de produits pour lesquels le tarif a été éliminé le 1er juillet 2011
(par exemple, le vin, certains produits chimiques, les textiles et articles d’habillement, les produits en fer et en acier, les machines et équipements, représentant 34 % des exportations de l’UE vers la Corée du Sud) ont augmenté de 2,7 milliards d’euros, soit 46 %.
Pour les produits qui n’ont été que partiellement libéralisés le 1er juillet 2011
(par exemple, les voitures et les produits agricoles, représentant 44 % des exportations de l’UE vers la Corée), l’augmentation est de 3 milliards d’euros,
soit 36 %.
En ce qui concerne les produits dont le tarif est resté inchangé (par exemple,
certains produits agricoles, représentant 18 % des exportations de l’UE),
l’augmentation est de 1 milliard d’euros, soit 23 %.
Les exportations de certains produits spécifiques ont augmenté plus rapidement que la
moyenne, par exemple:
Les exportations de viande de porc ont augmenté de presque 120 %, ce qui représente près de 200 millions d’euros en ventes supplémentaires.
Les exportations de sacs à main et de sacs de voyage ont augmenté de plus de 90 %, soit 150 millions d’euros de ventes supplémentaires.
Les machines pour la fabrication de semi-conducteurs produites dans l’UE ont connu un franc succès et leurs importations par la Corée ont augmenté de 75 %,
ce qui représente 650 millions d’euros d’exportations supplémentaires.
Les exportations de voitures de l’UE ont augmenté de plus de 70 % – ce qui
représente 670 millions d’euros de nouvelles ventes de voitures en Corée
Bien à Vous
Oui, Monsieur le Député, c'est exactement celà; vous avez très bien résumé la situation qui nous emmène dans une spirale sans fin.
La position de l'Allemagne, à terme, est insoutenable sur la supervision bancaire par la BCE. Je ne comprends pas ce que cherche l'Allemagne si ce n'est, évidemment, renforcer et asseoir sa tutellisation pour contrôler la solvabilité de ses créanciers dans la mutualisation des dettes (les eurobonds).
Au demeurant, cette exigence de supervision et de contrôle est politiquement responsable à l'instar d'un François Hollande qui, lui, veut mettre la finance au pas en lui donnant les clefs, le code du coffre fort et les
rênes ballants sur l'encolure (recapitalisation directe par les banques renflouées par la BCE pour "servir" l'économie des états (un beau bas de laine, matelas, magot en perspective ..., et, un bel abandon de choix politiques)
mais elle est dérangeante car parfaitement contradictoire avec l'abandon de souveraineté budgétaire dont l'Allemagne se fait le fer de lance en ratifiant le MES et le TSCG.
L'Allemagne ne cesse de jouer un double jeu (excédents à l'exportation = politique salariale Hartz IV _ délocalisations intra-européenne) et, plus exactement, elle a profité de l'exception, que lui confère sa constitutionnalité et l'immunité dont on fait preuve, à son égard, les unstances européennes.
Curieux traitement de faveur dont l'Allemagne se doit, de temps en temps de lâcher du mou à la troïka, histoire d'entretenir avec la France le mythe des 2 pays fondateurs révolu depuis, belle lurette et son esprit européen. Le mythe est mystificateur et n'entretient l'illusion que chez les illusionnistes de sortie de crise.
Allez, faut atterrir. L'Allemagne a toujours voulu l'aegznt, l'argent du beurre et le c.. de la crémière. Même les romains pourtant experts dans l'art de la guerre,
on failli se casser les boucliers sur ia résistance des germains qui, aujourd'hui encore, ne se dément pas.
L'Allemagne pourra t'elle encore entretenir longtemps l'illusion de sa marche forcée à l'esprit et la solidarité européennes avec la mutualisation des dettes d'états ?
Ou se trouve t'elle acculée dans ses retranchements avec, cette fois, l'impossibilité de garder sa souveraineté constitutionnelle de Karslrube ?
Contrainte de faire le grand saut fédéraliste dont elle ne veut pas sauf sous conditions spéciales : être commissaure en chef ?
Mr Dupont- Aignan qu'entendez vous par :"doper la compétitivité des entreprises?"
Dame Parisot parle :"de choc de compétitivité ",dans sa vulgate libérale cela veut dire qu'elle milite pour abaisser le coût du travail. C'est bien connu les salaires sont trop élevés en France...
C'est pourquoi au Portugal avec un smic net à : 480e ils doivent être "vachement" compétitif si je suis son raisonnement? Pourtant ils s'enfoncent de plus en plus dans la misère ,ou est l'erreur?
2012-10-18
On peut voir l'incompétence de nos dirigeants. Si l'on pousse jusqu'à l'absurde la pensée de ceux-ci. On peut aller plus loin : pour éradiquer la délinquance ; il faut dépénaliser la délinquance.
Monsieur le député,
En ce moment, une guerre se déroule sur le sol français. Des forces armées mandatées par le gouvernement socialo-écologiste sont en train de chasser des agriculteurs de leurs maisons, dans le but de préparer la construction d'un aéroport principalement destiné au loisir.
Ma question est simple : qu'en pensez-vous ?
Malheureusement dans protectionnisme intelligent, il y a le mot intelligent et l'intelligence ne semble pas faire partie des plans du gouvernement soumis aux grands "penseurs" bruxellois... L'avenir est bien sombre en attendant 2017...
De retour sur ce blog.
Excellent billet Mr le Député comme toujours.
Vous préconisez un protectionnisme pour nos entreprises et vous avez raison. Mais ne faudrait-il pas également nous protéger de ces fonds de pensions anglo-saxons qui "rachètent" nos entreprises pour les revendre ensuite....
Sur ce sujet, je viens d'apprendre ce matin que la direction d'ALCATEL LUCENT prévoyait la suppression de 1500 postes !!
Et le massacre continue...
Sortir de l'Euro et surtout de l'Union Européenne reste maintenant LA SEULE SOLUTION.
Cordialement
L
http://blogs.mediapart.fr/blog/eric...
A lire, c'est édifiant. Nous ne sommes plus maître chez nous!
Monsieur le Député
La crise de 2008 a démarré lors de la baisse du secteur immobilier aux USA ( subprimes ) et cela n' a rien à voir avec l'EURO.
Il y a peut être un parallèle entre la crise de 2008 et celle de 1929 lorsqu'on regarde les causes, mais certainement pas concernant les solutions tentées.
Pour ce qui est le rapport sur les perspectives de l’économie mondiale par le fonds monétaire international, il fait un constat et il dit aussi pour ce qui est la zone euro '' Il est bon de constater
que ces questions sont sérieusement examinées et que certains de ces mécanismes sont lentement
établis '' Il ne propose pas comme solution une SORTIE DE L'EURO
Pour le chiffrage d'une sortie de l'euro des pays du sud je vous propose l'étude de la Ste
Prognos AG Berlin
http://www.prognos.com/Singleview.3...
cout pour la France 2,9 Billions d' Euros avec les sorties de l'Espagne, Italie et Portugal
Les commissaires européens sont nommé par le Conseil européen qui inclus la France , statuant à la majorité qualifiée avec l'accord du Président et Madame Viviane Reding est un commissaire qui
compétant dans les domaines Justice, droits fondamentaux et citoyenneté, Alors monsieur le
député dite moi quelles sont ces ordres ?
Je constate aussi que vos informations pour ce qui est l'accord de libre échange UE-Corée du Sud
sont erronés :
Accord commercial UE-Corée: un an après
http://europa.eu/rapid/press-releas...
Il en résulte qu’au cours des neuf premiers mois de mise en oeuvre, les exportations de
l’UE vers la Corée du Sud ont augmenté de 6,7 milliards d’euros, c’est-à-dire de
35 % par rapport à la même période depuis 2007. Les exportations de l’UE vers les
autres pays ont également augmenté durant cette période (de 25 %) mais le niveau
d’augmentation des exportations vers la Corée (35 %) indique que les premières mesures
d’élimination de tarifs ont déjà un certain effet.
Les exportations de produits pour lesquels le tarif a été éliminé le 1er juillet 2011
(par exemple, le vin, certains produits chimiques, les textiles et articles
d’habillement, les produits en fer et en acier, les machines et équipements,
représentant 34 % des exportations de l’UE vers la Corée du Sud) ont augmenté
de 2,7 milliards d’euros, soit 46 %.
Pour les produits qui n’ont été que partiellement libéralisés le 1er juillet 2011
(par exemple, les voitures et les produits agricoles, représentant 44 % des
exportations de l’UE vers la Corée), l’augmentation est de 3 milliards d’euros,
soit 36 %.
En ce qui concerne les produits dont le tarif est resté inchangé (par exemple,
certains produits agricoles, représentant 18 % des exportations de l’UE),
l’augmentation est de 1 milliard d’euros, soit 23 %.
Les exportations de certains produits spécifiques ont augmenté plus rapidement que la
moyenne, par exemple:
Les exportations de viande de porc ont augmenté de presque 120 %, ce qui
représente près de 200 millions d’euros en ventes supplémentaires.
Les exportations de sacs à main et de sacs de voyage ont augmenté de plus de
90 %, soit 150 millions d’euros de ventes supplémentaires.
Les machines pour la fabrication de semi-conducteurs produites dans l’UE ont
connu un franc succès et leurs importations par la Corée ont augmenté de 75 %,
ce qui représente 650 millions d’euros d’exportations supplémentaires.
Les exportations de voitures de l’UE ont augmenté de plus de 70 % – ce qui
représente 670 millions d’euros de nouvelles ventes de voitures en Corée
Bien à Vous
@Garomi (post 12)... Eh oui, les retraités du privé ne sont pas défendus par un lobby ou par les syndicats. On peut donc les taxer non-stop.
Et, comme vous dites, les médias se sont bien gardés d'informer le peuple de la décision du Conseil Constitutionnel concernant la baisse des salaires du président et de son gouvernement. Je suis sûre que Mr Hollande connaissait cette histoire de 'séparation des pouvoirs' quand il a proposé cette mesure. Il a donc pigeonné le peuple 2 fois.
Moi aussi, j'étouffe de colère!
43. anthony56
Compagnons, lisez cet article signalé par anthony56.
La République est en danger. La Résistance est nécessaire. La Libération un but national. L'Union sacrée devient vitale.
Au-delà des mots, c'est votre avenir, la liberté de vos enfants, de vos petits-enfants, notre culture, notre langue, notre faculté, notre liberté de penser et de vivre selon nos souhaits qui sont destinés à disparaître selon les plans vicieux et sous les coups portés par des privilégiés, des despotes, des corrompus, des serviles, des fascistes, des staliniens revêtus de costumes de grands patrons, de grands banquiers, aux ordres de cercles opaques et des multinationales américaines qui tiennent les fils de toutes les marionnettes à leurs ordres.
35. Tauri
Vous n'y êtes pas du tout. On dirait un sous-marin européiste. On ne peut y croire de votre part. La crise actuelle, mondiale, ne date pas de 2008. D'abord, il s'agit d'un simple pic au sein d'une courbe beaucoup plus longue. Ensuite, la crise des subprimes commence dès 2007. Dans la partie visible de l'iceberg.
Par ailleurs, vous citez des chiffres qui relativisent des abus et des erreurs économiques fatales (échanges entre l'UE et la Corée du Sud par exemple) mais aux chiffres on peut faire dire ce que l'on veut si l'on sait s'en servir, et surtout si on ne relie pas les causes aux conséquences.
Les origines de la crise mondiale VISIBLE, en cours, ne sont pas non plus les subprimes américains. La véritable cause est la dérégulation bancaire, associée à la corruption des élites, notamment européennes, qui ont, depuis plus de trois décennies (notamment par la loi de 1973 interdisant à la banque de France de prêter à taux zéro à l'Etat ). Les banques, y compris les anciennes banques de dépôt, jouent désormais au casino, et ne jouent plus qu'à cela. Mais, là encore, ce n'est qu'une conséquence d'un plan complexe, machiavélique, remontant bien plus loin dans le temps. La décision de réduire à rien les Etats d'Europe, sans doute pour commencer, d'endetter les Etats, est une manœuvre politique agressive. Sans armées et sans soldats, mais par des moyens plus efficaces, des étrangers à la France, officiellement des alliés, ont décidé de coloniser notre pays. Pas seulement lui. La pusillanimité de nos dirigeants, de nos politiciens, de nos députés, de nos sénateurs, de nos partis dominants, leur corruptibilité, leur vénalité, leur faiblesse de caractère, leur incompétence, leur esprit défaitisme, leur inconscience, leur ignorance, leur veulerie, leur arrogance, leur goût du luxe, leur bassesse, leur stupidité, leur manque d'intelligence, leur inculture historique, technique, politique, leur faiblesse congénitale, leur suffisance, leur prétention, leur certitude d'être choisis parmi l'élite du monde, simple artifice, dérisoire hameçon pour les gardons qu'ils sont au fond, on choisira, l'ensemble de ces qualités, si l'on peut dire, ou l'une d'entre elles en particulier, sont cause de la situation aberrante où se trouve le pays.
La presse, complice dans son immense majorité, car européiste, car moutonnière, car flattée d'être proche des cercles du pouvoir qui ne manquent pas de la caresser dans le sens du poil, ou ignorante, incompétente, ou vendue, ou totalement incapable, je pencherais pour le tout, persuadée de son importance et aveugle de son impuissance et de son inutilité et, plus encore, de sa complicité criminelle, n'exerce nullement le 4e pouvoir dont le peuple l'a doté naturellement, n'exécutant plus aucun journalisme d'information mais faisant juste de la communication, du relais d'information proposée par d'autres – évidemment fallacieuse ou tronquée –, n'exerçant plus de censure que sur elle-même et sur les rares encore conscients, ne faisant en réalité que de la propagande, se déshonore et trahit non pas le pays – ces messieurs et belles dames conchient la nation et exécrent le patriotisme – mais le peuple de France qui lui a fait confiance.
C'est Zola qui accuse aujourd'hui Dreyfus de haute-trahison. C'est Condorcet qui dénonce les ouvriers aux patrons. C'est Jaurès qui prêche la guerre. C'est Rousseau qui appelle à habiller l'homme nu. C'est Voltaire qui prie pour convertir. C'est Diderot qui brûle des livres en place publique. C'est Albert Londres qui envoie une lettre de dénonciation au directeur du bagne afin d'envoyer une prostituée française aux travaux forcés.
La crise mondiale de 2007 n'est que la continuation, la conséquence, et l'épiphénomène d'un mécanisme infernal, complexe et prévu sur le temps long d'une poignée de riches, d'oligarques (aristocrates et ploutocrates), et leurs valets abjects, soutenus ou encouragés par des puissances extérieures autrefois amies, elles-même noyautées de l'intérieur par les banques richissimes et les multinationales faiseuses de canons dévoreuses de chair humaine et désireuses de juteux bénéfices.
La courbe économique de toutes ces crises successives, de plus en plus graves, amenant aujourd'hui l'assassinat d'un vieil homme en Grèce, demain des millions de morts innocents de par le monde, a la forme générale d'un gibet de potence, au noeud coulant resserré sur des peuples pacifiques et endormis sous un demi-siècle de paix relative et de guerres incessantes mais lointaines.
La seule victime, mais c'est le plus grand crime, est la démocratie mondialement attaquée par des rapaces jouisseurs qui ont décidé d'éradiquer toute autre forme politique que le capitalisme, avant d'investir celui-ci pour le rendre méconnaissable, ou le déformer jusqu'à le rendre encore plus hideux qu'il n'était.
Les banques ne prêtent plus à personne qu'à elles-mêmes. L'économie réelle est exsangue. Les entreprises, les artisans, les commerçants, les gens tout simplement ne sont plus soutenus. On ne prête plus aux pauvres ni même aux demi-riches. Un quarteron fou de vieillards séniles et grotesques a décidé, Coup d'Etat incroyable, d'asservir toute l'humanité, se servant de l'arme formidable du crédit, de l'informatique, de la communication mondiale, de l'endettement généralisé, public, des Etats et des individus, pour arriver à leurs fins : transformer, par le chômage de masse les hommes en serfs, en manants, revenant à une ère féodale disparue, impensable.
Seuls contre cette horreur rampante, quelques esprits lucides, ça et là dans le monde, osent relever le défi.
Non ! La France, comme les autres nations, ne disparaîtra pas. L'esclavage ne sera pas notre destin. La pauvreté notre fin. NOus, peuples du monde, nous refusons ce qui nous est concocté par des fous dangereux et aux moyens colossaux. Mais aux pieds d'argile.
L'euro lui même n'est qu'un accident de cette histoire sordide. Une arme de plus dans un conflit mondial, non plus entre nations, entre pays, entre civilisations, entre religions, mais entre statuts sociaux.
Oui, la sortie immédiate de l'euro est le seul moyen, à court terme, en Europe, pour décongestionner la situation sur le point d'exploser. Mais, à terme, cela ne suffit pas.
La France est attaquée croit-on ? Les souverainistes s'agitent ? NON !
C'est l'humanité qui est mise en péril. C'est la démocratie qui est en question. Nous sommes sur le front, mais la guerre est mondiale.
Les maniaques qui tirent les ficelles ne sont pas à Paris, à Berlin à New York, à Pekin ou à Moscou, mais ils sont dans les conseils d'administration apatrides, dans les cercles opaques où chacun se retrouve dans ce demi-monde, venus de France, d'Europe, d'Asie, d'Amérique, pourvu que la soupe soit bonne et le veau d'or brillant.
La corruption. L'illusion. Le mensonge. L'usure. Voici les armées de nos Huns d'aujourd'hui.
Contre eux, en France, pour l'instant, quelques-uns. Ils sont les éclaireurs d'une nation qui se lève et, à sa suite, la cohorte de toutes les autres nations.
Paix sur terre. Partageons les ressources et les rêves. Conquérons de concert, pacifiquement, les étoiles. Et d'abord, débarrassons-nous des barons et des sicaires à leur suite qui veulent sucer notre sang.
Puis, jugeons tous leurs larbins, leurs valets, leurs laquais, nos élites au pouvoir, dans l'urne ou dans l'ombre.
Nicolas Dupont-Aignan est l'un de ceux qui peuvent y réussir. Il est notre représentant, notre honneur, notre espoir et notre drapeau. Derrière lui, un peuple, conscient de sa valeur, de son rang. Et de ceux des autres.
Hadrien
18 octobre 2012 à 20:00
Laissez tomber, François…
On affaire à un de ceux à qui, au lieu de Mac beth, j’aurais dû, ci-dessus, citer De Gaulle:
- J’en vois se dresser comme des cabris en criant « l’Europe, l’Europe, l’Europe! », mais ça ne signifie rien et ça n’aboutit à rien !
Répondre
vigneron
18 octobre 2012 à 20:33
Voui la mouche à gnagnan, de Gaulle, pile poil, assurément y aurais-tu été beaucoup mieux garée, si ce n’est plus convaincante.
puisque sur le blog de PJorion mon message à Hadrien est refusé ?je tiens à le saluer ici
le vigneron et sa martine ?
@32
Natacha Polony sait parfaitement de quoi elle parle car elle soutien presque ouvertement NDA.
Tout comme Zemmour qui pour parler de NDA l'appel "mon Ami".
« Forte de son armée de 200 000 hommes, la Suisse a organisé, du 6 au 21 septembre, un exercice militaire destiné à vérifier sa « disponibilité opérationnelle » pour faire face au chaos social européen. Au ministère, nommé en Suisse le « Département Fédéral de la défense, de la protection de la population et des sports », on ne le dissimule pas : « Le concept d’exercice « Stabilo Due« repose sur un scénario supposant l’instabilité d’une partie de l’Europe spécialement délimitée pour l’occasion [France, Espagne, Grèce, Portugal, Italie]« . Comme le dit Emmanuel Lechypre dans la vidéo ci-dessus, ce sont toujours les petits pays qui se préparent les premiers. Et les flux migratoires sont déjà là. »
http://olivierdemeulenaere.wordpres...
A l'attention de mr Dupont-Aignan: vous suivez depuis le début l'affaire Pétroplus. Après des mois et des mois d'hypocrisie, les autorités locales et le tribunal de commerce, ayant réussi à dégoûter tous les repreneurs éventuels, ont sauté le pas et condamné Pétroplus. Des centaines de salariés condamnés au chômage, des sous-traitants en difficulté, et encore une raffinerie de moins, à l'heure où la situation internationale -et le bon sens- voudraient qu'on accroisse nos réserves stratégiques. A terme, nous allons importer de plus en plus de carburants, donc de plus en plus chers. Tout se tient: il ne peut plus s'agir simplement d'incapables, ces gens détruisent sciemment tous les moyens de production en France !
A la manif de soutien aux Pétroplus, j'ai vu quelques élus. Mais dans une région notoirement "socialiste" on aurait pu s'attendre à voir un maximum d'élus manifester !
Ce que les dirigeants européens appelent "la crise de l'euro" n'est rien d'autre que la conséquence des difficultés qu'ils avaient à s'entendre pour adopter la forme la plus absolue de fédéralisme. Lorsqu'ils annoncent la sortie de crise, c'est que précisément, ils ont fini par se mettre d'accord sur la programmation de la fin des nations.
Entendons-nous bien, seule compte à leurs yeux la sauvegarde des banques par des mesures de rigueur et d'austérité extrêmes que devront subir les personnes qui rapportent des recettes à l'Etat par la taxation du travail et de l'épargne et par l'étranglement des PME nationales qui, dans leur immense majorité, ne peuvent délocaliser leur outil de travail et dont la zone d'activité se résume à l'hexagone. Les autre grandes entreprises qui ne délocalisent pas encore vont le faire, et celles qui le faisaient déjà vont carrément quitter le pays.
Mais ne soyons pas dupes, le but demeure la fin des Etats et la domination de l'Europe par la technocratie pro-américaine. Nos dirigeants nous font croire que l'abandon de notre souverainté à la caste de Bruxelles est un bienfait qui nous permettra de tenir tête au reste du monde et plus particulièrement aux USA. C'est exactement le contraire. La mort de l'Europe est la condition sine qua none de la survie des USA. Et la commission européenne travaille pour que ce projet soit mené à son terme.
Nous devrons faire une nouvelle révolution. Les peuples d'Europe devront la faire ou ils disparaîtront définitivement.
42
Alcatel Lucent a été plombé par une nouvelle direction qui avait décidé de s'appuyer que sur le créatif. Finie la production de qualité surtout pour le nucléaire français.
Une grossière erreur de prévision a plongé le groupe dans le marasme. Quand on ne vend plus que des idées on voit le résultat surtout qu'il est parfois difficile d'innover de manière gagnante.
L'euro n'a rien avoir la-dedans.
Vendredi 19 octobre 2012 :
Sortie nette de capitaux en août dans la zone euro.
La zone euro a connu une sortie nette de capitaux de 3,4 milliards d'euros en août, après une entrée nette de 18,2 milliards en juillet, suivant les chiffres publiés vendredi par la Banque centrale européenne.
http://www.lesechos.fr/entreprises-...
C'est logique.
C'est normal.
Quand le navire coule, les rats quittent le navire.
@ Yvon
certains ( même sur ce site ) vous répondrons qu'il s'agit là d'une exigence impérieuse de service public ... personnellement je pense que c'est d'une incommensurable connerie ... et je ne puis m'y habituer
@ turmel
à part une modeste industrie agroalimentaire ( conserveries , huileries , vins de Porto ) et un secteur de la construction dynamique ( les Portugais étaient réputés pour leurs ponts et leurs barrages ... en Afrique ) , quelques ateliers de confections ( vêtements , chaussures ) il n'y a jamais eu véritablement d'industries en Lusitanie , ce qui peut expliquer ( en partie ) qu'une main d'oeuvre " non technique " soit également sous payée... la géopolitique c'est compliquée et il ne faut surtout pas l'abandonner aux hommes politiques , aux militaires et aux ... financiers
LA COM-PÉ-TI-TI-VI-TÉ, ON VOUS DIT !
Si Maurice Allais revenait, il serait sans doute le pourfandeur le plus zélé de ce mot d’ordre rabaché à longueur de journée sur nos médias, comme conséquence de l’eurolibéralisme et de la mondialisation.
Ainsi, la semaine dernière, sur notre chaîne parlementaire, face à Thomas Piketty qui dénonçait la spirale récessive anti-Fordiste que recèle sa logique aveugle, le représentant du patronnat Yvon Jacob répondait en ces termes [verbatim] :
- Nous ne cherchons pas à vendre aux français, mais à l’étranger qui représente un plus grand marché !
En quelques mots, était ainsi révélée l’erreur dénoncée, avant Krugman, par Allais: la compétition entre nations n’obéit pas aux mêmes schémas que la compétition intra-sectorielle nationale.
Paul Krugman: “competitiveness is a meaningless word when applied to national economies. And the obsession with competitiveness is both wrong and dangerous”
[la compétitivité est un mot qui n’a pas de sens lorsqu’il est appliqué aux économies nationales. Et l’obsession de la compétitivité est à la fois erronée et dangereuse]
Avec ces propos, Paul Krugman fait en réalité bel et bien amende honorable, lui qui avait aussi commis il y a quelques années un petit livre militant, du plus pur style néolibéral:
La mondialisation n’est pas coupable, V.F. Editions La découverte
Quant à Stiglitz, le voilà enfin clair lui aussi sur la mondialisation:
«Si les exportations créent des emplois, les importations en détruisent ; et nous avons détruit plus d’emplois que nous en avons créés»
«tant la mondialisation du commerce des biens et des services que la globalisation des marchés des capitaux ont contribué à l’augmentation des inégalités, mais de manière différente»
«la compétition entre les pays pour l’investissement prend de nombreuses formes – pas seulement la baisse des salaires et l’affaiblissement de la protection des travailleurs. C’est une course vers le bas globale qui assure que les règlementations sont faibles et les impôts bas»
«dans un monde où les capitaux ne pourraient pas bouger et les travailleurs si, les pays se feraient concurrence pour attirer les travailleurs. Ils promettraient de bonnes écoles and un bon environnement et de faibles taxes sur le travail. Cela serait financé par des taxes importantes sur le capital»
«avec le capital très mobile – et les droits de douanes bas – les entreprises peuvent simplement dire aux travailleurs que s’ils n’acceptent pas des salaires plus bas et des conditions de travail moins bonnes, l’entreprise ira ailleurs»
«la globalisation circonscrit la démocratie à travers la compétition»
Le Prix de l’inégalité, Editions Les liens qui libèrent, Septembre 2012
C’est en effet une vérité qu’un enfant comprendrait:
En libre-échangisme, la capacité pour chaque pays de concurrencer “librement” ses voisins le conduit en toute logique à restreindre les salaires et la consommation chez soi, pour mieux vendre à l’étranger tout en lui achetant le moins possible.
La généralisation à tous les pays de ce raisonnement, c’est la course mortelle au moins-disant:
- moins de revenus et de prestations sociales pour les travailleurs
- moins de cotisations et d’obligations sociales pour les patrons, ce qui revient au même… (et que nous vivons en ce moment précis)
Comme l’avait fort bien décrit S. Halimi dans son ouvrage monumental “Le grand bond en arrière”, c’est la ruine de toutes les conquêtes sociales depuis le XIXe siècle. Ou, comme l’a également écrit J. Généreux dans un livre plus récent, c’est “La grande régression”!
C’est bien à cette spirale récessive que nous ont conduit l’eurolibéralisme absurde de Bruxelles, adoubé par nos gouvernants, ainsi que la mondialisation irréfléchie encouragée à marche forcée par l’OMC.
Dans ce credo forcené, on retrouve évidemment les mêmes… du banquier Monnet au banquier Lamy, en passant par le banquier Peyrelevade qui mérite ici une mention particulière pour avoir produit sur son défunt site “La refondation du capitalisme”, trois billets anti-Allais :
- Critique d’un prix Nobel (Billet1, Billet2:Suite, Billet3:Conclusion)
Du même, dans l’Expansion de mai 2012, et dans Valeurs actuelles de Juin:
- “La rigueur incontournable” (où “l’ajustement doit se faire par la modération salariale”), car…
- “Les marchés vont attaquer la France” (Or la France, après l’Allemagne, emprunte depuis lors à taux courts négatifs sur des marchés déstabilisés par les conséquences de leurs propres actes).
@ GAIA ( 37 )
le problème de l'Allemagne ce sont ses banques ! et c'est bien pourquoi Angela Merkel traine du sabot ... elle n'a pas du tout envie que l'Europe fourre son nez dans leurs comptes ! quand tout sera apuré , elle passera au stade suivant : la fédéralisation , mais une fédéralisation qui n'aura rien à voir avec le Saint Empire !
Les réponses apportées à l’auteur critique de M. Allais, signalé plus haut, ont concerné essentiellement la monnaie et parurent dans:
http://osonsallais.wordpress.com/20...
Mais le même auteur (J. Peyrelevade) adressa également ailleurs sa critique aux contempteurs du libre échangisme et de la mondialisation sans entrave:
Dans « France, Etat critique », paru en Septembre dernier, on peut lire sous la plume du banquier (p. 115-116) :
» On nous rebat les oreilles avec les délocalisations mais, toutes les études le montrent, leur responsabilité dans la baisse des emplois industriels sur le territoire français est infime »
C’était oublier un peu vite ce qui figure p. 64 du même livre:
» Comme le fait remarquer un des intervenants sur mon blog,
- Le pourcentage de biens de consommation importés par l’Europe et produits par l’Asie est tel que le retour au protectionnisme viderait les rayons de nos super et hypermarchés « .
Ainsi « leur responsabilité est… infime », mais le déséquilibre créé est néanmoins tel qu’il a chassé partout nos propres produits du marché national !
Et l’auteur JP d’enchérir, dans la même veine contradictoire, p.63 :
» Enfin, demandera-t-on aux exportateurs étrangers de prouver qu’ils paient, sur leur territoire, les mêmes charges sociales… La Chine et l’Inde doivent-elles réinventer la sécurité sociale et l’assurance-maladie pour avoir le droit d’exporter ? »
A-t-on besoin de lui répondre « Mais oui, précisément, et c’est le meilleur service à rendre aux travailleurs indiens et chinois! » ?
Ainsi, avec la Chine, se met en place une relation « perdant-perdant ». Quelques centaines de millions de personnes passent de la misère rurale à un emploi indécent, mais payé au-dessus de 1,25 dollar par jour – niveau qui sert de référence aux statistiques internationales sur la très grande pauvreté -, tandis que des pans entiers d’activités manufacturières s’effondrent dans les pays plus avancés.
En 1994, l’ancien secrétaire au travail de l’administration Clinton, Robert Reich, s’était livré à un petit calcul malheureusement prophétique dans un rapport délivré à l’occasion du forum de Davos:
» Les nations industrialisées emploient 350 millions de personnes payées 18 dollars par heure en moyenne. Mais au cours des dix dernières années, l’économie mondiale s’est élargie à des grands pays peuplés comme la Chine, l’Inde, etc. Globalement, on peut estimer qu’une force de travail d’environ 1,2 milliard de personnes est ainsi devenu accessible à un taux de salaire horaire de moins de 2 dollars, et même de moins de 1 dollar dans nombre de régions. »
Patrick Artus, lui, enchaîne sur ces pays:
« Cette situation auto-entretenue d’insuffisances des salaires sert à stimuler les exportations » (Natixis, Flash économie, janvier 2010: La dynamique intenable du partage des revenus et de la demande…)
Que croit-on qu’en déduit Big Brother Peyrelevade ?
Qu’il faut importer d’urgence cette politique chez nous, parbleu:
» depuis trente ans, gauche et droite confondues, nous avons préféré une politique de la demande… et une succession de relances artificielles, à une politique de l’offre. »
» Il faut… dégager des ressources et renoncer à consommer. », nous dit-il dans le livre susdit, p. 37.
Ou encore… renoncer à se soigner ou prendre sa retraite, qu’il énonce dans cette admirable novlangue de l’adaptation par le bas, avec des accents de sincérité qui ne trompent pas :
” C’est aux bénéficiaires et à eux seuls de payer par leurs impôts et leurs cotisations les prestations qu’ils reçoivent. Les personnes physiques, les ménages, sont les seuls concernés, les seuls à être malades ou à prendre leur retraite. Que vient faire ici l’entreprise qui ne connaît pour elle-même ni droit à pension ni droit à assurance santé? Demander une contribution au système productif n’a comme sens que de masquer l’ampleur de l’effort nécessaire et comme seul effet de peser sur sa compétitivité ”,
dans son précédent livre sur « l’erreur historique », 2008, p.103…
LA COM-PÉ-TI-TI-VI-TÉ, ON VOUS DIT !
@ jpdu62 ( 42 )
Alcatel-Lucent ne peut lutter contre le dumping chinois ; il faut savoir que les E.U. , l'Australie et bientôt le Canada ont pris ( ou va prendre pour ce dernier ) des mesures pour limiter ( et parfois interdire ) la " pénétration " de ces produits de haute technologie pour une raison qui n'est pas uniquement commerciale , mais aussi et surtout parce que l'exclusivité chinoise sur ce créneau mettait en péril l'indépendance nationale : certains composants permettant à la Chine d'espionner " benoîtement " et en toute tranquillité les communications de ces pays
42. Le jeudi, octobre 18 2012, 20:11 par jpdu62
Oui, il faudrait protéger nos entreprises de la prédation étrangère qui conduit souvent à leur fermeture pour supprimer un concurrent.
Pourrait-on prévoir un droit de préemption par l'Etat qui les donnerait en concession à des coopératives de salariés ou à des entrepreneurs français ?
RC
"ce qui devait arriver, arrive!". Mais la joyeuse clique qui en porte la responsabilité, notamment à Bruxelles, s'enferre dans le déni de réalité. Qu'on en juge: ces charmantes gens nous assurent que: "l'UE va mettre en oeuvre les mesures décidées (?) d'un commun accord pour relancer la croissance, l'investissement et l'emploi."
Ca c'est fort ! Quelles seraient ces mesures miraculeuses qui effaceraient subitement toutes les erreurs passées, tous les dommages subis par les économies de l'UE? Et tous ces gens si compétents, pourquoi n'ont-ils rien trouvé de positif depuis 2008? Quand ils parlent de "commun accord" c'est juste pour soutenir absurdement le contraire de la réalité. Voilà que subitement, ce joli monde, qui n'est pas à un reniement près, désapprouve peu ou prou l'austérité ! Dont il est l'instigateur ! Austérité qui a aggravé partout la situation. Et on peut multiplier les sommets, les déclarations sur la fin de la crise, ... ce qui doit arriver arrivera. Bientôt.
Votre billet est pour le moins curieux.
Vous considérez encore le FMI?
Le FMI a commencé par nous expliquer que les "subprimes" n'étaient pas un problème.
Il a ensuite appelé les pays à relancer(un système condamné).
Pour ensuite militer pour l'austérité(pour corriger les effets de la "relance"...),pour un concours d'austérité!
Aujourd'hui le FMI reconnait qu'il s'est trompé sur les effets d'une baisse sensible et simultanée de la dépense publique dans la plupart des pays d'Europe.
Prenant à revers la plupart des travaux économiques de ces dernières années il affirme maintenant qu'il vaut mieux privilégier les hausses d'impôts plutôt que les baisses de dépenses!
Hollande,comme son prédécesseur,est bien un élève modèle,un bon petit politichien(sans aucune conscience politique ou économique),il se moque des Français en bridant simplement la hausse des dépenses prévues,cerise sur le gâteau il réduit non pas des dépenses de fonctionnement mais il renonce à des investissements.En réalité elle augmente encore de 1 milliard(5000 fonctionnaires en plus).
Dans le même temps Hollande étouffe encore un peu l'économie en écrasant le pays sous les impôts(on note encore une fois l'union sacrée,droite gauche,64 milliards en 2 ans,un crime économique partagé).
L'année prochaine le FMI va reconnaître qu'il s'est encore une fois trompé(que les hausses d'impôts pèsent sur l'économie,sur les recettes,in fine dégradent encore les finances publiques).
En somme Lagerfeld comprend mieux l'économie que l'armée d'expert du FMI,Hollande est un parfait imbécile.
La réalité c'est que vous êtes comptable du désastre,parce qu'avec les autres vous avez milité contre la rigueur vous avez fait le lit de...l'austérité!
La rigueur commandait de baisser la dépense publique improductive pour regonfler le secteur productif anémié(c'est quand même insensé,aujourd'hui être rigoureux est devenu une tare!).
Au lieu d'un choc de compétitivité(une désinflation fiscale,pas salariale)les socialistes ont infligé au pays un choc fiscal létal,ils ont porté l'estocade.
Quand vous voulez vous sortez du corner dans lequel vous vous êtes mis(on croit rêver un "gaulliste" chassant sur les terres de l'extrême-droiche...)!
"Nous étions,à cet égard,sur la route de la catastrophe.On ne voyait plus comment faire face normalement à toutes les dépenses de l'Etat,les impôts n'y suffisant point et le crédit semblant s'éteindre(...)A moins de recourir à la ruineuse inflation ou de faillir à la France,il n'y a rien d'autre à faire que de réduire de moitié le déficit menaçant"
1958...
De Gaulle n'était pas protectionniste(comme André Maginot...),encore moins un faux monnayeur!
Ne vous en déplaise le plan de 58 ne se résume pas à une dévaluation(aujourd'hui pas souhaitable).
Les finances publiques(alors déficitaires depuis près de 30 ans...)sont restaurées,des coupes claires dans les dépenses sont décidées,la dépense sociale baisse,de nombreuses subventions sont supprimées.
La structure fiscale est simplifiée.
Le pays s'ouvre aux échanges internationaux(!),le franc redevient convertible,le contrôle des changes s'assouplit.
Et l'investissement public augmente de plus de 20%!
En somme je ne comprend toujours pas pourquoi vous vous réclamez du génial Général?
La France de De Gaulle c'est 10 points de PIB de prélèvements obligatoires de moins qu'aujourd'hui,et pour cause près de 10 points de moins de dépense publique!
Vous croyez que le déficit(la dette)est le résultat d'une économie atrophiée,c'est le contraire(!),c'est la dépense publique improductive qui condamne l'économie.
Vous n'êtes pas dans le mouvement,dans le rythme,en phase,vous ne voyez pas venir la fronde fiscale,gonfler la vague...
PS:Sur le protectionnisme bien malin celui qui comprend ce que vous proposez.
Un jour partisan de la réciprocité(c'est bien le moins,mais alors pourquoi parler de protectionnisme?),un autre pour monter des murs aux frontières(Maginot encore...).
Enfin notez que depuis 2009 l'euro a perdu près de 30% contre le won coréen...
Le fédéralisme aux USA laisse beaucoup de liberté(s) aux États , et ça fonctionne pas trop mal , depuis pas mal de temps quand même .
Nous , en Europe , nous sommes de gros malins : nous sommes en train de faire exactement l'inverse , on réduit de plus en plus les libertés des États . C'est le grand bazar , ça n'apporte rien aux peuples de positif , au contraire , mais nos dirigeants en ont cure . Il faut dire que tant d'argent a été dépensé au nom de cette fumisterie d'union européenne , ce gros mammouth lourd et incompétent .
Franchement ça la ficherait mal si ces messieurs dames avaient le courage d ' avouer qu'ils se sont trompés .
Le radeau de la méduse ! nous sombrons !
La "crise" est utilisée par les politiques de droite,bien sur,et par ceux de gauche,en traitres,pour detruire toutes les régles sociales et du travail,retour au XIX siecle,il ne reste a ceux qui n'ont que leur travail pour vivre d'éxiger une sortie de l'UE;
Bien sur une sortie de la France sonnera le glas de cet échaffaudage,mais le moment approche ou plus personne n'en aura plus rien a foutre.
FH nous le dit : " tout va bien ! "
Je ne vois rien , je n'entends rien , par contre , je parle : hélas !
http://lexpansion.lexpress.fr/econo...
2012-10-20
Les commissaires européens, les membres du conseil européen, le président de la commission européenne sont-ils élus par le peuple ? Non.
Chaque fois qu'ils prennent une décision ; le peuple est lésé.
Ce sentiment d'injustice ne peut mener qu'à la révolte, voire à la révolution.
En France, il en est de même ; les élus pensent qu'ils peuvent prendre des options contraires à l'opinion du peuple. Voir la constitution européenne, le mariage gay, la dépénalisation du cannabis.
Ils subtilisent le pouvoir du peuple avec des promesses mensongères.
Devant l’autisme des élus ; la violence risque de devenir le seul moyen de se faire entendre.
Ecoutez NDA, la seule oreille qui écoute le peuple.
La marche lorraine
Joyeux Lorrains, chantons sans freins
Le refrain plein d'entrain
De Jeanne bergère immortelle
Du pays de Moselle
A tous, les échos des grands bois
Que nos voix à la fois
Chantent l'antique ritournelle
Qu'on chantait autrefois:
"Jeanne la Lorraine
Ses petits pieds dans ses sabots
Enfant de la plaine
Filait en gardant ses troupeaux
Quitta son jupon de laine
Avec ses sabots don daine oh ! oh ! oh !
Avec ses sabots! "
S'en allait sans émoi
Le cœur plein de foi
Pour défendre son roi
Refrain:
Fiers enfants de la Lorraine
Des montagnes à la plaine
Sur nous plane, ombre sereine
Jeanne d'Arc, vierge souveraine !
Vieux gaulois à tête ronde
Nos bravons tout à la ronde
Si là-bas l'orage gronde
C'est nous qui gardons l'accès
Du sol Français !
S'en fut guider nos fiers soldats
Tout là-bas aux combats
Et fit renaître l'espérance
Dans notre douce France !
Fiers, les Français victorieux
Glorieux flamme aux yeux
Chantant partout leur délivrance
Entonnaient tout joyeux
"Jeanne la Lorraine
A quitté ses petits sabots
Son jupon de laine
Pour guerroyer sous nos drapeaux
Et c'est un grand capitaine
La vierge aux sabots don daine oh ! oh ! oh !
La vierge aux sabots! "
Jeanne le gentil cœur
Partout à l'honneur
Conduisit son seigneur
Refrain 2:
Las ! Un jour elle succombe
Aux mains des ennemis tombe
Das la flamme horrible tombe
Expira la blanche colombe !
Mais depuis, l'âme aguerrie
Au nom de Jeanne chérie
Ange saint de la Patrie
C'est nous qui gardons l'accès
Du sol de France !
Tes fils n'ont pas dégénéré
Sol sacré, adoré
Dans leurs veines encore ruisselle
Du sang de la Pucelle
Aux jours de Fleurus, de Valmy
L'ennemi a frémi
La bataillon de Moselle
Chantait cœur affermi
"Comme la Lorraine
Nous n'avons que de lours sabots
La giberne est pleine
Mais sous la peau rien que des os
L'ennemi fuit dans la plaine
Gare à nos sabots don daine ! oh ! oh ! oh !
Gare à nos sabots !
Et ce mâle refrain
Guidait vers le Rhin
Le peuple souverain !
http://www.youtube.com/watch?v=Laww...
43
En effet.
En même temps il faut élargir cette question (mise sous tutelle) à la perception du problème central , à savoir :
-la perte de la souveraineté du Peuple Français et de l'indépendance de la France.
Débat que n'ouvre pas 'médiapart' car , internationaliste, M.Plenel ne veut voir que l'aspect capitaliste de la mondialisation et de l'UE. Idéologie oblige.
Mise sous tutelle des peuples européens?
N'y a-t-il pas meilleurs procédés de mise sous tutelle d’un peuple, de son aliénation, de sa soumission, de sa dissolution que :
-le sans-frontièrisme ?
-l'immigration anarchique et incontrôlée (Valls- le débraillé- en rajoute une louche) ?
-la double nationalité?
-le vote des étrangers?
-le communautarisme ?
-la repentance ?
-la suspicion, la culpabilisation, l’accusation idiote ?
etc, etc
Soyons bien tous convaincus que nous n'arriverons à mettre en échec l'UE que si nous parvenons à faire comprendre à nos concitoyens (et d’abord entre nous !) que le problème est DOUBLE.
Le problème n'est pas seulement d'ordre capitaliste (libéral… ).
Le problème est AUSSI d’ordre internationaliste (gauche, … et le meilleur : ‘progressiste’ ! quelle toupet et quelle manipulation lexicale !) .
AUSSI ? probablement : D'ABORD ... car :
‘’la plus belle ruse du Diable est de faire croire qu’il n’existe pas ! ‘’ Baudelaire.
Notre combat n’a rien à voir avec la Droite et la Gauche et leurs ailes de toute nature (qui ne servent qu’à des individus obtus et hargneux de jeter la suspicion sur d’autres).
Notre combat vise- ou devrait viser- à amalgamer, fusionner, tous ceux qui veulent dépasser leur positionnement idéologique pour sortir la France de l’abîme dans lequel internationalistes (Gauche) et capitalistes (Droite) l’ont jetée et ne cesse de l’y enfoncer.
CASTELIN Michel
Le nouveau scandale budgétaire de nantes capitale européenne verte 2013: L'éco - dépendance totalitariste!
Le Premier Ministre de Loire Atlantique de Matignon II vert.
Des sociologues comme des humoristes alertent contre le danger du totalitarisme écologique. C'est très simple du conditionnement: Aujourd'hui, il suffit d'ajouter un préfixe éco du profil éco - citoyen , éco - gestes et toute l'encyclopédie éco pour emprisonner les gestes des survies " naturelles". Bientôt dix poubelles colorées ( couleurs mondialistes?) et le futur d'une éco - milice verte contrôlant les poubelles. Le poids des poubelles? La culpabilisation à outrance (du produit bio obligatoire inventé) comme celui de la circulation automobile interdite. Même l'industrie alimentaire contrefait le produit bio de pub verte. L' ECO - DÉPENDANCE du nouveau totalitarisme du robinet fermé avant de l'ouvrir d'éco gestes infantiles!
L'esclavagisme vert robotise sa " religion" écolo - dépendante! Le vert propriétaire de sa déesse idole , la terre ( 3/4 de surface maritime) ....
Hier! l'histoire gestuelle glorifiait la chanson de geste héroïque " La geste" :
Récit en vers, souvent composé par un poète anonyme (le trouveur), mettant en scène, sur un fond historique parfois ténu, des exploits (geste latin gesta, "actions", "hauts faits" en ancien français) de chevaliers de l'époque .
Aujourd'hui le boulet vert enchaîne de son mode de vie utopique et va même de son idéologie kidnapper l'éducation du slogan :" pour l'avenir de nos enfants". Nos enfants? Ceux qui refusent le pétard et qui admettent la recherche OGM contre la famine mondiale! Ils commencent à migrer vers d'autres pays car leur avenir ( sans retraites) ils vont le construire. Hélas les projets de cette génération sont parasités par le lavage de cerveau écologique de l'esclavage du préfixe éco. éco - déplacement ...
éco - responsable ... de la propagande du soviet écologique.
Heureusement la résistance s'organise contre cette culpabilisation à outrance. Le retour du pays - paysan. En période de crise le naturel du chasseur revient au galop! Des coopératives vont même dans le " drive" proposer des produits du naturel non bio! Le système D français. Ceci dans chaque région d'un circuit court avec une production de saison.
Les écolos débordés tenteront une récupération, mais les racines du pays - paysan naturel ridiculisera le monde artificiel ( le pétard?) écolo. Le préfixe dangereux des lois écolos - bobos. Vous en êtes témoins quotidiennement d'un publicité verte indigeste. L 'éco - connerie est présente partout comme hier des murs qui écoutaient en 1940. " Inutile d'ajouter toutes les culpabilisations et stigmatisations d' Europe - Écologie contre le béret ( une seule industrie artisanale en France), la baguette de pain.
Les sectes vertes mondiales les plus intégristes émettaient une planification théorique d'une baisse démographique ( sans tenir compte des chinois et de l' Inde)... Hélas! Dramatique, un rappel de l'histoire génocidaire intellectuelle du fascisme et marxisme à la Polpot. Bref: " Sauvons la planète, libérons nous des khmers verts". Que dire des films débat entre écolos de thème catastrophique de fin du monde de ceux qui reprochent aux autres de jouer sur les peurs! Résistons contre le Fascisme vert de cet éco - dépendance qui vote des lois emprisonnant notre liberté gestuelle et naturelle!
Les médias ( FR3 locale) dont nous payons d'une taxe les trop nombreux journalistes encartés , militent de reportages verts. Comme si les personnes âgées infantilisées de slogans ignoraient la nature! Un enfant rentrant de l'école, bouffant de la M .... industrielle dans la cantine et qui va conseiller mémé et pépé sur l'économie d'eau et d'électricité suite au lavage de cerveau!
En pleine crise économique, il serait grand temps de virer tous les journalistes encartés de la maison de la radio et des télévisions!
De regrouper un pôle de média dont le devoir de réserve ( sans retour ORTF) serait une garantie de déontologie! Mais les médias sont débordés par les internautes sans frontières et les " patrons" des nouvelles technologies!
Le lobbying de la guerre civile du net!
Oui résistons à cette connerie durable de l'escroquerie militante de l'éco - planétaire qui bafoue nos racines naturelles du " pays - paysan".
Vont - il, mous greffer des puces vertes sous la peau pour contrôler le m3 de respiration ( P.V l’asphyxie) et autre paramètre de l'éco - connerie!
Des lois de l'uniforme vert de la robotisation mondialiste!
En 2013, vous verrez les satisfaits non contribuables du scandale idéologique:Nantes capitale de l'Europe verte! La France vendue ... à l'éco - totalitarisme de la pensée unique et de l'éco - goulag vert!
à propos de la réaction de Nicolas Dupont-Aignan à la mort d'un nouveau-né dans le Lot (voir le dernier communiqué sur le site)
Comme tous les Français, je me joins à Nicolas Dupont-Aignan pour exprimer ma solidarité et ma tristesse aux parents de l'infortuné petit ange, leur adressant mes condoléances sincères. Car un tel drame, en France, en 2012, est inacceptable. Cette mort odieuse ne devrait pas être.
Et Nicolas Dupont-Aignan, en exprimant sa révolte et son rejet de la politique menée depuis plus de dix ans par les gouvernements successifs, se bat pour la liberté, pour l'égalité, pour la fraternité.
Oui, il est impensable, irrecevable, que tous les Français ne soient pas égaux devant la loi, dans la vie quotidienne. Certains devraient vivre et certains autres mourir parce que les uns vivraient dans des endroits protégés, dans les villes, dans des milieux privilégiés, et que les autres vivraient dans des territoires abandonnés, des aires rurales, des villages ou des bourgades perdues pour les élites qui ne s'y intéresseraient que dans la mesure où ils y auraient leur propre résidence secondaire ?
Non ! chaque Français a le droit de bénéficier des mêmes égards, traitements, services, de la même qualité, quel que soit l'endroit où il vit. C'est l'essence même de la nation, de la République.
Refusons l'innommable. Refusons l'inacceptable. Rejetons la soumission, le soi-disant inéluctable. Soyons maîtres de notre destin. Assumons l'esprit républicain. Construisons notre pays à l'image de ce qui a été imaginé par nos grands anciens, pour plus de confort, pour une vie meilleure, une santé entretenue, un avenir possible grâce à l'éducation, à l'emploi, partout en France, de manière équivalente. Nous ne pouvons pas retourner à l'ère féodale. Nous ne pouvons pas accepter d'être dirigés par des maîtres auto-proclamés venus de l'étranger. Nous devons reprendre en main les clés de notre destinée. Nous ne voulons pas être asservis à des gens non élus qui se comportent avec l'arrogance des despotes. Viviane Reding : retourne chez toi. Occupe-toi de tes affaires. Cesse de vouloir régenter notre pays. Pour celui-ci, un seul maître, un seul souverain : le peuple de France. C'est inscrit dans notre constitution originelle.
Le népotisme, la dictature, la royauté absolue, nous, Français, les avons refusé il y a longtemps. Nous avons choisi la République, c'est-à-dire la voix du peuple comme seule légitime.
Le gouvernement en place, le président actuel, se comportent, agissent, discourent comme des vendus, comme des traîtres, comme des tyrans. Ils se préparent, s'en réjouissant, à abandonner les derniers pans de notre liberté, pour dissoudre la France dans une fédération d'Etats dominée par des gens non élus, nommés entre eux, dans des conditions opaques, dans un faisceau convergent de faits laissant suggérer la plus vive corruption, vénalité, incompétence. Ce gouvernement, refusant le référendum perd toute légitimité. S'il souhaite transférer les pouvoirs que le peuple lui a consentis en raison de son incapacité, qu'il sent, en raison de son incompétence, qu'il reconnaît, en raison de sa pusillanimité, qu'il doit assumer, alors ce gouvernement doit D'ABORD, demander son avis à tous les Français :
Référendum :
Français, Françaises,
Voulez-vous, oui ou non, que la France disparaisse comme Etat indépendant et se fonde, se dissolve au sein d'une Union européenne aux instances dirigeantes non-élues, ni par vous ni par personne ?
Répondez par OUI ou par NON.
Si c'est le OUi qui l'emporte, alors ce gouvernement qui veut se suicider en aurait le droit.
Si c'est le NON qui l'emporte, alors le gouvernement devrait immédiatement démissionner ou, s'il tient à rester au pouvoir même sans plus de dignité, il devrait aussitôt abandonner ses chimères de fédération européenne dictatoriale.
Sinon ? et bien, ce que la force des soldats de l'An II a pu obtenir pour l'indépendance et la liberté en 1794, celle des soldats de l'An XII, volontaires venus défendre les frontières du pays attaqué une nouvelle fois, le feront à nouveau.
Despotes, dictateurs, apparatchiks, privilégiés et tous ces fichus ci-devants qui veulent la fin de la démocratie, de la liberté, de la République, de la France, gardez-vous ! Le peuple de France n'aime pas les monarques, les tyrans et leurs serviles complices toujours prêts à vendre leur mère pour un ruban de plus. Des têtes ont été coupées naguère. D'autres pourraient bientôt subir le même sort. Force doit rester et restera à la nation.
Comme l'Histoire, la petite histoire monétaire a ses grands hommes. Et il se trouve que ce sont parfois les mêmes.
Il y a un peu plus de quarante-cinq ans, le 4 février 1965, la conférence de presse ci-après , restée célèbre de De Gaulle ; pas seulement pour souligner la modernité troublante de la pensée du Général mais aussi pour prendre la mesure de son talent d'orateur et goûter aussi la beauté de la langue.
"La France préconise que le système soit changé (...). Etant donné la secousse universelle qu'une crise survenant dans ce domaine entraînerait probablement, nous avons en effet toutes raisons de souhaiter que soient pris, à temps, les moyens de l'éviter.
Nous tenons donc pour nécessaire que les échanges internationaux s'établissent, comme c'était le cas avant les grands malheurs du monde, sur une base monétaire indiscutable et qui ne porte la marque d'aucun pays en particulier."
Quelle base ? En vérité, on ne voit pas qu'à cet égard il puisse y avoir de critère, d'étalon, autres que le l'or. Eh ! oui, l'or qui ne change pas de nature, qui se met, indifféremment, en barres, en lingots ou en pièces, qui n'a pas de nationalité, qui est tenu, éternellement et universellement, comme la valeur inaltérable et fiduciaire par excellence."
Deux jours avant que Nicolas Sarkozy se rende à Colombey-les-deux-Eglises (novembre 2010) pour célébrer le 40ème anniversaire de la disparition du général de Gaulle, le président de la Banque mondiale avait lui aussi honoré à sa manière la mémoire de l'homme du 18-Juin.
Derrière ce discours, un homme : Jacques Rueff, "l'homme de l'étalon-or" :
Rueff a d'autant plus facilement modelé la vision monétaire de De Gaulle que celui-ci était tout disposé à défendre un projet qui contestait l'hyperpuissance américaine et "le privilège exorbitant" des Etats-Unis de pouvoir financer "leurs déficits sans pleurs".
Rueff - et de Gaulle - jugeait que l'étalon-or, considéré comme "une relique barbare" par Keynes, était au contraire le meilleur et le seul moyen d'éviter les manipulations politiques de la monnaie et d'empêcher les Etats de céder "aux délices trompeurs de la création monétaire", à la Greenspan ou à la Bernanke.
http://www.jean-brice.fr/Le_Monde_L...
OU VA TOUT L’OR RACHETE AUX PARTICULIERS… ?
Même dans les grandes surfaces de nombreux appels incitent les particuliers à vendre leurs bijoux de famille…
http://olivierdemeulenaere.wordpres...
Si c'est le mot protectionnisme qui effraient nos vierges de l'UMPS, alors parlons de défense de nos intérêts nationaux bien compris.
S'il s'avère que cette défense n'est pas possible au niveau européen, il faudra bien en tirer les conséquences et agir au niveau national.
A moins que l'accession des fascistes au pouvoir ne pose aucun problème à nos chères vierges effarouchées de l'UMPS.
@ Hadrien post 8
Vous posez la question:
"- Quand même fou qu'aucun pays ne s'amuse à le faire sur la planète, non?"
Dans une conversation il m'arrive de poser cette question qui est très souvent vite évacuée par mon
interlocuteur, et le débat est planté car vraisemblablement le sujet fâche parce qu'il implique un malaise dans l'inconscient de ce citoyen...
Il faut donc la poser mine de rien en espérant une réaction de curiosité de sa part. Mais pour cela il est nécessaire de le mettre en confiance comme le ferait Robert Redford "qui parle à l'oreille des chevaux"...
C'est tout de même une piste très intéressante et il me faut donc creuser cette idée.
A ce propos confirmez-vous qu'aucun autre pays ou région du monde n'a pas aussi un tel système monétaire - usine à gaz-?
Merci infiniment pour votre contribution qui rend la matière très digeste!
Seriez-vous parent éloigné du célèbre Empereur romain?
Bien militant vôtre
Titre on ne peut plus parlant, le drame survenu à Figeac pose avec acuité le maintien des services publics de proximité dans les zones rurales par la priorité des dépenses et la qualité des soins accessibles au plus grand nombre.
F. Hollande versant une larme de caïman sur les déserts médicaux (généralistes et spécialistes) fait sourire, pour ne pas avoir à en pleurer, sachant que nous devons ce marasme facilement vérifiable, aux socialistes eux mêmes alors au pouvoir, par la baisse des quotas de formations dans les universités (baisse significative du numerus clausus) pour anticiper les besoins de la population. Dans les centres hospitaliers la désorganisation et le coût engendré par la mise en place des 35 heures était de l'eau, bénite à la libéralisation du secteur.
Conséquences, tellement prévisibles, que révèle ce drame, la disparition d'hôpitaux locaux fédérés dans de grandes structures. En dehors de la distance (kilométrage) pour les services d'urgence en ce qu'elle comporte de risques aggravés pour le patient il y a un autre paramêtre aggravant, peut être occulté ou révélé par la géographie des communautés hospitalières de territoires, c'est le nombre de lits disponibles et l'intégratiion de spécialisations dans,l'absorptiion de l'externalisation locale. Indépendamment du maintien d'un service de proximité d'urgence, est ce que la structure hospitalière a été réajustée, dans la loi HPST aux besoins de la population dans le département pour répondre au nombre identique (les places disponibles).
Parce que, dans ce drame, comment se fait t'il que cette patiente ait été dirigée à Brive-la-Gaillarde, à première vue plus éloigné de Cahors, ce qui peut, dans la réalité cumuler à l'échelon du département lui même, l'aggravation du facteur risque, distance-spécialisation-disponibilité des lits.
Par ailleurs, NDA pose, sans récupération malsaine, la priorité des dépenses et, force est de constater que l'hôpital public est toujours, soit désigné comme bouc émissaire car trop dépensier, soit contraint à la paupérisation, au délabrement faute de moyens, faute de personnel.
L'Aide Médicalisée de l'Etat illustre cette aberration des politiques pratiquées. D'un côté, des citoyens ayant cotisé toute leur vie en France ne peuvent plus se soigner, leur pouvoir d'achat ou pension diminuant, déremboursement des médicaments pour économiser les dépenses de santé de la Sécurité Sociale et, de l'autre, les vannes sont ouvertes, ponctionnant ces mêmes actifs ou retraités pour financer une aide médicale à des clandestins, ce qui nous coûte la bagatelle de 5,6 milliards de dépenses pour 1:milliard de recettes (lorsque la franchise de 30 € était recouvrable, décision gouvernementale de sa suppression = extension par Marisol Touraine).
Les socialistes marchent sur la tête (A.M.E. = Loi Jospin-Aubry).
La suppression de l'A.M.E. tombe, devant l'état de nos services publics, sous le sens des priorités à gérer. Pour les soins d'urgence, que nous ne pouvons, humainement, ne pas pratiquer, il serait sérieux d'envoyer la facture au pays d'origine sans passer par la naturalisation arrachée au forceps par travail au noir blanchi, la scolarisation des enfants er tout le tutti quanti à l'avenant.
Une mesure sanitaire d'urgence s'IMPOSE : IL FAUDRAIT DISSOUDRE LE PARTI SOCIALISTE !
DISSOUDRE LE BI-PARTISME !
68. Castelin Michel
Je suis en accord avec vous. Le problème que nous vivons, les adversaires qui se dressent contre la France, son peuple, la paix, la prospérité, ne relèvent pas du clivage traditionnel "droite/gauche".
Nos ennemis, ceux qui nous mentent, qui nous trompent, sont tout autant de droite que de gauche, en fait, ils roulent pour eux, pour les banques, pour les multinationales, pour l'argent, pour les miettes du pouvoir qu'ils espèrent in fine.
L'internationalisme, l'européisme qui n'en est qu'une facette régionale, un moyen aussi, compte parmi ses sbires tout autant de soi-disants républicains, de soi-disants "gaullistes" (de l'UMP comme ce facheux Guaino qui se dit gaulliste et a voté le traité européen qui tue la France), de soi-disant "socialistes, de soi-disant "gauchistes", voire de soi-disants mécréants, libre-penseurs et autres libertaires. Mensonges, tromperies, rideaux de fumée que ces mots vides de sens. Ils sont tous dans la même troupe, la même bande. Et, pour l'instant, ils se gaussent du peuple, des gens ordinaires.
Rira bien qui rira le dernier.
Lorsque les gens ordinaires seront las de se faire vider leurs comptes, lessiver, compresser, purger, dénuder, ruiner, en auront assez qu'on leur mente, qu'on les trompe, qu'on les roule dans la farine, lorsque tous les Français auront pris conscience de ce qui se passe, ce qui ne saurait tarder, lorsque ce sera leur écuelle, leur escarcelle qui sera vidée, mangée par d'autres, qui se lèchent les babines d'avance, et rient de bon cœur en voyant les manants qu'ils exploitent et manipulent si aisément leur faire encore, toujours, confiance, ne pouvant croire un instant à leur duplicité, à leurs palinodies, à leur vénalité, à leur égoïsme de classe, alors leur colère emportera tout, une fois encore.
Marianne est pacifique. Elle met du temps à saisir qu'on lui fait du mal. Mais lorsqu'elle en a assez, et qu'elle décide de lever la hachette de la liberté pour sauver sa terre, sa famille, alors que prennent garde les démons qui nous pillent, nous mentent et nous veulent esclaves. Pauvres d'eux. Que leurs dieux les prennent en pitié. Lorsque la mère de France se transforme en veuve impitoyable, les mauvaises têtes volent dans les paniers de son. Et les étendards sanglants se lèvent en même temps que les piques des vils et des manants.
Je m'associe à tous ceux qui plaignent les malheureux parents dont le bébé est mort à cause de décisions imbéciles et antisociales. J'ai été révolté d'entendre un journaliste parler de "fermeture de la clinique par manque de RENTABILITE" !
Quand on pense aux innombrables mesures restrictives prises depuis plus de quinze ans , la Sécu devrait être remise à flot depuis longtemps. Sauf qu'en lui ajoutant chaque année 200.000 immigrants en charge, majoritairement non cotisants, c'est mission impossible. Tout comme la CMU, largement dévoyée: l'enfer est pavé de bonnes intentions. Le drame de ce bébé est à ajouter à bien d'autres, qui n'ont pas fait la une des médias. Dans ce pays, les priorités sont tout sauf celles des intérêts des citoyens !
"L'économie internationale aujourd'hui suppose que pour bien exporter, vous importiez plus".
Du Colbert ? Non, du protectionnisme à la
Pascal Lamy entâché à discrétion de patriotisme évidemment populiste.
Le trait commun ? : couleuvre vipérine et le cobra noir immunisé tous les matins ...
Ce pût être du Montebourg. binguiguesque ("Made in France", j'en rate pas une !).
71. Le samedi, octobre 20 2012, 13:51 par Mangouste
Conférence de de GAULLE de du 4 février 1965
Si les Etats sont obligés de payer le déficit de la balance commerciale en or (comme avec les Accords de BRETTON WOODS de juillet 1944 abrogés unilatéralement par Nixon le 15 août 1971), ils feront en sorte que la balance commerciale soit équilibrée.
L’or peut équilibrer la production et l’emploi.
Les néoconservateurs vous font croire que non parce que, selon eux, il n'y a pas assez d'or.
C'est faux, il y a assez d'or pour solder les balances commerciales.
Si l'Amérique avait gardé la garantie or du dollar, nous n'aurions pas la mondialisation sauvage et elle n'aurait pas le niveau de la dette qu'elle a
72. Le samedi, octobre 20 2012, 17:23 par Macarel
« Défense de nos intérêts nationaux bien compris »
Oui, en politique, il existe une dimension, sémantique.
Pourquoi, ne pas parler de « défense de nos intérêts nationaux bien compris »
Cordialement
RLC
Au moment où le gouvernement "socialistes" recherche des économies, pourquoi ne s'occupe t-il pas des 50 milliards d'intérêts à payer en 2012?
Drôles de "socialistes" ceux qui se refusent de toucher au monopole des banques privées pour prêter l'argent à l'Etat alors que la Banque de France, notre Banque Centrale nationale, peux faire mieux pour les contribuables que nous sommes avec encore moins d'inflation puisque nous aurions à rembourser près de 2 fois moins.
La création de monnaie supplémentaire pour payer des intérêt ne peut qu'augmenter l'inflation.
63. Le vendredi, octobre 19 2012, 20:31 par Françoise C
[SIC] Le fédéralisme aux USA laisse beaucoup de liberté(s) aux États , et ça fonctionne pas trop mal , depuis pas mal de temps quand même .
Si vous observez par le discours des partis bipartistes qui une fois au pouvoir effectue chaque année un discours ou grande messe sur « l’état de l’union » avec comme vecteur de diffusion les grandes chaines messianiques fédérales, alors oui tout va bien …
Si vous en avez l’opportunité regarder les chaines des états, vous observerez une problématique identique à ce qui se passe en Europe, avec pour les « swing states » et les « south states » de nombreux éléments de langage de nombreux responsables locaux qui depuis 20 ans appellent leurs citoyens à une nouvelle « sécession » , à ce propos l’arrivée récente des « tea partys » augure de la méfiance de plus en plus grande qu’ont les américains sur l’état fédéral.
Je vous donne ces quelques liens, un peu ancien, qui résument en partie la problématique
http://www.wikistrike.com/article-a...
http://rhubarbe.net/blog/2011/03/24...
http://www.radio-canada.ca/nouvelle...
A l’heure ou le candidat républicain et son camp dénonce l’effondrement de la politique étrangère, une des réponses de Obama (étrangement passé sous silence médiatique ici) a était d’appeler les républicains à leur responsabilité notamment sur ce qui remonte comme signaux faible sur ce qui est la « menace intérieure »
Voilà qui n’est pas de bonne augure pour les imitateurs européens qui veulent imposer au forceps ce modèle, à ce jour sous la forme de l’empire ou de la république, seule Rome à réussi à faire perdurer ce système durant 300 ans et à chaque fois porteur de risques systémiques il s’effondre, il n’y a qu’a voir le modèle économique des « fusions – acquisitions » qui lui est assez semblable, une sur deux échoue dés la première année du fait de l’incompatibilité culturelle !
Un modèle peut fonctionner, c’est la confédération d’Etats- Nations ! Un C2G ne s’est d’ailleurs pas tromper en y faisant référence et promotion.
Cdt
Mr Sapir qui démonte implacablement les "mensonges positifs " que l'on nous débite quant aux bienfaits miraculeux de l'euro .
http://f.hypotheses.org/wp-content/...
En plein accord avec Birhahheim dans ses postes 46, réponse à Tauri (pour moi ce doit-être un troyen) et son poste 70.
Gilbert de Montplaisir doit en boire du petit lait (Lol).
Opportunistes extraordinaires ces verts ! Qui sont mêmes capables de nous guider vers « le cul bio ».
http://www.marianne.net/L-argent-au...
Inutile de rappeler que ces rats de la République ne sont pas les seuls…de nombreux élus socialistes et l’UMP s’encouragent mutuellement pour ce podium (sauf quelques uns dont j’ai la plus grande estime).
Un permis OFFICIEL d’extraction de gaz de schistes a été donné sur la commune de Montélimar.
J’ai croisé fut un temps une actuelle Député écologiste de l’€urss ; issue de La Bâtie-Rolland (petite commune de la Drôme) .
Curieusement je ne l’entends pas…
"Ce qui doit arriver,arrive[en économie]"
Maurice Allais.
Dans le débat politique ce qui détestable ce ne sont pas les idées,mais l'imposture,l'incompétence,l'inconscience ou la bêtise.
Je l'ai noté ici même,vous croyez représenter une alternative,être au dessus du lot,surplomber(pour reprendre le mot du Général),mais en réalité vous vous êtes exclu tout seul de la scène politique(!),vous êtes ailleurs.
Mais où?
Vous êtes comptable du désastre annoncé puisque vous n'avez pas critiqué un instant la dernière réforme fiscale,létale(ou plus largement la philosophie qui commande le système fiscal,depuis longtemps inique).
Mélenchon n'est pas dans l'opposition mais au pouvoir(!),Hollande applique à la lettre un pan de son programme;"Qu'ils s'en aillent tous!",comprendre les riches,le 1%(si cher aux indignés).
Un enfant pourrait comprendre...
C'est l'histoire de la poule aux oeufs d'or(La Fontaine).
Le socialiste,de gauche et de "droite"(depuis plus de 30 ans...),attrape la poule,lui tord le cou,lui ouvre les entrailles,et s'aperçoit qu'il n'y a rien à l'intérieure(sinon de la merde)!
Je ne me souviens plus des chiffres exactes mais l'idée est là,la moitié des Français ne paie pas l'IR,20% des ménages paient 80% de ce qu'il rapporte,10% la moitié,et 1% un tiers.
Le 1% paie 15 milliards d'IR,et plus de 20 milliards de cotisations sociales,près de 10 milliards de TVA,50 milliards(et il faudrait considérer les recettes induites par leurs investissements,et les impôts locaux et indirects...)!
Si les 1% partent(ou sont guillotinés)qui va payer l'addition(?),supporter les conséquences de l'inévitable dégradation économique et budgétaire?
Ceux qui restent,les pas riches!
Alors est-ce que la dépense publique va baisser de 50 milliards?
Est-ce que le déficit(la dette)va augmenter de 50 milliards?
Est-ce que les impôts vont augmenter de 50 milliards?
Est-ce que la BCE va verser à la France 50 milliards?
Mr le député vous représentez le peuple à l'Assemblée(injustement qualifiée de représentation nationale...),comme il se trouve que j'appartiens à ce peuple je vous prie de poser cette question au gouvernement.
...
Encore une fois ce qui est insupportable ce ne sont pas les idées mais leurs conséquences,en somme la médiocrité du débat.
Si Hollande explique qu'il ne supporte pas les inégalités,qu'il n'y a rien d'autre à proposer pour les réduire qu'un nivellement par le bas(le socialiste ne comprend pas que le défi ne consiste pas à appauvrir les riches mais en enrichir les pauvres!),que les recettes fiscales vont s'effondrer mais qu'au moins les Français n'auront plus à supporter la proximité de riches,qu'ils seront enfin entre pauvres,ou moins riches,pourquoi pas!
...
Nous sommes en démocratie,les politiciens proposent, l'électeur dispose,mais il doit pouvoir se déterminer en conscience.
Jacques Rueff aimait répéter "Soyez socialistes,soyez libérales,mais ne soyez pas menteurs!"
...
La raison commande évidemment de réformer au plus vite cette fiscalité anti-économique,donc anti-sociale!
Il convient de retrouver notre compétitivité sur le plan fiscal,de l'aligner sur celle de nos voisins européens(c'est à se taper la tête par terre les politichiens français ne parlent que de convergence,d'intégration et ils font le contraire!).
L'économiste Christian Saint Etienne(centre droit,pas un taliban) a proposé dans un de ces derniers livre une réforme tout à fait remarquable,elle peut être une source d'inspiration bienvenue.
Plus que le "détail"(discutable,plutôt que d'augmenter la TVA et la CSG il faudrait baisser la dépense publique improductive)ce qui importe c'est la philosophie;une compétitivité fiscale retrouvée sans perte de recettes(la plupart des niches sont supprimées,l'assiette est élargie,le taux marginal baisse sensiblement).
Il arrive ainsi à ramener l'IS à 15%(pour les bénéfices mis en réserves) et 23%(pour les bénéfices distribués),dans la moyenne européenne,au lieu de 34% aujourd'hui(c'est donc,pour beaucoup d'entreprises,un choc de compétitivité tout à fait remarquable).
Le même travail est réalisé sur l'IR(beaucoup de niches sont supprimées,le taux marginal baisse).
Quand à l'ISF,supprimé...
Là encore je ne propose rien d'autre que de dire la vérité au Français,ils décideront,mais en conscience cette fois!
Quand l'ISF est crée dans les années 80 les rendements réels étaient supérieures à 10%(!),l'impôt était tout à fait supportable.
Aujourd'hui ils sont pratiquement nuls(retraités de l'inflation),au fil du temps l'impôt est devenu insupportable(confiscatoire),la France au lieu d'exporter des biens et des services a exporté son capital(le moteur de la croissance).
C'est donc à tord que l'ISF est considéré comme une vache sacrée,un "acquis",une mesure de justice(qui n'existe d'ailleurs nulle part ailleurs,même pas en Suède...).
Patrick Artus(lui aussi pas vraiment un intégriste libéral)explique que les seules recettes perdues en TVA coûtent au pays le double de ce que rapportent l'ISF!
D'autres rapports avancent le chiffre de 15 à 20 milliards de perte de recettes.
L'ISF qui rapporte 4 milliards est donc en réalité un impôt qui pèsent sur ceux qui restent,sur les pas riches(l'impôt sur les pas fortunés),il coûte probablement entre 10 et 15 milliards.
Mr le député si vous avez des enfants demandez leur si ils préfèrent avoir dans leurs poches 4 ou 15 euros(40 ou 150 euros ou 400 ou 1500 euros...)?
Si ils sont très jeunes,ou si vous avez des petits enfants,demandez leur si ils ont intérêt à avoir 4 ou 15 bonbons(?),à partager avec leurs copains.
...
L'ISF est supprimé.Comme en Allemagne,en Belgique,ou en Italie,une amnistie fiscale est votée(avec une pénalité incitative,5%?),150 milliards(7.5 points de PIB!) reviennent gonfler l'assiette et irriguer le secteur productif!
L'impôt baisse(IS,IR),la compétitivité fiscale est restaurée(la fuite des capitaux cesse,ils reviennent s'investir,la France peut attirer de la matière grise,des talents), les recettes augmentent.
Un bon impôt(rendement et efficacité économique)c'est un taux bas et une assiette large,le socialiste augmente sans cesse les taux(au fur et à mesure de l'effondrement progressif),mite l'assiette(parce que l'impôt devient insupportable!),il détruit les finances publiques!
La France va droit dans le mûr.
"Les hauts taux tuent les totaux"
De Laffemas(contrôleur général du commerce),l'avait compris il y a près de 5 siècles.
PS:Evidemment cette réforme n'est qu'un pan du plan de redressement,si elle était proposée seule elle serait probablement pas comprise,le programme doit être globale,articulé(contrairement au rafistolage proposé aujourd'hui par Mr bricolage).
Dans l'idéal les niches de la TVA sont supprimées comme les impôts locaux(j'aurai l'occasion d'y revenir).
LA RIGIDITÉ (BIENTÔT CADAVÉRIQUE ?) DE L’EURO…
Même sous un système de change « fixe », les taux entre pays ne restent jamais fixes trés longtemps: dès que la pression due aux déséquilibres des soldes commerciaux se fait sentir, on révise les taux !
L’important, c’est en fait l’évolution moyenne, qui n’est pas la même suivant les pays.
Comment des chefs d’Etat, des gouverneurs de Banques centrales, des économistes, ont-ils pu songer un sel instant qu’en mettant le couvercle « euro-mark » sur la marmite, on empécherait l’eau de bouillir ?
Seule la tuyauterie des transferts, comme entre régions d’un pays, peut y pourvoir. Mais l’Allemagne le refuse à la zone euro. La zone est pour elle un marché captif dans son ancienne monnaie, auquel les autres ne peuvent échapper par l’ajustement monétaire comme autrefois (outre les nombreuses dévaluations, il y eut deux réévaluations unilatérales du mark en 61 et 69).
L’Allemagne veut en profiter le plus longtemps possible, mais sans contrepartie. Comment donc penser, comme on le fait parfois miroiter, que l’Allemagne accepterait une vraie fédéralisation…, qui serait encore plus contraignante pour elle ? D’où cette invraisemblable valse d’allées et venues, de plans en plans, dans l’espoir de corseter les choses en l’état… jusqu’à l’explosion !
Autant en sortir pour elle et/ou pour les autres, avant la catastrophe !
Le scenario de la monnaie commune est un des principaux mis en avant pour sortir de la rigidité de l’euro qui, on l’a dit, maintient le couvercle sur la marmite, jusqu’à ce qu’elle explose…
http://postjorion.wordpress.com/201...
Mais on voit mal par quel miracle les peuples pourraient renverser les rapports de force au point de choisir le scenario.
Il faudra que l’échéance soit bien proche pour que les choses bougent, tant l’euro est encore un des fétiches que brandissent Bruxelles… ainsi que bien d’autres gouvernants.
Et là, les institutions de l’UE et de la zone euro joueront inévitablement avec les hommes au pouvoir. On peut compter sur eux pour s’accrocher au système et en contrôler le cours en leur faveur.
A titre d’exemple, Mario Draghi est un homme de Goldman Sachs (tout comme le sont Monti et Papademos). La Grèce, lorsqu’elle fit appel à Goldman Sachs pour ses comptes, ne se doutait pas que Goldman Sachs jouerait contre elle avec les informations dont elle disposait…
Aurons-nous retenu la leçon ?
C’est l’éternelle question des institutons anti-démocratiques de l’Europe que l’on a laissé se mettre en place.
Il faudrait une véritable révolution qui secoue au moins toute l’Europe du Sud, avec danger pour la vie des puissants (comme on l’a vu ailleurs), pour que les choses changent vraiment (on a bien vu ce que veut dire: « le changement c’est (pas) maintenant! »
Rappelons la citation de Churchill:
“Un peuple qui oublie son passé se condamne à le revivre.”
Dans son excellent livre (Illusion financière) paru en Septembre, Gaêl Giraud rappelle les raisons du mensonge « structurel » :
- Tout va très bien, madame la marquise !
» Le pire qu’une banque puisse craindre, c’est que ses clients cèdent tous simultanément à la panique et retirent ensemble leurs fonds. Comme ladite banque aura inévitablement prêté davantage que ce qu’elle détient effectivement, elle sera immédiatement ruinée, et ses derniers clients seront ruinés avec elle. Comment éviter un tel BANK RUN (course au
guichet) ? En continuant d’expliquer, en dépit parfois du bon sens, que TOUT VA BIEN…
On comprend que la puissance acquise par la sphère financière au sein des économies occidentales contraigne leurs autorités politiques elles-mêmes à entrer dans le cercle d’un MACHIAVÉLISME OBLIGÉ : dès lors qu’une baque pèse aussi lourd qu’un Etat, l’impossibilité pratique de cette banque à dire la vérité sur son bilan de santé déteint sur l’état lui-même. Comment le pouvoir osera t-il rendre publique une information qui, en provoquant la chute du secteur bancaire, induirait son propre suicide ? »
Il explicite ainsi le mécanisme conduisant à la « double noyade »:
« On comprend pourquoi les constructions qui ont été échafaudées en hâte depuis le déclenchement de la crise des subprime – Fonds européen de stabilité financière (FESF) puis Mécanisme européen de stabilité (MES) – ne permettent pas de résoudre le problème financier: aucune de ces institutions n’a le moyen de sauver à la fois le secteur bancaire européen et les Etats. Pourquoi ? Parce que le MES comme le FESF sont censés prêter de l’argent qu’ils empruntent eux-mêmes sur les
marchés ou que prêtent les Etats membres de la zone euro…
Refuser de rompre avec la logique qui consiste à emprunter sur les marchés l’argent dont nous avons besoin pour éponger nos dettes, c’est construire une vaste pyramide de Ponzi à l’échelle européenne et faire le pari que les investisseurs continueront de croire que la garantie allemande est fiable – alors que la CDU et de nombreux économistes allemands ne cessent de répéter que l’Allemagne refusera de payer pour les
autres…
Ce pari pourrait s’effondrer à la prochaine panique financière, capable de faire glisser l’Espagne ou l’Italie sur la pente où les boules de neige ne cessent jamais de grossir (taux d’intérêt réel supérieur au taux de croissance: c’est ce qui arrive à la Grèce depuis la fin de l’été 2009). Jusqu’à ce que la faillite soit déclarée et les dettes annulées… »
# 81 Lilian
Merci beaucoup pour les infos ,je n'ai pas votre culture politique et j'admire beaucoup les gens qui sur ce blog nous font évoluer et nous montrent la face cachée des choses .....
Ma référence au USA résultait de ma révolte et de ma colère : cette Europe aux forceps , dont je ne veux pas , où des gens non élus décident en lieu et place des États me fait peur .Pour autant je ne VEUX pas non plus du modèle américain , je tiens à ce que ma France reste un pays FIER , LIBRE et INDÉPENDANT .
@ Candide, post 73
Je ne sais si nous parlons de la même chose, mais je précise:
Il s'agit dans mon esprit de la question monétaire: masse monétaire constante (dogme de la neutralité), masse proportionnelle à la croissance (dogme de la stabilité), ou en avance sur la croissance (monétisation) ?
Je notais ici "Quand même fou qu'aucun pays..." à propos du premier dogme, reprenant à l'envers une réplique à propos de la monétisation adressée à AJ Holbecq (http://postjorion.wordpress.com/201...) :
- “il aurait été plus intelligent de monétiser”...
par O. Berruyer sur son blog (http://www.les-crises.fr/tscg/#comm...) :
- Quand même fou qu’aucun pays ne s’amuse à le faire sur la planète, non ?
La réponse à cette dernière question est évidemment très différente de la première (la BCE étant au contraire la seule à se lier ainsi les mains en s'interdisant la monétisation):
" Mais c’est pourtant ce qui fut fait par les pays anglo-saxons, lorsque ce fut nécessaire pendant et après la crise, et relevé par les journaux et sur le net : aux USA et en GB, l’achat sur le marché primaire n’est pas interdit à la Banque centrale, contrairement à ce qu’ont raconté certains, et surtout contrairement à la zone Euro !
C’est aussi et surtout ce qui fut fait plus systématiquement, en France durant les Trente Glorieuses (sinon, pourquoi aurait-on eu besoin de la loi de 1973 qui en plafonna l’usage à une somme constante… jusqu’à extinction, avant de l’interdire carrément à Maastricht et à Lisbonne), ainsi qu'en Italie et ailleurs...
Ce fut le cas de la période gaulliste tant vantée de grands travaux et d’investissements publics: en dépit des admonestations de Jacques Rueff, la France connut ainsi une inflation qui accompagna sa forte croissance réelle (5% en moyenne), de même que celle du pouvoir d’achat.
Les allemands, sur la même période, ne firent pas mieux, malgré leur orthodoxie monétaire du mark qui ré-évaluait régulièrement alors qu’on dévaluait !
Il faut donc croire que les cigales peuvent aussi bien réussir que les fourmis si on ne les oblige pas à des comportements contre-nature…
Comme par hasard, la croissance fut divisée par deux après 1973 (qui avait vu simultanément, il est vrai, l’entrée de la GB dans le MC en janvier, et l’abandon OFFICIEL de Bretton Woods en mars, avant de connaître la première crise pétrolière). Mais les Etats-Unis connurent la même croissance moyenne après comme avant, contrairement à l’Europe! On trouve trace de tout cela dans un opuscule composé par… Maurice Allais, à l’occasion du débat référendaire sur le TCE de 2005 (disponible sur le net, notamment dans “osonsallais”).
Si “aucun (grand) pays ne s’amuse à le faire (systématiquement)”, c’est qu’il s’agit d’une politique de redistribution radicale par l’investissement public et… l’euthanasie du rentier. (Rien à voir, évidemment, avec les politiques de création monétaire corrompues, au Zimbaboué ou ailleurs).
On comprend pourquoi le lobby financier et la nomenclatura néolibérale sont contre et pratiquent le flou artistique dans le mélange des genres ! "
Quant à l'apparentement avec l'empereur romain..., il ne s'agit que du prénom de mon fils !
Incidemment, je n'ai rien d'un militant... Simplement un citoyen (de gauche), désireux d'en finir avec ce marais PSUMP !
D'un horizon tout aussi èloigné du mien, je recommande l'excellent livre de Gaêl Giraud, qui vient de paraître:
Illusion financière, Ed. de l'atelier, Sept. 2012
La poule aux oeufs d'or(suite)
L'alignement de la fiscalité du capital sur celle du travail,le coup de grâce portée à une économie chancelante.
Les Français,une fois encore,sont tombés dans le panneau,abrutis,écrasés,étourdis par 30 ans de socialisme ils n'ont pas compris les conséquences qu'allait avoir cette nouvelle promesse électorale inconsidérée.
Le piège était parfait parce que la proposition pouvait paraître tomber sous le sens.
Pourquoi en effet le capital devrait être moins taxé que le travail?
L'imposture socialiste est double(et la bêtise de "la droite" insondable),d'abord le capital n'est pas moins taxé que le travail(au moins en ce qui concerne les intérêts et les dividendes)!Ensuite l'alignement n'a pas lieu d'être.
Pour les intérêts le prélèvement libératoire est de 24%,pour les dividendes de 21%,pour les plus values le taux est de 19%.Les intérêts et les plus-values sont soumis aux prélèvements sociaux,15.5%.
Le prélèvement libératoire est apparemment un privilège exorbitant,en réalité il se justifie,si un contribuable reçoit de son placement 4% de taux d'intérêt,pour calculer son revenu réel il faut considérer l'inflation,comme aujourd'hui elle flirte avec les 2% le revenu réel est de 2%(moitié moindre), la fiscalité pèse sur les 4%!Le contribuable paie près de 80% d'impôt(!),un montant bien supérieur à l'addition du taux marginal de l'IR et des prélèvements sociaux!
Après la réforme le contribuable paiera plus de 110%!
Les dividendes.
Les dividendes sont une fraction des bénéfices de l'entreprise distribuée aux actionnaires,ils ont déjà été imposé,à 34%!Le taux réel de l'impôt est de près de 60%,là encore supérieur à l'impôt pesant sur le travail.
Après la réforme le contribuables paiera plus de 70%!
Ceux qui sont redevables de l'ISF(au taux maximal de 1.8%)paieront sur les intérêts plus de 200%(ils perdront de l'argent si ils investissent!),sur les dividendes plus de 80%!
Plus surement ils paieront...leurs impôts ailleurs!
C'est vrai que les plus-values sont moins taxées que le travail(19% et 15.5% de CSG,moins que le taux marginal,près de 40, plus la CSG),mais le capital c'est du revenu cumulé!
Là encore le Français est berné,parce qu'il est conditionné.
Quand il entend capital il imagine un homme âgé,ventripotent,en costume gris trois pièces,en train de fumer un cigare(ou un trader de Goldman Sachs).La réalité c'est que le capital c'est l'épargne(c'est à dessein que le socialiste parle de capital...),pour la plupart pas le fruit de la spéculation mais le produit du travail,des "économies" comme on dit communément,gonflées de la rémunération de placements financiers.
L'impôt sur le capital n'est pas inférieur à celui pesant sur le travail puisque le capital à déjà payé l'impôt sur le travail!
Si les socialistes votent cette réforme les investisseurs ne vont plus investir,bafouer la loi(fraude fiscale),ou quitter le territoire.
La fronde des "pigeons" n'a fait reculer le gouvernement qu'en apparence,les pigeons ne représentaient qu'eux-mêmes,ils n'ont défendu que leurs corniches ou leurs lampadaires,les autres investisseurs,pas représentés,vont subir la nouvelle fatwa du PS;l'entrepreneur détient 10% du capital pendant au moins 2 ans,et au moment de la vente il possède au moins 5% de l'entreprise,et en retire la moitié de ses revenus.
Cette réforme est adopté au moment même ou les banques sont contraintes par le même mauvais génie(le régulateur comme on l'appelle)de réduire leurs bilans.L'effet ciseau va évidemment être désastreux(ce n'est pas la BPI,qui n'est rien d'autre que la fusion d'organismes existants,qui va faire le contrepoids!)
C'est complètement délirant(!),et les socialistes vont détruire l'économie,ou plus justement ce qu'il en reste,sous couvert de... justice sociale!
Vertigineux.
Lagerfeld a raison,au gouvernement de parfaits imbéciles,heureux en plus.
En économie "Ce qui doit arriver,arrive"(Maurice Allais).
"C'est un peu l'affolement général.De 400 à 500 habitations de plus d'1 million sont venues s'ajouter[récemment]au marché parisien(...)
Ce ne sont plus de riches inactifs ou des rentiers mais des managers de grandes entreprises,des entrepreneurs et des repreneurs d'entreprises beaucoup plus jeunes qu'auparavant,effrayés par la taxation des plus-values d'actions à plus de 60%"
Daniel Féau(immobilier haut de gamme).
60%...
De facto une nationalisation.
On peut parler de répression financière(avec la bénédiction de " la droite",qui a d'autres chats à fouetter,et du Conseil constitutionnel...).
Si les politichiens roupillent("Réveillez-vous!"Baverez...)les Français sont en plein cauchemar.
@ Marc ( 62 )
Je crois qu'il vous sera très difficile de faire admettre votre ( juste ) point de vue sur ce blog ... il est certain qu'une grande majorité de sympathisants croit que l' Etat doit diriger l'économie ... pour ma part je ne le pense pas ; le rôle de l'Etat devrait être de ne pas entraver l'économie , d'établir et de faire respecter une morale " économique "
Colbert ( qui fut, faut il le rappeler , un profiteur notoire , par son népotisme , de son pouvoir discrétionnaire ) rendit un jour visite à la ville de Rouen ( à l'époque une des plus grandes et prospère villes du Royaume avec Bordeaux , Lyon et Marseille ) ; il demanda aux représentants des corporations ce que le Roy pouvait faire pour eux ; la réponse fut : que le Roy nous laisse travailler en paix !
comme de bien entendu , cela ne fut pas ... entendu à Versailles !
@76 – Le Curieux
J’imagine la souffrance et la détresse de la mère ; l'impuissance du père et certainement sa colère…
Vous dites :
« Dans ce pays, les priorités sont tout sauf celles des intérêts des citoyens ! »
Pour nous contredire c’est pour cela qu’ils font tout pour les naturaliser…
«Pour pouvoir accueillir l’autre, nous devons d’abord nous affirmer nous-mêmes, sinon nous allons être avalés par les nouveaux arrivants.» (…)
Cardinal Peter Turkson, 64 ans.
Cet Africain, originaire du Ghana, est effectivement hanté par le déficit démographique européen et par la montée de l’islam sur le Vieux Continent.
http://www.egaliteetreconciliation....
@Marc
Pour l'ensemble de vos commentaires on ne peut qu'adhérer, enfin, surtout ceux qui sont à la tête d'entreprises et qui voient chaque jour, l'ogre étatique les sucer jusqu'à la moelle /
L'état doit rester à sa place en préservant les libertés individuelles et la sécurité des citoyens. Par contre, et cela peut paraître contradictoire, il doit retrouver sont droit régalien à battre monnaie pour ne pas dépendre des marchés financiers et que ces derniers fassent leurs rôles en faisant tourner les flux qui permettent de créer de nouvelles entreprises.
En écho aux récentes et courageuses déclarations de NDA , il faut faire la part des choses sinon tout finra très mal .
L’ancien ministre giscardien, Michel Poniatowski, écrivait dans son livre-testament une conclusion dont on ne voit pas quelle ligne on pourrait changer 21 ans plus tard.
> "Son âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi, et surtout, à cause de la société à la fois pluri-ethnique et pluri-culturelle que l’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges, à lui imposer. Si cet essai a permis à quelques-uns de mesurer devant quels périls nous nous trouvons placés, il aura déjà atteint son but. ( ) Ces pages peuvent apparaître cruelles. Mais elles correspondent à un sentiment très profond. Le moment est venu de traiter énergiquement le problème de l’immigration africaine et notamment musulmane. Si tel n’est pas le cas, la France aura deux visages : celui du «cher et vieux pays» et celui du campement avancé du tiers monde africain. Si nous désirons voir les choses dégénérer ainsi, il suffit de leur laisser suivre leur cours. Le campement africain toujours plus grand, plus vaste, plus illégal, grignotera d’abord, puis rongera, avant de faire disparaître tout entier le cher vieux pays, dont la défaite sera annoncée du haut des minarets de nos nombreuses mosquées. Nos temps sont assez graves pour ne pas faire appel à de médiocres facilités politiciennes. Nous allons vers des Saint-Barthélemy si l’immigration africaine n’est pas strictement contrôlée, limitée, réduite et expurgée de ses éléments négatifs et dangereux, si un effort d’intégration ne vient pas aussi compléter cette nécessaire répression. Les mesures à prendre sont sévères et il ne faudra pas que le vieux pays frémisse de réprobation chaque fois qu’un charter rapatriera des envahisseurs illégaux. Il faut donc ainsi que ce cher vieux pays restitue à l’état sa place normale. Les libéraux l’ont affaibli, les socialistes l’ont détruit. " Où sont les grandes tâches dévolues à l’État ? La Justice, l’Armée, l’Éducation nationale, la Sécurité, la Police, notre place en Europe ? En miettes. La France est à l’abandon, est en décomposition à travers le monde. Sa recomposition est dans un retour énergique à l’unité et à la cohérence, et de la Nation et de l’État."
Monsieur le Député
La crise de 2008 a démarré lors de la baisse du secteur immobilier aux USA ( subprimes ) et cela n' a rien à voir avec l'EURO
Il y a peut être un parallèle entre la crise de 2008 et celle de 1929 lorsqu'on regarde les causes, mais certainement pas concernant les solutions tentées.
Pour ce qui est le rapport sur les perspectives de l’économie mondiale par le fonds monétaire international, il fait un constat et il dit aussi pour ce qui est la zone euro '' Il est bon de constater
que ces questions sont sérieusement examinées et que certains de ces mécanismes sont lentement
établis '' Il ne propose pas comme solution une SORTIE DE L'EURO
Pour le chiffrage d'une sortie de l'euro des pays du sud je vous propose l'étude de la Ste
Prognos AG Berlin
http://www.prognos.com/Singleview.3...
cout pour la France 2,9 Billions d' Euros avec les sorties de l'Espagne, Italie et Portugal
Les commissaires européens sont nommé par le Conseil européen qui inclus la France , statuant à la majorité qualifiée avec l'accord du Président et Madame Viviane Reding est un commissaire qui
compétant dans les domaines Justice, droits fondamentaux et citoyenneté, Alors monsieur le
député dite moi quelles sont ces ordres ?
Je constate aussi que vos informations pour ce qui est l'accord de libre échange UE-Corée du Sud
sont erronés :
Accord commercial UE-Corée: un an après
http://europa.eu/rapid/press-releas...
Il en résulte qu’au cours des neuf premiers mois de mise en oeuvre, les exportations de l’UE vers la Corée du Sud ont augmenté de 6,7 milliards d’euros, c’est-à-dire de 35 % par rapport à la même période depuis 2007. Les exportations de l’UE vers les autres pays ont également augmenté durant cette période (de 25 %) mais le niveau d’augmentation des exportations vers la Corée (35 %) indique que les premières mesures
d’élimination de tarifs ont déjà un certain effet.
Les exportations de produits pour lesquels le tarif a été éliminé le 1er juillet 2011
(par exemple, le vin, certains produits chimiques, les textiles et articles d’habillement, les produits en fer et en acier, les machines et équipements,
représentant 34 % des exportations de l’UE vers la Corée du Sud) ont augmenté
de 2,7 milliards d’euros, soit 46 %.
Pour les produits qui n’ont été que partiellement libéralisés le 1er juillet 2011
(par exemple, les voitures et les produits agricoles, représentant 44 % des
exportations de l’UE vers la Corée), l’augmentation est de 3 milliards d’euros, soit 36 %.
En ce qui concerne les produits dont le tarif est resté inchangé (par exemple,
certains produits agricoles, représentant 18 % des exportations de l’UE),
l’augmentation est de 1 milliard d’euros, soit 23 %.
Les exportations de certains produits spécifiques ont augmenté plus rapidement que la
moyenne, par exemple:
Les exportations de viande de porc ont augmenté de presque 120 %, ce qui
représente près de 200 millions d’euros en ventes supplémentaires.
Les exportations de sacs à main et de sacs de voyage ont augmenté de plus de
90 %, soit 150 millions d’euros de ventes supplémentaires.
Les machines pour la fabrication de semi-conducteurs produites dans l’UE ont
connu un franc succès et leurs importations par la Corée ont augmenté de 75 %,
ce qui représente 650 millions d’euros d’exportations supplémentaires.
Les exportations de voitures de l’UE ont augmenté de plus de 70 % – ce qui
représente 670 millions d’euros de nouvelles ventes de voitures en Corée
Bien à Vous
une tres bonne analyse de l'europe actuelle par alexandre del Valle:
google : dreuz.info/2012/leurope-restera-une-puissance-velleitaire
95. Le dimanche, octobre 21 2012, 22:35 par Françoise C
Tout ce que prévoyait PONIATOWSKI dans cette citation est en cours de réalisation.
Pour éviter le pire, il faut arrêter l'immigration, ramener les clandestins chez eux, y compris avec leurs enfants, revoir le droit du sol à n'accorder qu'à la majorité selon des critères (être inséré, pas de délits, engagement), faire appliquer nos lois.
.
90. Le dimanche, octobre 21 2012, 19:00 par Hadrien
Le commentaire sur la loi du 3 janvier 1973 est clair:
http://postjorion.wordpress.com/201...
UDI ? avec MM. Borloo et Barnier comme dirigeants ?
Elle est bien bonne. L'un, ancien ministre de Sarkozy, des années au pouvoir, ministre de l'Ecologie qui n'a rien fait pour l'environnement sinon un beau théâtre bâti pour l'occasion, l'autre ancien ministre du précédent a bien bradé la pêche et la marine française, abandonné son agriculture, le tout pour plaire à Bruxelles et en obtenir le portefeuille de commissaire européen aux finances qu'il détient. Ils ont tout fait, font tout, pour rabaisser la France, et la fondre dans une Union européenne dictatoriale.
Ils ne s'en cachent pas. Ils l'annoncent publiquement : "plus d'Europe"! "Fin des nations". Barnier ose même dire, répéter et écrire partout qu"il faut IMPOSER le fédéralisme forcé à la France, sans passer par le référendum : ce serait une perte de temps". On croit rêver.
Quels démocrates sont ceux-là ? Quels républicains ? Quels responsables politiques français ?
Ce sont des irresponsables, des menteurs, des vendeurs d'illusions, des arracheurs de dents, des asservis à des cercles étranges.
On peut se demander d'ailleurs lequel est le pire. Ce qu'on ne se demande pas, c'est quel est le meilleur. L'un et l'autre jouent, agissent, poussent ouvertement CONTRE la France. Et ils voudraient la diriger ? Non, l'assassiner mieux encore.
Hors de vue les deux larrons seulement préoccupés d'eux-mêmes, de leurs petits intérêts, de leurs avantages en nature, de leur carrière.
Auraient-il d'autres ambitions ? Et que vendront-t-ils cette fois ?
Leur mère Marianne ? Nous avons d'autres ambitions pour elle.
Le changement politique, c'est sans vous mes beaux messieurs. Le changement, c'est avec de vrais républicains, de véritables hommes politiques, d'authentiques patriotes concernés par le sort du pays. Le changement politique cela impose des hommes intègres, des gens qui parlent sincèrement, sans arrière-pensée, avec élévation d'esprit, tout entier focalisés sur les problèmes du temps, proposant de véritables solutions.
Vous reconnaissez-vous ? Non, bien sûr. Alors, adieu messieurs. Laissez place aux gens capables et qui ont des choses à dire, des choses à faire.
@91
Merci Marc de rappeler des vérités si difficiles à trouver dans les gazettes, ou dans la grande partie des intervenants sur ce blog.
Dans la vraie vie française, la moralité de La Fontaine est contraire. C'est bien la Cigale qui se fend le poire…
@95 Merci Françoise C pour cet extrait du livre de M.Poniatowski. Je crois savoir qu'il n'est pas le seul à avoir tiré la sonnette sur ce sujet; ce qui est incroyable, c'est la surdité de nos gouvernements respectifs même lorsqu'on fait sonner le Bourdon.
94. Le dimanche, octobre 21 2012, 22:09 par Jean François Broggio alias Enoch
@Marc
L'ogre étatique est d’autant plus affamé qu’il y a moins de ressources disponibles
Mais « L'état doit rester à sa place en préservant les libertés individuelles et la sécurité des citoyens » . Par contre, «Il doit retrouver sont droit régalien à battre monnaie pour ne pas dépendre des marchés financiers » et que ces derniers jouent leurs rôles en faisant tourner les flux qui permettent de créer de nouvelles entreprises ».
Mais pourquoi toute la monnaie ne serait-elle pas crée par l’Etat?
@ enoch ( 94 )
il faut que sur ce blog les voix de la liberté d'entreprendre et celles de la responsabilité individuelle se fassent elles aussi entendre ; on ne peut pas laisser les " dogmes étatiques " faire de nouveau les mêmes erreurs
Très bien tout cela mais, maintenant, on fait quoi? Quoi pour sortir les électeurs de leur éternelle létargie? Quoi pour électro-choquer nos élus soumis à Mme Viviane Reding (ou pourris jusqu'à la moëlle vu qu'ils ne peuvent pas être assez cons pour ne pas voir l'évidence)? Quoi pour changer le cours des choses? Rabacher ne suffit plus.
@85 Marc
« Les Français, une fois encore, sont tombés dans le panneau, abrutis, écrasés, étourdis par 30 ans de socialisme ils n'ont pas compris les conséquences qu'allait avoir cette nouvelle promesse électorale inconsidérée ».
Je fais parti « des pigeons ».
Depuis plus de trente ans, 90% voir plus de nos élus sont des fonctionnaires (gauche et droite confondues…).
La fonction publique est nécessaire uniquement dans son rôle Régalien pour la sauvegarde de nos intérêts ; …sans régimes spéciaux mais correctement rémunérés (s’ils sont nuisibles dans ce rôle régalien ; ils peuvent être virés), ci-dessous les 6 corps indispensables au bon fonctionnement d’une Nation.
1-La Justice
2-le contrôle monétaire et la finance au service des Français
3-l’Armée et le Renseignement au sens géopolitique du terme
4-le contrôle énergétique
5-L’enseignement en parallèle avec le privé.
6 -La recherche en parallèle avec le privé.
Pour le reste, je n’en vois aucune utilité.
Prenons trois contribuables qui tous les trois gagnent 200 000 euros par an.
• Le premier, M. Jospin par exemple (ou M. Juppé), ont fait don de leur personne à la France et ont exercé avec honneur les responsabilités les plus importantes : Premier ministre, ministre , inspecteur des finances, maire de telle ou telle grande ville, député, président de parti politique …
Comme récompense, la République leur octroie à tous les deux une série de pensions de retraite dont j’imagine assez facilement que la somme cumulée, ajoutée aux avantages en nature (voiture de fonction, appartement de fonction etc.), doit bien se monter à 200.000 euros par an .
Mentionnons de plus qu’en tant que président de nombreuses commissions « Théodule », du style de la commission sur l’éthique créée par M.Hollande , ils peuvent faire nommer des membres de leur famille à tel ou tel poste rémunéré par la République, c’est-à-dire par nos impôts, ou bien faire attribuer un appartement à des conditions tout à fait intéressantes à l’un de leurs proches .
Ces braves gens n’ont besoin de faire aucune épargne, puisque tous ces traitements sont garantis par l’Etat et indexés sur l’inflation. Leurs 200.000 euros correspondent donc à une rente à vie, dont leur conjoint continuera à toucher une partie si par hasard ils viennent à mourir avant leur compagne, qui étant souvent la deuxième, tend à être beaucoup plus jeune qu’eux.
• Le deuxième, un cadre d’un niveau élevé, est arrivé à ce haut niveau de rémunération à la force du poignet. Ce salaire lui est garanti tant qu’il n’est pas viré, remplacé par un jeune Turc plus compétent et moins cher ou que sa société ne fait pas faillite, auquel cas il aura droit aux indemnités de chômage pendant assez peu de temps, ne pouvant retourner dans son « corps d’origine » comme nos chers fonctionnaires lorsqu’ils sont battus aux élections.
D’où la nécessité de se constituer une épargne (un capital) pour pouvoir faire face à des situations dans le futur dont chacun d’entre eux sait pertinemment qu’elles peuvent être très dangereuses et survenir à tout moment. Ce cadre, après avoir payé des impôts sur le revenu, devra payer des impôts sur le capital, sur les revenus du capital et sur les plus values éventuelles qu’il aura réalisées sur ses investissements, ce qui rend la constitution de ce capital quasiment impossible.
• Le troisième est un entrepreneur qui a créé et dirige une entreprise. Après avoir payé tous les salaires, couvert toutes les charges, réglé tous les impôts (toutes dépenses certaines), à partir d’un chiffre d’affaire qui, lui, est totalement incertain (les clients ne vont chez lui que parce qu’ils le veulent bien, et il ne peut pas envoyer les gendarmes pour les forcer à acheter ce qu’il cherche à vendre), il lui reste à la fin de l’année, au titre des profits, 200 000 euros, qui pourront être 400 000 l’année suivante ou zéro , voire devenir une perte l’année d’après.
Il lui faut donc mettre en réserve la plus grosse partie de ces 200 000 euros pour pouvoir faire face à une ou plusieurs années déficitaires, au cas ou cette éventualité se réaliserait.
Si M. Hollande, dans sa recherche de l’égalité, décide de taxer ces trois hommes de la même façon, je soutiens que c’est à la fois injuste, idiot et que cela va conduire notre économie à un désastre sans précédent.
• Injuste, parce que MM. Jospin et Juppé sont certains de toucher leurs 200.000 euros jusqu’à la fin des temps, ce qui est loin d’être le cas des deux autres.
• Dangereux, parce que si le cadre sait qu’il peut être viré à tout moment et qu’il ne peut pas se constituer une épargne de précaution pour faire face à cette éventualité, il va vouloir aller se faire taxer ailleurs, sous des cieux plus cléments (à Londres ou à Hong-Kong), et cette épargne ne sera plus recyclée en France.
Comme sur le long terme, l’épargne est égale à l’investissement (i=s), cette baisse du taux d’épargne va déclencher une baisse du taux d’investissement et donc une baisse structurelle du taux de croissance ainsi qu’une hausse tout aussi structurelle du chômage.
• Désastreux, parce que si notre entrepreneur ne peut mettre en réserve que 100.000 euros (taux d’imposition à 50%) à la place des 200.000 qu’il avait gagnés, lors de la prochaine récession son entreprise ne pourra peut être pas faire face à la baisse du chiffre d’affaires et il devra déposer le bilan, mettant à la porte non seulement notre cadre mentionné plus haut mais aussi tous les autres employés.
CONCLUSION :
Considérer donc que ces trois revenus doivent être imposés de façon équivalente est à la fois, injuste, inefficace, dangereux et stupide.
Dans un pays normal, c’est-à-dire dans un pays non gouverné par des fonctionnaires qui gèrent bien sûr à l’avantage exclusif des… fonctionnaires, MM. Jospin et Juppé seraient taxés à 50 % au moins, notre cadre à 25 % au plus, et notre entrepreneur pas du tout, surtout si et quand il revend son entreprise dans laquelle il a investi tout son capital et tous ses efforts depuis toujours.
Un système fiscal qui ne prend pas en compte pour la détermination du revenu le risque pris par les agents économiques est à la fois monstrueux économiquement et profondément immoral.
Un tel système ne peut qu’amener le pays qui le pratique à la ruine et à des troubles sociaux gigantesques.
Voila ou nous emmène certainement la politique de M. Hollande.
« L’ineptocracie est un système de gouvernement où les moins capables de gouverner sont élus par les moins capables de produire, et où les autres membres de la société, les moins aptes à subvenir à eux-mêmes ou à réussir, sont récompensés par des biens et des services qui ont été payés par la confiscation de la richesse et du travail d’un nombre de producteurs en diminution continuelle. »
On en rit de peur d’en pleurer ! (Charles Gave)
Je reprends la main...; et si je puis me permettre ; si l’euro monnaie unique et inique disparaitrait, que la retraite de ces messieurs du 1er cas ne soit payée qu’en euros…
Au lieu de s'occuper à protéger la FRANCE contre l'invasion des produits étrangers et l'immigration, selon M HOLLANDE, il faut « … commencer d’abord par reconnaître et faire repentance pour ces crimes et enfumages qu’ elle a perpétrés en Algérie » ! ! !
Pourquoi la France ?
Pourquoi pas ceux (FLN) qui ont volontairement déclenché les provocations en Algérie?
Pourquoi pas le Parti socialiste qui, au gouvernement, a conduit la répression contre la guerre civile d'Algérie en réponse aux provocations meurtrières?
Pourquoi pas François MITTERRAND ministre de l'Intérieur durant presque toute cette période car c'est bien lui qui a organisé la répression de ces meurtres, avec l'Armée au lieu de la police ? M HOLLANDE a la mémoire courte. Il faudrait qu'il réponde à ces questions!
La belle Europe...
Où l'on apprend que le maltais John Dalli, commissaire (alias ministre) européen de la Santé, a démissionné le 18 octobre 2012 : il est soupçonné de corruption et de conflits d’intérêts avec l’industrie du tabac…
Rentrez chez vous Viviane Reding !
Présentez-vous devant les urnes nationales et européennes Herman Van Rampuy !
Démissionnez Mario Draghi, vice-président pour l'Europe de Goldman Sachs et, accessoirement, président de la Banque centrale européenne (BCE) : il y a là un GRAVE conflit d'intérêt.
Demander la nationalité européenne (tout sauf la France) Michel Barnier : vous serez en concordance avec vos pensées profondes.
Sur Barnier, je dois rectifier une erreur de mon fait. Je l'ai présenté à trois reprises comme "commissaire européen aux Finances", de façon erronée. En réalité, il est, depuis 2010, "commissaire européen chargé du Marrché intérieur et des Services"... Nébuleux certes, avatar des finances sans doute, mais néanmoins autre chose que ce que j'avais indiqué. Il était d'autre part ministre de l'Agriculture et de la Pêche, de 2007 à 2009, dans le deuxième gouvernement Fillon, sous Sarkozy donc (et non sous Villepin comme il me le semblait). Deux erreurs que je tiens à rectifier, avec mes excuses présentées aux compagnons. Sur ce blog, on ne doit trouver que des faits avérés, des raisonnements justes, des propositions sérieuses et des pamphlets percutants. C'est le moins qu'on doit à la France. Ça, et la tolérance et la sincérité dans le débat.
En revanche, EN REVANCHE, Michel Barnier, je ne me suis pas trompé du tout en ce qui concerne votre rôle de troyen, d'éclaireur avancé de la Cinquième colonne européiste, de taupe installée au cœur du système afin de mieux gripper celui-ci en ne faisant avancer que les idées qui nuisent au peuple de France, celui qui vous a fait prince, qui vous a couvert d'honneurs, d'or, de privilèges, vous a choyé, considéré, écouté, suivi, et qui se rend compte à présent de votre machiavélisme tortueux et pervers, sans états d'âme pour les trahisons et les palinodies dont vous êtes le champion.
Ainsi, vous vous postez (car c'est une posture, n'est-ce pas) aux côtés de Jean-Louis Borloo, pour lancer cette nouvelle usine à gaz qu'est l'UDI (Union des Démocrates et Indépendants), "nouveau" parti fait avec du bois voulu de fer mais déjà pourri de l'intérieur, mangé aux termites, qui, selon vous, pourrait "sauver la France". Elle est bien bonne !
Sauver la France ! Vaste programme !
Que disiez-vous, cher Michel Barnier, le 19 octobre dernier, publiquement, sereinement, benoîtement ?
(19/10/2012)
"La solution à nos problèmes ne passe pas par moins d'Europe, mais au contraire par plus d'Europe. Et elle passe en particulier par un marché unique modernisé et adapté aux nouvelles réalités économiques, technologiques et sociales." [comprendre = chômage de masse, abandon du SMIC et du CDI, dérégulation du marché, mise en concurrence déloyale par ouverture du marché européen et français aux esclavagistes et aux carpet-baggers en tous genres contre lesquels les artisans, les entreprises françaises qui paient le juste prix, l'impôt, les charges, les taxes, et respectent la loi mais aussi l'esprit civique et citoyen, ne PEUVENT pas lutter, sans parler de l'euro trop cher qui crée un handicap automatique pour toutes les entreprises françaises de l'ordre de 30% de charges en plus avant même de songer à produire ou vendre...)
Discours du Commissaire Barnier en visite au Pays-Bas dans le cadre de la semaine du Marché unique.
Voir
http://ec.europa.eu/commission_2010...
Michel Barnier est un menteur. C'est un apache (de la Belle Epoque, pas un Indien mais un brigand) qui cherche à convaincre toute l'Europe, au nom de la démocratie, qu'il faut abandonner la démocratie, refuser le référendum, se prosterner, se soumettre aux financiers voyous et rapaces sans défendre l'économie réelle et le citoyen honnête... C'est un fléau de la République. Un traître à la patrie, mais pas seulement : un traître à l'esprit même des lumières. M. Barnier méprise "souverainement" le souvenir de l'Abbé Grégoire (rédacteur du décret de 1792 supprimant l'esclavage) et de Victor Schœlcher, président de la commission d'abolition de l'esclavage, 'initiateur du décret du 27 avril 1848 abolissant définitivement l'esclavage en France.
Michel Barnier se revendique de l'héritage du "gaullisme" ! Car Michel Barnier n'a pas de pudeur déplacée. En cas de guerre, il n'hésite pas à revêtir l'uniforme de l'ennemi pour pénétrer la place et ouvrir la porte de la citadelle aux troupes qui attendent son signal pour passer toute la populace au fil de l'épée, femmes et enfants d'abord.
C'est un peu comme si, du fait de ses relations privilégiées avec Jean Moulin, son accusateur, le responsable de l'arrestation du héros, et de sa mort atroce, se présentait comme son compagnon, son fidèle écuyer, son ami intime. Une victime du syndrome de Stockholm en quelque sorte, mais à l'envers... Ou un Janus (divinité à deux têtes) malsain mais affirmé, préméditant la mauvaise action afin d'en tirer, pour lui-même, le plus lourd profit.
Car, pour finir, qui vous paie Michel Barnier ? On ne parle pas de vos petits émoluments de conseiller, de maire, de ministre ou de commissaire. Broutilles ! Et salaires décents pour votre grande compétence et votre talent méritoire. Non, on parle du but personnel que vous poursuivez. Car, à suivre votre parcours, ou plutôt les accidents étranges de celui-ci, on se doute que la motivation y est. Mais dans quel but précis ? Savez-vous que les Français vous ont élu, à tout moment, croyant vos promesses, écoutant vos paroles mielleuses, vous faisant confiance, afin que vous les représentiez et les défendiez comme il sied à un élu de la nation. C'est finalement le seul point véritablement important à retenir. Vous et le peuple de France avez juste, à ce sujet, une légère divergence d'opinion. Seulement voilà : le souverain du pays c'est le peuple. Et vous n'en êtes qu'un instrument supposé loyal. Un simple représentant, au mandat défini, court, renouvelable. Et non pas un prince de sang issu d'une dynastie sacrée, marquée d'un quelconque sceau divin par une mystérieuse opération du saint-esprit. Revanche de roturier mal assumé Michel Barnier ? Vous auriez voulu être un gentilhomme au temps de Versailles la grande et du roi-soleil ? Vous pourriez simplement être "gentil". Et, par exemple, gentiment démissionner de fonctions que vous outrepassez, que vous déshonorez, ou gentiment vous taire au moins, sacrifiant votre vie personnelle au service de la nation, souffrant en silence dans la quiétude trépidante des cabinets ministériels. Car, un haut fonctionnaire, un élu, un homme d'Etat, cela donne sa vie, sa force et son génie au service du pays. C'est son rôle, son travail et son honneur.
Faire un bilan de la déjà calamiteuse action gouvernementale est facile. Mais le pire est peut-être de constater à quel point ce gouvernement est noyauté par des mafias. Tant concernant la drogue, les OGM, le gaz de schiste, que pour les décisions mondialistes. On comparait déjà la France à une république bananière sous Sarko, ça ne s'est pas arrangé ! Une panoplie de décisions sans consultation des citoyens de l'UE va se mettre en place, qu'on a voulues à Bruxelles "irréversibles"
et dont Hollande est fervent promoteur. Il reste que le refus de voir ce qui se passe à l'international risque de brouiller les cartes. Au fait: quel silence assourdissant à propos du retour de nos troupes d'Afghanistan. Le Pakistan refuse-t-il toujours le passage de nos forces? On est loin de la crise, mais là encore, c'est le royaume de l'improvisation, de la courte vue. Espérons que nos soldats n'en paieront pas le prix...
@ Marc (suite)
Vous me faites penser à Peyrelevade, billetiste de « LA REFONDATION DU CAPITALISME » , qui écrit:
Imposer le capital, une idée simpliste (pru dans Le Monde | 02.11.10 | 13h33 • Mis à jour le 03.11.10 | 19h08)
contre…
Le même Peyrelevade auteur de « LE CAPITALISME TOTAL » (Seuil, 2005) :
En France, la rémunération annuelle moyenne des présidents des sociétés du CAC 40, supérieure en 2003 à six millions d’euros (valeur des stock-options comprise), est égale à plus de 200 fois le salaire moyen et 400 fois le SMIC, ce qui suffit à démontrer que la fonction de chef d’entreprise cotée fournit, en un petit nombre d’années, une garantie d’accés aux catégories, dont nous parlerons plus loin, des individus « vraiment riches », voire « ultra-riches »…
La règle du jeu est sans ambiguité: le succès personnel du manager, la perennité de sa situation, dépendent de la bonne exécution d’un devoir impérieux, la création de valeur au profit des détenteurs du capital. Et cette même règle, étendue à l’ensemble des sociétés cotées de la planète, gouverne l’évolution économique du monde: le règne des actionnaires est devenu absolu.
(pp.37-38)
Ces actionnaires qui gouvernent la vie économique du monde, qui sont-ils ?
De quels moyens disposent-ils pour réussir à faire ainsi prévaloir leurs vues?
Quelques chiffres et un peu de sociologie vont permettre de planter le décor…
En France, 1% des ménages détiennent presque la moitié du patrimoine en actions du pays. Le phénomène aux Etats-Unis est d’une intensité proche. Si l’on extrapole cette situation à l’ensemble des pays développés, il apparaît que dix à douze millions d’individus (deux pour mille de la population mondiale) contrôlent la moitié de la capitalisation boursière de la planète et, vraisemblablement, une portion à peine plus faible du patrimoine marchand de l’humanité. Vous avez dit inégalité ? Seuls de tels chiffres donnent à connaître véritablement de quoi l’on parle.
(pp.39-41)
La recherche systématique de création de valeur élevée pour l’actionnaire ne serait alors que l’habillage idéologique d’une démarche de rentiers, l’expression déguisée d’une forte préférence pour l’avenir au détriment du présent, la traduction du pouvoir des retraités anglo-saxons (qui sont les seuls à épargner aussi fortement pour le financement de leur retraite) sur l’ensemble de la société mondiale, des vieux (ou potentiellement vieux) des pays développés sur les jeunes de tous pays, en bref des « encore plus riches » sur les « toujours pauvres ».
(p.54)
Dans cette course à la rentabilité, les Etats eux-mêmes sont entraînés, ou ils perdent une large partie de leur autonomie de décision. Les territoires sont en concurrence les uns avec les autres comme lieux d’attraction d’un capital mobile: là où il va, iront demain investissement, croissance et emploi. Déjà très bien rémunéré, il bénéficie en outre d’une sorte de course au moins-disant fiscal qui vise à le séduire. Les Etats, incapabes d’harmoniser leur politique de prélèvements, suivent de bon ou mauvais gré un mouvement qu’ils croient commander. Pour préserver leur niveau de ressources, ils sont contraints d’alourdir les autres impôts. En Europe, depuis plus de vingt ans, les prélèvements augmentent sur la consommation (TVA) et le travail (revenu des travailleurs), facteurs qui ont pour caractéristique commune de ne pas se déplacer facilement, tandis qu’ils diminuent sur le capital, aisément délocalisable. Moins d’impôts sur le capital et plus sur le travail, moins sur les entreprise et plus sur les salariés: ainsi les Etats contribuent-ils à leur tour au renforcement du modèle dominant.
(p.68)
A rebours de la théorie qui veut que la Bourse finance les entreprises, ce sont ces dernières qui alimentent en liquidités leurs actionnaires Le management est là pour créer du profit à partir de ressources internes et le répartir à l’extérieur. Ainsi se met en place une nouvelle forme d’économie de rente, un capitalisme financier figé sur lui-même, fonctionnant en boucle inversée, qui ne pense qu’à baisser ses coûts de production, et oublie d’investir… Ses marges brutes sont tellement élevées, rentabilité oblige, que les trop rares projets sont totalement auto-financés. L’aversion au risque d’une tête financière hypertrophiée met en cause la croissance d’un corps anémié.
Comment ne pas voir que cette évolution est à long terme anti-économique ?
(p.71)
Sur ces fondations, se développe le syndrome de la tour de Babel. Partout on assiste à la construction de sociétés de plus en plus grandes, de plus en plus internationales , comme autant de symboles phalliques de puissance et de profits renouvelés.
Une société à très grosse capitalisation boursière peut acheter à peu prés tout ce qu’elle désire sans pour autant le justifier réellement en termes d’économies d’échelle.
Des mastodontes peuvent ainsi se révéler moins performants que les entités acquises et le monde plus concentré que l’on nous fabrique pour demain ne sera pas nécessairement, de ce seul fait, plus productif.
(pp.72-73)
Et la rentabilité du capital, la share-holder value, la valeur pour l’actionnaire qui permet d’apprécier son enrichissement, employée à tort et à travers, nourrit un fétichisme de l’argent qui justifie n’importe quelle concentration.
Ici encore, les serviteurs du système, chefs d’entreprises, banquiers d’affaires dont c’est le métier, gestionnaires d’actifs qui y cherchent leur intérêt, analystes financiers entendant prouver leur compétence, journalistes spécialisés qui y trouvent matière à écrire, poussent à la roue…
(p.75)
… ON NE PEUT MIEUX DIRE !
Nous rappelons a nos aimables contributeurs que ce blog doit être un échange d'idées avec NDA et pas un forum d'invectivations systématique entre certains d'entre vous.
Nous sommes dans l'obligation d'être de plus en plus intransigeant vu les dérives.
En espérant votre compréhension
50 Milliard d'économie:
Des salles de shoot à drogue au gaspillage des agences!
50 MILLIARDS DE GASPILLAGE PAR AN!
Les agences de l’Etat étaient passées au crible par un rapport de l’Inspection des finances qui en dénonce, les effectifs en hausse et budget sans contrôle: 1 244 agences aux statuts illisibles . Elles emploient 442 830 personnes et coûtent 50 MILLIARDS d’euros par an, financées par des crédits budgétaires ou des taxes spécifiques .... Kafka:
L’Agence bibliographique de l’enseignement supérieur... perdue en campagne! Missions dont l' une d' informer sur les documents auprès des proviseurs ... En période de difficultés financière, la France peut-elle encore se permettre de financer l’Agence de développement DE LA CULTURE KANAK, ou encore le Centre des liaisons européennes et internationales de sécurité sociale ?
Des agences fusionnées ou supprimées seraient une solution qui rapporteraient plus à l'état qu'une imposition à 75 pour 100 ou celle des entrepreneurs lestés de nouveaux impôts. Le bonus , malus des automobilistes polluantes produisant le contraire de l'objectif recherché. L'augmentation du diesel d 'un parc automobile. La lutte abandonnée contre le travail des clandestins va nous coûter encore plus cher!
Autre problème, le financement de ces agences. Elles ont souvent leurs propres rentrées d’argent grâce à des taxes spécifiques. Quand ces taxes augmentent, les budgets de ces agences aussi, jusqu’à constituer de grosses cagnottes.
Pire que la maison de la radio et l' effectif de ses journalistes encartés en vacances! Pire que le budget des associations culturelles électoraliste de nantes du Premier Ministre de Loire Atlantique de Matignon II
En période de crise, alors que le budget est d'une tout autre importance : " Les salles de shoot ne sont pas une priorité pour la santé publique". Le coût des scandaleuses salles est en effet évalué de 300 000 à 1 million d'euro à l'unité.
Une interview instructive de Christine Lagarde sur la “révolution conservatrice” qui veut poursuivre sa marche en Euroland :
http://www.lefigaro.fr/conjoncture/...
[extraits, ou comment savoir lire entre les lignes]
LE FIGARO. – On accuse le FMI d’imposer l’austérité en Europe et d’aggraver la crise. Que répondez-vous à cela?
Christine LAGARDE. – Notre objectif… C’est de remettre les pays sur pied… c’est-à-dire capables de se financer eux-mêmes sur les marchés [mais pas auprès de la BCE qui (re)finance ces marchés... pour acheter des obligations, et leur rachète ces obligations!] Croissance [pour les financiers] et austérité [pour les salariés] ne sont pas incompatibles. Il y a des mesures qui doivent être prises pour privilégier les conditions de la croissance. Ce sont des réformes de structures…
- Le risque d’éclatement de la zone euro existe-t-il toujours?
- Je ne crois pas au risque d’éclatement de la zone euro. Je crois que le coût des solutions augmente au fur et à mesure que le temps passe [et la rend irreversible!]…
- La Grèce…
- Des négociations intenses sont en cours. À la fois sur le volet budgétaire, mais aussi sur le volet «réformes structurelles»… Le pays a réduit son déficit budgétaire de 9% par rapport au PIB en trois ans. C’est considérable! Les Grecs ont accepté des réformes importantes en matière de retraites, de négociations salariales. Ils ont entamé l’ouverture des professions réglementées. Beaucoup de choses ont donc déjà changé.
- Êtes-vous impatiente que l’Espagne fasse appel au FMI ?
- Nous sommes particulièrement satisfaits de tout ce que l’Espagne fait pour restructurer son système bancaire. Et il faut maintenant poursuivre et mettre en œuvre cette restructuration. Sur le plan budgétaire, nous attendons d’avoir plus de détails… le FMI sait toujours être exigeant sur les réformes à mettre en œuvre.
- Ce que tente le FMI depuis trois ans à l’échelle de la zone euro est sans précédent… pour compenser le fait qu’il ne peut dévaluer. Sait-on si c’est réalisable?
- On l’espère bien sûr… En faisant baisser les prix des facteurs de production, en particulier le prix du facteur travail, on espère rendre le pays plus compétitif et plus intéressant pour les investisseurs étrangers. On le voit déjà un peu au Portugal, en Espagne, et on commence à le voir un peu en Grèce.
[Et, bien sûr,... on attend de le voir bientôt en France!]
P.S. Il est particulièrement désagréable de se voir censuré à deux reprises pour (sans aucun doute possible) les noms de Marx et Proudhon qui apparaissaient en commentaires développés.
Est-ce bien là "un échange d'idées avec NDA", et
est-ce ainsi que NDA souhaite réaliser l'union, du FG jusqu'au FN, de tous les résistants à la pensée unique PSUMP ?
Voilà qui explique, en grande partie, la saignée de l'ogre étatique et la spirale infernale de facteurs cumulatifs menant à un effondrement gravitationnel économique par pertes d'emplois (moins d'actifs, moins de recettes, plus de pression fiscale, plus d'endettement public) :
(accrochez vous, c'est douloureux mais nécessaire)
- ALCATEL-LUCENT : 1430 emplois supprimés
- SFR : plan "départs volontaires" en - prévision novembre 2012
- BOUYGUES TELECOM : "départs volontaires" vise 556 emplois
- TECHNICOLOR : liquidation = 350 postes
- PSA. : 8000 postes supprimés
- HONEYWELL Equipementier : 325 emplois (fermeture juin 2013)
- SEALYNX : en redressement judiciaire, cherche repreneur (550 salariés)
- GOODYEAR : 1300. salariés en suspens
- DOUX : 1000 emplois supprimés
- FRALIB : incertain
- CARREFOUR : 533 postes en "départs volontaires"
- CONFORAMA : réorganisation vise sup. 200 postes (9170 salariés)
- SANOFI : 914 sup. d'ici 2015 (crainte disparition 1700 postes)
- ARCELOR MITTAL : 629 sup. emplois Florange (fermeture définitive)
- PETROPLUS : sup. 470 emplois,,menaces sur LyondellBasell (370 sup.) et Berre l'Etang en sursis
- EON Centrales à charbon : 215 sup. d'ici 2015
- AREVA : 200, 250 non remplacement de "D.V."
- RIO TINLO Groupe minier St-Jean de Maurienne : 600 sup. emplois
- CREDIT AGRICOLE : 850 sup. emplois
- BNP PARIS-BAS : 373 s.e.
- STE GENERALE : 880 s.e.
- DEXIA : 312 s.e.
- BANQUE DE FRANCE : 1700 à 2100 s.e. d'ici 2020
- AIR FRANCE : 5122 s.e. fin 2013 + filiales
- SNCM : incertitudes pèsent
- NOVATRANS: 147 (filiale SNCF Géodis)
- PIERRE & VACANCES : 195 s.e. (en France).
Nous faisons quoi de tous ces gros flemmards au chôme dû ?
On les tue tous ces profiteurs du système ou on remet en culture des zones de maraîchage, des lopins de terre, pour contenir la déferlante à venir ?
Nous nous appuyons sur des manufactures pour préserver le savoir-faire textile avant qu'Armor-Lux ne disparaisse dilué dans la mondialisation du pouvoir d'achat en berne ? J'achète leurs produits et en connaissance, ce serait criminel de perdre de la si belle QUALITE.
L'Etat rachète (droit de préemption activé) les métiers à tisser (fil, ferraille, tissages métalliques), machines-outils, rachat par l'Etat des machines, du savoir-faire, arrêter l'hémorragie des transferts de technologie (Airbus) et l'espionite (chinoise, indienne) in situ ateliers, usines, protection des brevets et de la propriété industrielle, déchéance. ..
Le colbertisme ne doit pas être vu uniquement comme de l'interventionnisme qui étouffe l'entreprenariat privé, le capitalisme s'en chargera bien tout seul, pour preuve ci-dessus) l'économie libérale, la libération des forces vives de la nation mais, dans la crise qui nous préoccupe, le colbertisme pourrait être vu comme un protectionnisme (les savoirs-faire) permettant de préparer pour la transmission dont bénéficierait l'économie libérale de demain, de la sauvegarde de savoirs précieux accumulés qui seraient ainsi sauvés de la dilution et de la perte à longue échéance dans la mondialisation.
Il se pourrait que le colbertisme adapté à la crise soit le dispositif disque dur pour nous préparer à la riposte d'un capitalisme déchaïné. Il ne s'agit pas de kolkhozes soviétiques mais d'une phase intermédiaire pour se garantir et préparer l'avenir avant que toute notre histoire socio-économique, notre patrimoine industriel culturel ne foute le camp.
Vous en faites quoi de l'économie libérale si la masse n'a plus de pouvoir d'achat ? La charrue avant les boeufs ?
Au moins, nous aurons préservé l'essentiel pour ne pas avoir à repartir à zéro.
@ Hadrien
C. Lagarde: ” Grèce… Le pays a réduit son déficit budgétaire de 9% par rapport au PIB en trois ans.”
Dans le même ordre d'idées que GAIA, ce qu’oublie de dire Christine Lagarde, c’est que le PIB grec lui-même a chuté dans des proportions voisines (7%), de sorte qu’on a tous perdu au change:
Le PIB étant plusieurs fois égal au budget, la zone euro a perdu en PIB… plusieurs fois le montant des économies budgétaires correspondantes !
Heureusement que les soces vont nous plumer davantage pour entretenir et faire perdurer un système qui nous a foutu par terre, quelque soit celui qui battra la monnaie, in fine.
Lundi 22 octobre 2012 :
Dette publique de la Grèce :
2007 : dette publique de 107,4 % du PIB.
2008 : dette publique de 112,6 % du PIB.
2009 : dette publique de 129 % du PIB.
2010 : dette publique de 144,5 % du PIB.
2011 : dette publique de 170,6 % du PIB.
France : le Parlement s'inquiète de l'accumulation des engagements pris pour soutenir la Grèce.
Dans son rapport, le député Christian Paul (PS) chiffre à 50,8 milliards d'euros les prêts à la Grèce devant être garantis par la France dans le cadre du Fonds européen de stabilité financière ; « il ne s'agit pas de prêts, mais bien de pertes que les Etats de la zone euro acceptent de consentir vis-à-vis de la Grèce ».
Source : lesechos.fr, mardi 7 août 2012.
http://www.lesechos.fr/economie-pol...
Lundi 22 octobre 2012 :
Grèce : déficit et dette publics 2011 pires qu'annoncé.
Le déficit et la dette publics de la Grèce pour l'année 2011 ont été révisés à la hausse. Elles atteignent désormais respectivement 9,4% et 170,6% du PIB, selon des données provisoires rendues publiques lundi par l'Autorité des statistiques grecques (Elstat).
Les premières estimations d'Elstat, en avril, avaient chiffré le déficit à 9,1% du PIB, très proches de la prévision budgétaire pour 2011 de 9%. La dette publique était, elle, calculée à 165,3% du PIB, alors que le pays est censé la ramener à 120% du PIB en 2020, selon l'accord signé avec ses bailleurs de fonds.
Cette aggravation statistique des performances découle surtout de la révision à la hausse de l'ampleur de la récession en 2011, a relevé Elstat dans un communiqué.
La presse est morte... vive la presse
parmi les rares journalistes français encore libres, ou simplement compétents, il faut compter Pierre Jovanovic.
Compagnons, regardez absolument cette vidéo, à propos de "la révolte des peuples d'Europe".
Pierre Jovanovic ose dire la vérité. Enfin, la vérité ! Les internationalistes chers à Castelin Michel vont encore dire que ce n'est que notre vérité. Pas si sûr ! Des faits ! des faits, encore des faits, toujours des faits !
Où l'on entend – enfin – un journaliste français traiter les députés qui ont signé le traité européen de "vendus", le président Hollande de "traître", l'UMP de tous les noms (mais avec élégance).
La situation apparaît de plus en plus clairement chaque jour. Dans le même temps, le remarquez-vous ? les européistes, les sbires et tyrans de l'Europe communautaire (sic), s'empressent, s'activent, s'exercent à ce que tout ce qui nous enferme, nous tue, aille de plus en plus vite. Désormais, l'actualité nous apporte de plus en plus de mauvaises nouvelles chaque jour. C'est en jours, non plus en mois qu'il faut compter.
Le jour de gloire, et l'étendard sanglant sont bientôt arrivés ou levés.
Français, informez-vous !
http://www.youtube.com/watch?v=dvmu...
Quelle est la vraie stratégie de l'Allemagne, dans tout cela ?
Peut-on imaginer que, même écrasés par l'austérité, les Allemands Moyens acceptent de mutualiser la dette de l'Europe, alors qu'ils ont déjà payé cher la réunification puis la restructuration industrielle dont ils récoltent à peine les fruits ?
Moi je crains la guerre civile dans cette Europe déstabilisée et injuste: ni plus ni moins.
Et savez-vous que m^me les Anglais perdent le Nord ?
Inquiétant et difficile à maîtriser, tout ce magma: je défie les fameux économistes d'y voir clair avant la catastrophe, qui du reste n'est souhaitable pour aucun d'entre-nous.
Et au final, ceux qui nous ont mis dans cette fange, eux, s'en tireront toujours !
@95 Certes le propos visionnaire est séduisant mais que ne s'est-il, alors ministre de Giscard, opposé à la loi sur le regroupement familial? Ses mémoires sont un mea culpea bien tardif...
A Oudinot / 101
Franchement, dire que la cigale se fend la poire, c'est vraiment insultant pour les salariés qui ont perdu leurs emplois. Vous imaginez les quinquas devant être forcés d'accepter des contrats aidés (sans valeur ajoutée industrielle pour le pays), peu rémunérateurs, autrement dit une voie de garage jusqu'à l'âge de la retraite alignée sur l'europe à 67 ans pour survivre. Vous n'êtes pas drôle. C'est moche de penser que les demandeurs d'emplois sont des profiteurs du système alors qu'ils s'en passeraient bien. Imaginez que vous ayez encore un crédit logement sur le dos et des études à payer pour vos enfants.
Je vous souhaite d'être préservé et de ne pas être obligé, un,jour, de recourir à la protection sociale. A Las Vegas, les demandeurs d'emplois dorment dans les égoûts. Le Nevada est particulièrement touché par les expulsions des subprimes et, beaucoup d'états sont en faillite. Comme quoi l'oncle Sam est un colosse aux pieds d'argile. Le rêve américain a du plomb dans l'aile
- ELECTROLUX : + 419 s.e.
(liste non exhaustive).
Bonjour avez vous des chiffres sur le nombre de délocalisation en France depuis 6mois.
Merci d'avance
prenons un exemple récent de ce que ne doit pas faire l'Etat ; la B.P.I. ou Banque publique d'investissement
- à sa tête a été nommé un " technocrate " dont la seule compétence ( au vu de ses antécédents " bancaires " ) est d'être un " proche " du Président et qui à peine venait il d'être nommé déclenchait une polémique " marécageuse "
- les " élus locaux " réclament à cors et à cris la possibilité d'intervenir dans les choix des financements d'entreprises ; nous sommes là dans le plus pur clientélisme
- les sommes disponibles sont misérables au vu de l'ambition affichée de cette énième structure financière énarchique ***
*** puisque , en effet , la B.P.I. ne fera que consolider le mariage incestueux entre les politiques et les hauts fonctionnaires
on sait où tout cela a mené
pourquoi reproduire inlassablement les mêmes errements ?
je sais que cela ne va pas plaire ( à certains ) sur le blog et c'est pour cela que je donne rendez vous à mes ( nombreux ) contradicteurs dans ... trois ans !
Oui, cher président, « il y a urgence à mettre en œuvre un protectionnisme intelligent, non pas pour nous couper du monde, mais pour rétablir tout simplement la loyauté de l’échange ».
La France doit pouvoir défendre ses intérêts dans les sens du «bien commun» et non de quelques privilégiés.
C’est pourquoi nous sommes d’accord avec vous pour user du référendum sur chaque question épineuse pour les hommes politiques, sans pression sur le peuple, sans le menacer de partir selon sa réponse.
C'est la seule possibilité démocratique et pacifique pour sortir de la dérive dictatoriale.
Le référendum doit être inscrit dans la Constitution : obligatoire pour les traités et toute modification de la Constitution, facultatif sur pétition pour modifier ou annuler des lois nouvelles votées par le Parlement, référendum d'initiative populaire aussi pour que des citoyens aient le droit de proposer des lois (comme en Suisse).
Ainsi, le protectionnisme devrait être proposé au peuple par référendum
2012-10-23
@ 111
Entièrement d'accord. D'autant plus qu'il y a quelques fois de longues tirades qui n'ont que pour effet de repousser le lecteur.
@birhakeim (118) Tout à fait d’accord. Au passage, ce que dit Jovanovic à propos des grèves de la CGT du livre est assez troublant (elles tombent toujours lorsque des informations capitales doivent être diffusées). Lire aussi le quatrième article de son blog de cette semaine : Jovanovic cite abondamment NDA.
http://www.jovanovic.com/blog.htm
Quant au Gouvernementeur, il continue à diviser les Français avec des pare-feux dont la stupidité atteint des sommets : ainsi Najat Vallaud-Belkacem souhaite que soit indiquée dans les manuels scolaires l’orientation homosexuelle de certains personnages historique (elle cite Rimbaud). Il est vrai que dans l’état actuel de la France, c’est une urgence absolue. En guise de diversion, Sarkozy avait utilisé le génocide arménien. Hollande agite quant à lui l’homosexualité et les salles de shoot. Au moins, lui ne fâchera pas les autorités turques (qui au contraire doivent maintenant rire sous cape à observer nos dirigeants et on les comprend).
@ Bir Hakeim ( 108 )
il faut savoir que Malte est le paradis des sociétés de paris en ligne comme par exemple leturf.eu et autres sites ( poker , mises sur les championnats sportifs professionnels etc ... ) , c'est la Thaïlande de l'Europe !
@120
A lire votre premier paragraphe, vous extrapolez totalement ce que je dis et au nom de quoi je vous prie ?
Si vous aviez lu quelques unes de mes interventions, je fais parti des gens qui subissent de plein fouet la crise depuis de nombreuses années.
A force de vouloir défendre absolument ce système, vous ne vous apercevez pas, que la valeur d'ajustement qui est le monde de l'intérim, des emplois précaires ou auto-entrepreneur, des sans emplois, n'ont aucune possibilité de revendiquer quoi que ce soit.
Mais ceux là ne semblent pas du tout vous intéresser. Vous préférez peut être défendre tout ceux qui par leur action masquée via des ramifications comme le CESE, ou les agences d'état ne font que perdurer un système qui coule…
J'ai un très proche conseiller du salarié, qui depuis plusieurs mois n'arrêtent pas de faire des assistances à licenciement. Ces hommes et femmes qui perdent leur job, dans des petites boites ne font jamais la une des gazettes !
Maintenant autour de moi, il y a aussi beaucoup de fonctionnaires. Si leur situation de travail se dégrade lamentablement, ils n'ont pour l'instant, aucun parmi eux, perdu leur emploi, ni subi la moindre baisse de salaire.
Il me semble aussi que NDA, a désendetté sa ville en supprimant des postes dans la ville de Yerres.
Ce qui devrait être aussi une base dans vos réflexions sur l'état du pays.
Avec respect,
Oudinot
@ Oudino ( 127 )
ce que vous soulignez ( et de façon particulièrement juste ) c'est la distance abyssale qui existe entre ce que les tenants de la " fonction étatique " ( et assimilés ) croient ( et ce qui est plus grave OBLIGENT le citoyen lambda à croire ) et l'état RéEL du pays ...
prenons un exemple :
En région parisienne , il manque environ 8000 places pour l'accueil d'hiver des S.D.F. ... on en " abrite " un " certain nombre dans des chambres d'hôtels à 140 euros la journée... et personne ne PEUT dire que ces 8000 personnes sont EN SITUATION IRREGULIERE et que cette prise en charge revient plus chère que la construction de logements d'accueil ( source ... le canard enchainé , c'est dire ! )
Mardi 23 octobre 2012 :
La BCE prise au piège.
La BCE, détenant 210 milliards d'euros de «junk bonds» dans son bilan, ne peut pas risquer une faillite des pays en crise. Sa recapitalisation inévitable par les gouvernements, voire les contribuables, ruinerait sa réputation. C'est pour cette raison qu'elle refuse catégoriquement un «hair cut» de la dette grecque. La fuite en avant est sa seule stratégie viable, elle est prise dans le piège de l'euro.
Wolfgang Glomb, membre du comité consultatif de CONCILIUS, membre du Conseil d'analyse économique franco-allemand.
http://lecercle.lesechos.fr/economi...
En clair :
Deuxième défaut de paiement de la Grèce —> la BCE subit des pertes colossales —> la BCE se tourne vers ses actionnaires, les 17 banques centrales nationales, pour qu’elles recapitalisent la BCE.
Et ensuite, ça se complique :
- Voyons d’abord le premier cas de figure. Les 17 banques centrales nationales acceptent de recapitaliser la BCE : chaque chef d’Etat a alors deux possibilités :
1- un chef d’Etat choisit d’augmenter les impôts de ses contribuables nationaux. Avec cet argent, la BCE est recapitalisée, et toute la zone euro peut continuer encore quelques mois.
2- un chef d’Etat choisit de vendre l’or détenu par la banque centrale nationale. Avec cet argent, la BCE est recapitalisée, et toute la zone euro peut continuer encore quelques mois.
- Dernier cas de figure : les 17 banques centrales nationales refusent de recapitaliser la BCE —> faillite de la BCE —> retour aux 17 monnaies nationales —> réarmement des 17 banques centrales nationales.
Encore un mauvais coup de l'Europe : les marchandises contrefaites transitant par la France ne seront plus saisies : les douaniers les regarderont passer sans rien faire... De qui se moque-t-on ?
@Missan (130). Il ne faut hélas pas parler au futur, cela dure déjà depuis avril.
130. Le mardi, octobre 23 2012, 13:24 par Missan
Par cette nouvelle décision du Tribunal de l'UE, l'Europe est désormais complice de la contrefaçon
Comme pour la réaction de BRUXELLES et de LAMY directeur général de l'OMC, contre "le protectionnisme" supposé de MONTEBOURG, ne faut-il pas poser la question de la sortie de l'Union Européenne ?
"ne faut-il pas poser la question de la sortie de l'Union Européenne ?"
Cela ne doit plus étre une question mais un objectif a atteindre au plus vite
A birhakheim / 118
E-N-O-R-M-E. !
Espérons dans la sagesse des français, le discernement de la conclusion, séparer le bon grain de l'ivraie mais, à dire vrai, je n'y crois pas car la situation se complexifiera, les états ne pourront subvenir ... et, pour l'avoir dit depuis,longtemps, c'est ma crainte et probablement le point de rupture, cessation de paiement (SFR 1500-2000 s.e., Phone House, Groupama, etc etc ...). Mathématique ! C'est pourquoi il est préférable d'avoir un travail, même à temps partiel.
Poutine dictateur éclairé sur la signature du contrat Mittal, pistolet sur la tempe, excellent.
La volatilité de l'information, une réalité du brassage, noyage, zapping de l'information.
L'audit, place des Victoires, un contrôle nécessaire mais le stock. .. pourrait être creux et l'extérieur tapissé d'un joli papier doré de la vache alpine.
Les salaires et les retraites en or de l'Europe à tous les niveaux, fait des inconditionnels obéissants
http://www.lepoint.fr/economie/les-...
A birhakeim / 118
Je rêfléchis sur la photocopieuse de Jovanovic "Les américains nous rachètent (biens immobiliers en France) avec la photocopieuse".
Il veut dire quoi par là. ? Après recherche, j'en déduit qu'en partie le stock d'or de Fort Knox a servi au prétexte de financer les droits de tirages spéciaux (D.T.S.).
C'est à dire qu'à partir d'un stock or-physique "ils" ont émis de la monnaie or-papier qui n'est pas ex nihilo (ex nihiliste ? lol) mais le devient à partir du moment ou le stock d'or servant de contrepartie s'est évanoui dans la nature ?
Encore mieux, les "tirages spéciaux" c'est le culot suprême de justifier le pillage, le tour de passe-passe légalisé.
Fort, les mecs !
C'est ça la photocopieuse dont parle Jovanovic ?
Y'a quelques coffres-fort privès qui doivent être bien remplis. Mieux que le hold-up du Glasgow-Londres. Incolore er inodore. Corruption au plus haut de l'état américain (FED). Jérôme Kerviel, à côté, c'est un enfant de choeur et Copperfield, un prestidigitateur amateur.
Nicolas DUPONT-AIGNAN l'avait prévu dans un billet récent; Jacques SAPIR le constate :"Le sommet européen des 18 et 19 octobre a abouti à un échec"
Tout va très bien, madame la marquise…
Par Jacques Sapir
dimanche 21 octobre 2012, par Comité Valmy
« On ne déplore qu’un tout petit rien… »
Le sommet européen des 18 et 19 octobre a abouti à un échec, que l’on cache plus ou moins sous des communiqués ronflants[1], et des articles où la flagornerie perce sous l’apparente objectivité[2]. À croire que la chanson de feu Charles Trenet, « Tout va très bien madame la marquise », est devenu le nouvel hymne des dirigeants français sur la question européenne. Il est ainsi frappant de voir que, même dans la presse européenne et française, les doutes commencent à se faire insistants[3]. Si le principe d’un accord de supervision bancaire a bien été accepté pour l’ensemble des banques de la zone Euro, les conditions de sa mise en œuvre n’ont pas été précisées. Elles font l’objet de discussions importantes, que ce soit par la Grande-Bretagne (qui entend bien garder le contrôle de ses banques) que de l’Allemagne. De fait, des obstacles juridiques importants existent et ils ont été rappelés par la Chancelière allemande elle-même[4]. Celle-ci a même déclaré : « Rien qu’à regarder le processus pratique, il est absolument clair que ceci ne se mettra pas en place en un mois et demi »[5], sonnant par là même le glas des espérances françaises et espagnoles de voir l’Union bancaire aboutir d’ici la fin de l’année.
Ces obstacles devraient retarder l’application de l’accord au 1er janvier 2014 et surtout aboutir à ce qu’ils ne portent que sur les passifs accumulés à partir de cette date[6]. En d’autres termes, le projet d’une Union bancaire comme instrument de résolution de la crise des banques espagnoles, grecques et portugaises a lamentablement échoué, car les mauvaises dettes sont déjà présentes dans les passifs. D’ici à 2014 on estime que seront révélés 270 milliards de pertes pour les seules banques espagnoles[7].
De même, si le communiqué final insiste sur la nécessité de briser le cercle vicieux qui entre les banques et les dettes souveraines des États, l’aide directe du MES, qui était sérieusement envisagée pour l’Espagne, se trouve de fait reportée après la mise en œuvre de l’Union bancaire, soit après le 1er janvier 2014. Il y a donc contradiction entre le discours et les actes, ce qui n’est pas pour étonner les observateurs. Le renvoi de la décision à une réunion de l’Eurogroupe n’a fait qu’acter l’existence du blocage[8].
Sur l’intégration économique et politique, que des hommes politiques français de premier plan avaient annoncée à grand son de trompe, le blocage est encore plus total. En s’en remettant aux autorités nationales pour trouver un accord sue ce que l’on appelle le « six-pack » et le « two-pack », le Conseil a reconnu l’ampleur des divergences. De même, l’idée d’un budget européen renforcé n’a pas été retenue, et Mme Merkel a opposé une fin de non-recevoir à l’émission de « dettes communes » soit à l’émission des Eurobonds. À l’inverse, le projet allemand d’une supervision directe des budgets nationaux par la Commission n’est même pas cité. C’est donc bien à un constat de blocage complet qu’il faut alors conclure.
Enfin, sur la Grèce, si le Conseil donne acte au Premier ministre Samaras des efforts consentis par le peuple grec, il n’a été nullement question des deux ans supplémentaires réclamés à cors et à cris. Ici encore le Conseil a été incapable d’aboutir à un accord. Si la Grèce recevra très probablement les 31 milliards d’euros dont elle a besoin d’ici décembre sous peine de faire défaut, le problème de son financement se posera à nouveau dès la fin du mois de janvier 2013. Il semble donc bien que le Conseil européen des 18 et 19 octobre dernier n’ait fait que repousser de quelques semaines les échéances.
Rien de ceci n’est glorieux, et il n’est aucune raison de pavoiser. La zone Euro s’achemine vers un terrible retour de crise, qui surviendra entre le début de 2013 et le printemps. Il sera alors bien tard pour prendre les mesures qui s’imposeront alors par la force du désastre. L’affirmation du Président François Hollande selon laquelle la fin de la crise de la zone Euro est en vue apparaît ainsi malencontreuse et quelque peu aventurée. Le 16 avril 1940, Paul Reynaud, nouveau Président du Conseil, déclarait devant le sénat que « la route du fer est coupée ». Moins d’un mois plus tard c’était l’offensive allemande sur l’ouest de l’Europe. Des hommes politiques responsables devraient se souvenir que l’avenir se plie fort rarement à leurs rêves.
20 octobre 2012
Source :
RussEurope
Le Carnet de Jacques Sapir sur la Russie et sur l’Europe
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[1] Fredet J-G., « Bruxelles : accord a minima ou compromis en trompe-l’oeil ? », Le Nouvel Observateur, 19 octobre 2012, URL :
http://tempsreel.nouvelobs.com/la-c...
[2] Revault D’Allonnes D. et Philippe Ricard, « A Bruxelles, M. Hollande et Mme Merkel s’accordent sur un compromis minimum » Le Monde, 19 octobre 2012, URL :
http://www.lemonde.fr/europe/articl...
[3] « Sommet européen : les avancées… et les blocages », La Tribune, 19 octobre 2012, URL :
http://www.latribune.fr/actualites/...
[4] RTT News, RTT Staff Writer, « Merkel Casts Doubt On Setting Banking Union By Year-End », 20 octobre 2012, URL :
http://www.rttnews.com/1987133/merk... ?type=eueco
[5] Mrs. Angel Merkel, “Just looking at the practical process, it is absolutely clear that this is not going to take place in a month and a half », cité par Die Welt, « Creation of EU banking union ‘will take years’ » le 19 octobre 2012, édition électronique, URL :
http://www.dw.de/creation-of-eu-ban...
[6] Kanter J., « German Refusal on Bank Aid Mars End of Europe Summit » New York Times, 19 octobre 2012, URL :
http://www.nytimes.com/2012/10/20/b... ?_r=0&pagewanted=print
[7] Penty C., « Spain Banks Faces More Losses as Worst-Case Scenario Turnes Real », Bloomberg, 17 octobre 2012, URL :
http://www.bloomberg.com/news/2012-...
[8] « Sommet européen : les avancées… et les blocages », La Tribune, 19 octobre 2012 op.cit..
118-137
La photocopieuse Jovanovic.
En fait, c'est la création du "droit" qui est ex nihilo, pas le stock d'or puisque le droit génère la reconstitution du stock d'or à l'infini d'où la duplication, la photocopieuse de Jovanovic. (Je m'interroge et je vais vérifier sur le principe en astrophysique de l'hôtel de Hilbert).
J'aimerais avoir votre avis birhakheim.
Pour info ;
La bundesbank veut rapatrier 150 T de son or détenu par la FED en 50 T sur 3 ans et veut l'auditer avec une procédure pointue en coulant l'or pour vérifier qu'il n'y a pas tromperie sur la marchandise, le poids, et qu'il ne contienne pas de tungstène.
Nous serions bien inspirés d'en faire autant pour nous garantir d'un futur défaut de paiement ou recours pour l'émission de monnaie (600 T d'or vendu (à la FED ?) sur décision de Nicolas Sarkozy) qui a réalisé une plus-value mais moindre par rapport à l'envolée du cours de l'or, postérieurement (137).
Conférence de Nicolas DUPONT-AIGNAN à NANCY
Merci de faire suivre
http://www.dailymotion.com/video/xu...
Les Allemands ne sont pas idiots, il veulent récuprer leur or, petit à petit.
SARKOZY a commis une faute en vendant l'or de la Banque de France, notre or.
@ GAÎA et @ CAYOL
intéressantes , très intéressantes vos deux informations que je fais suivre à mes amis étrangers
Dans le monde entier : le même jugement.
Lire le dernier article de Jacques Sapir sur son blog :
http://russeurope.hypotheses.org/39...
Null n'est besoin d'être admirateur de la Russie, ni de Poutine, ce qui est intéressant est ce qu'ils pensent et comment ils commencent sérieusement à préparer leur avenir devant la politique européenne qu'ils jugent catastrophique. Cela change du ronron quotidien de la presse française idéologiquement engagée. Ce sont les journalistes français qui devraient pondre de tels articles mais ils préfèrent leur petit jeu de chaise entre les deux grands partis qui partagent sur le fond la même stratégie.